Synthèse La Beauté Est Elle Universelle

ma formation de 2ans, j’ai dû effectuer 4 périodes de stage. J’ai été amené, au cours de ces différents stages, à acquérir des informations sur les entreprises et des connaissances professionnelles. A cet effet, j’ai rédigé le présent dossier de synthèse en vue de valider mon examen. Pour ce dossier, j'ai choisi de présenter la parfumerie xxxxxx à xxxxxxxxxx ou j'ai effectué un stage de 4 semaines du 5 au 17 décembre 2011 et du 2 au 14 janvier 2012. Ci-dessus, le présentoir à maquillage Dior

séparation et donc souffrance. B - On peut se détacher du désir. La souffrance n’est donc pas indépassable. L’expérience de la beauté le suggère [Schopenhauer] ; On peut avoir une démarche ascétique [Schopenhauer] ; Si on fusionne avec la source de l’être, on se tient dans une paix immuable. Le désir de beauté conduit donc à la fin du désir. Le désir de beauté est un désir de ne plus désirer qui peut être satisfait. [Une relecture schopenhaurienne de l’ascension érotique platonicienne] C -

et dégoût de soi qui ne peut pas résister à la tentation du mal - Impossibilité à s’élever vers son idéal, à sortir de son spleen, il reste englué dans la réalité matérielle et le mal. Il ne parvient pas à élever son âme vers le spirituel, la Beauté donc à créer « L’Irrémédiable » « Le Guignon ». Ne parvient pas à concilier Beau et Bien. Pour conclure on peut dire que Baudelaire ne supporte pas sa condition d’homme mortel et soumis aux exigences du corps. Il voudrait être un pur esprit. Les

ETUDE D’UNE ŒUVRE INTÉGRALE​  :  LE SPLEEN DE PARIS, PETITS POEMES EN PROSE ​ de Charles BAUDELAIRE (1869)    Les  élèves  ont  eu  à  réaliser  une fiche de lecture sur le recueil  comprenant les  axes suivants, et qui a constitué le  support d’un cours de synthèse.  A/​  Le poète, « peintre de la vie moderne ». Paris, la grande cité protéiforme.  B/ « ​ Arrière,  la Muse  académique !​  ».Une nouvelle  inspiration  subversive – Le poète  et  les femmes : le lyrisme en  question.  La  condition  et  les   pouvoirs 

jours. Les Sociétés Grecques et romaines La caricature remonte à la plus haute antiquité, ou tout au moins à l'époque où les arts du dessin eurent fait quelques progrès. On peut supposer que les sociétés, où la recherche des critères de la beauté était proposée comme but aux artistes, contenaient en elles la possibilité de voir naître une antithèse. Les sociétés grecque et romaine semblent avoir réuni les conditions d’une telle éclosion. Elles ont sans doute connu l’une et l’autre la caricature

manière de se parfumer, une senteur parmi d·autres. Il a également suscité, à travers les siècles, une incroyable production d·objets précieux et raffinés en albâtre, faïence émaillée, céramique, verre, métaux ouvragés dont le luxe n·a d·égal que la beauté. Le mot parfum est apparu tardivement dans la langue française (aucune mention avant 1528). Dérivé du verbe fumer, il a d'abord évoqué des substances odoriférantes qui se brûlaient, par exemple l'encens, puis a pris son sens actuel au XVIIe siècle

cubisme). TECHNIQUE / FORME : Le Sacre du Printemps, tout comme l'art cubiste, se caractérise par une certaine incohérence des thèmes et des morceaux. Une grande floraison d'idées différentes qui se présentent apparait, ce qui rend difficile toute synthèse de la musique. Stravinsky dans Le Sacre du Printemps, aborde la composition comme une construction fragmentée du rythme et de la mélodie. Non seulement il brise les mélodies, mais il quitte le domaine du traditionnel pour inventer un véritable style

Mal. Ce recueil de poèmes fut condamné et censuré à sa sortie, car trop choquant pour la morale bourgeoise, avant de passer à la postérité. Baudelaire y met en lumière la dualité entre la violence et la volupté, le bien et le mal, la laideur et la beauté, l’enfer et le ciel. II- Présentation du recueil Cet ouvrage a été remanié plusieurs fois car Baudelaire faisait très attention à la structure de son œuvre, à sa liberté artistique. Toutefois, un procès a été intenté contre cet ouvrage en 1857,

leur a rendu insipide ; ils cherchent à réveiller leur goût déjà éteint par des eaux-de-vie, et par toutes les liqueurs les plus violentes ; il ne manque à leur débauche que de boire de l'eau-forte. Les femmes du pays précipitent le déclin de leur beauté par des artifices qu'elles croient servir à les rendre belles : leur coutume est de peindre leurs lèvres, leurs joues, leurs sourcils et leurs épaules, qu'elles étalent avec leur gorge, leurs bras et leurs oreilles, comme si elles craignaient de cacher

tension, séparation et donc souffrance. B - On peut se détacher du désir. La souffrance n’est donc pas indépassable. L’expérience de la beauté le suggère [Schopenhauer] ; On peut avoir une démarche ascétique [Schopenhauer] ; Si on fusionne avec la source de l’être, on se tient dans une paix immuable. Le désir de beauté conduit donc à la fin du désir. Le désir de beauté est un désir de ne plus désirer qui peut être satisfait. [Une relecture schopenhaurienne de l’ascension érotique platonicienne] C - Transition