Synthèse Risques Et Progrès

 Le concept de « cohésion sociale » dans les programmes d’intégration et les politiques territoriales constitue-t-il un progrès social ? Travail de Science économique et politique, M. Bogaert ISABELLE BERNARD, 2e BAC C, CESA, Bruxelles, avril 2014 1. Situation et définitions du concept de « cohésion sociale » La « cohésion sociale » est entrée de plain pied dans le langage politique, économique et social, mais aussi journalistique, depuis une quinzaine d’années. Elle l’est aussi, par conséquent

contact des autres, il n’aurait développé aucune des facultés caractéristiques de l’humanité ( parole, station droite, habileté à la manipulation technique ; cf les enfants sauvages) « Le barbare, c’est d’abord celui qui croit à la barbarie » et il risque d’être d’autant plus cruel avec l’autre, qu’il ne le reconnaîtra pas comme un homme à part entière, un semblable au -delà de la variété des systèmes culturels. Jean de Brebeuf et Gabriel Lallemant, missionnaires tués par les Iroquois.C.Lévi- Strauss

solution « miracle» et c’est un domaine théorique complexe dans lequel s’oppose des interprétations différentes sur ses véritables ressorts. Le lien entre la croissance, le progrès technologique et l’emploi est l’un des problèmes les plus débattus. Cette question va nous amener à nous interroger sur les effets réels du progrès technologique sur l’économie. I – Définition du concept de croissance II – Panorama historique III – Ressorts et moteurs de la croissance 2) Présentation générale

orientations de carrière, mobilité interne, résultats… L’entretien doit permettre d’instaurer une relation entre l’évalué et son N+1 (son supérieur hiérarchique). Un tel outil est indispensable pour clarifier les critères d’évaluation et les axes de progrès. Lors de la détermination de ceux-ci, il peut paraître nécessaire que le collaborateur renforce et comble certains points faibles par des formations. Ces dernières pourront par la suite permettre aux collaborateurs une fois formé de prétendre à une

privilégier l’analyse de situations réelles Les situations économiques proposées doivent mobiliser les savoirs Compétences et méthodes • Rechercher et valider une information • • • • • économique Exploiter une documentation économique Savoir faire une synthèse de documents Savoir analyser des faits économiques Identifier et mobiliser des théories économiques Développer une argumentation cohérente et structurée sur les thèmes de l’enseignement Structure du programme pour 2 années d’enseignement 6 thèmes

SYNTHESE I. LOGIQUE ENTREPRENEURIALE : un état d’esprit et une démarche A. L’entrepreneuriat et logique entrepreneuriale 1. Entrepreneur (déf par J.schumpter) Innover Recheche/saisir des opporunités Création de la valeur Prise de risques Il est l’élement actif de l’entreprise, c’est un agent economique dont la fonction est d’exécuter de nouvelles combinaisons (produits nouveaux, nouveaux procédés SYNTHESE DE MANAGEMENT I. LA LOGIQUE ENTREPRNEURIALE :

Mai 2008 - N° 22.1 LES FACTEURS PSYCHOSOCIAUX AU TRAVAIL Une évaluation par le questionnaire de Karasek dans l’enquête Sumer 2003 Les femmes sont davantage exposées que les hommes au « job strain », une situation à risque pour la santé, où les marges de manœuvre individuelles ne permettent pas aux salariés de faire face aux exigences qu’ils ressentent dans leur travail. Les employés et les ouvriers sont eux aussi plus touchés par le « job strain » que les professions plus qualifiées. Les ouvriers

La moyennisation SYNTHESE Sujet : Après avoir montré le processus de moyennisation de la société française, vous en montrerez les limites... L'intitulé du sujet faisait "évidemment" penser à une problématique de type "Dans quelle mesure peut-on parler d'une moyennisation de la société française ?". Dans l'introduction, il fallait définir la moyennisation tout simplement an parlant "peut-être du débat sur la remise en cause de la "classe" ouvrière suite aux évolutions structurelles de l'économie

Dissertation (sujet 3) Les nouvelles formes d’organisation du travail ont-elles permis de dépasser les limites du taylorisme et du fordisme ? DOCUMENT 1 : Pourcentage de salariés… Enquêtes Conditions de travail, Premières Synthèses,DARES, août 1999 DOCUMENT 2 : L’organisation fordienne en porte-à-faux par rapport aux tendances macroéconomiques Robert Boyer et Jean-Pierre Durand, l’Après-fordisme, Syros, 1998 DOCUMENT 3 : Certes, le travail a changé, en liaison avec les nouveaux outils

vaut travailler et bâtir que ne rien faire. De plus, cette action doit mener à la recherche du bonheur sur la Terre. Sa vision du bonheur a changé radicalement avec l'âge. D'épicurien qu'il était dans sa jeunesse, il a ensuite fait confiance dans le progrès pour finalement avoir une attitude plus pessimiste. L'Homme doit alors se contenter d'un bonheur relatif. Le travail devient alors un moyen de rendre la vie plus supportable. VOLTAIRE ET LA RELIGION Voltaire se qualifie comme un déiste : il croit