Sécurit Frères

nσus..{ Desperate Housewives } Je vσulais que tu m'prσuves que tu tenais à mσi. Je vσulais que tu m'dise que j'étais la seule qui te plaisais et que tu préfèrerais passer le reste de ta vie tσut seul plutôt qu'avec une autre fille que mσi..{ Les frères Scott }

|  ⇐ Université Libre et démocratique d’enseignement du Wahabisme. | | |    Déclaration de djihad (guerre sainte), intitulée : « Message d'Oussama Ben Laden à ses frères musulmans du monde entier, | | |et particulièrement de la péninsule arabe : déclaration de djihad contre les Américains occupant le territoire qui abrite deux| | |saintes mosquées ; expulsion des hérétiques

littératures, et comment, bien plus tard, les observations scientifiques entraîneront sa réhabilitation en particulier dans le monde littéraire. A. Le loup dans l’Histoire : un personnage à éviter ! Si dans les contes traditionnels de Perrault ou des frères Grimm par exemple, le loup occupe toujours le rôle du personnage méchant, cruel et solitaire, ce n'est pas sans raison. A toutes les époques ou presque, le loup a été considéré comme un animal nuisible et malfaisant mais c’est néanmoins au Moyen

qui renforce le coté humoristique, a chaque pays un quiproquo et donc un problème . Les personnages du conte sont plus ou moins réalistes, l'auteur peut donc en faire des personnages comique ou pathétique comme dans Ensel et Gretel des conte des frères Grimm où deux frère et soeur sont perdus volontairement dans la forêt par leurs parents . Une moral est ennuyeuse, un conte l'explique de manière distrayante . Le conte est une oeuvre qui est interressant pour tout ages, Voltaire, Perrault,la Fontaine

sont souvent le déclic de volonté d’indépendance et de désir de nouveau départ. Ainsi dans Cendrillon, œuvre populaire dont il existe une multitude de versions de par le monde mais très connu à travers la version de Charles Perrault et celle des Frères Grimm, ce critère entre en jeu. Une fragile jeune fille est la domestique et le souffre-douleur de sa belle-mère et ses demi-sœurs. Une fée marraine apparaît et la transforme en une jolie princesse ; elle peut ainsi aller au bal du prince et aussitôt

rendre compte que les hommes étaient souvent représentés comme des personnes méchantes, sans coeur ou encore comme des personnes niaises ou très stéréotypées. Nous pouvons aussi étudier les contes d'autres auteurs de différentes époques comme les frères Grimm du XVIIIème siècles.

Est-ce le niveau de provocation qui définit un genre théâtral? Est-ce le public à qui il s'adresse? Jusqu'où peut aller la provocation? La jeunesse peut-elle tout supporter? Joël Pommerat et Olivier Py ont tous les deux repris des contes des frères Grimm (siècle précédent) pour les adapter à la scène car ce sont des mythes qui offrent le « moyen de parler aux enfants de ce dont on ne leur parle pas ». Les contes de Grimm sont emprunts de merveilleux mais sur un fond de gravité, exactement comme

Bettelheim, vont ainsi nous montrer comment ce conte de fées révèle des vérités sur l'espèce humaine et sur l'homme lui-même. Deux versions. Rappelons d'abord que cette histoire est un conte de Charles Perrault (1628-1703) qu'ont repris les frères Jacob (1785-1863) et Wilhelm (1786-1859) Grimm. Le récit est conduit de la même manière chez les deux auteurs, jusqu'à ce point où le loup, s'étant introduit dans le lit de la grand'mère, dévore le Petit Chaperon rouge. L'histoire s'achève, chez

HISTORIQUE AILE VOLANTE Le concept de l’aile volante est né le 16 février 1876 lorsque les ingénieurs français Alphonse Pénaud et Paul Gauchot déposent le brevet d’« un aéro-plane ou appareil aérien volant »1 amphibie mû par deux hélices et possédant toutes les caractéristiques d’une aile volante telle que nous la connaissons aujourd’hui2. Cependant, il faut attendre la fin de la Première Guerre mondiale et le début de l’aviation commerciale pour que le concept prenne de l’ampleur. C’est d’ailleurs

populaire. Parmi les versions les plus célèbres figure celle de Charles Perrault, publiée en 1697 avec Les Contes de ma mère l'Oye, et celle des frères Grimm (Dornröschen, 1812). La princesse change de nom au gré des versions. Dans Le Soleil, la Lune et Talia, elle est Talia (le Soleil et la Lune sont ses deux enfants jumeaux). Perrault, pas plus que les frères Grimm après lui, ne lui donnent de nom, elle est simplement « la princesse ». Perrault nomme cependant sa fille « L'Aurore ». Tchaikovsky transfère