Séduction Masses

l’abandonner dès qu’il y a ennui ou lassitude. Jouer le jeu de la séduction tant qu’il y a du plaisir, conquérir la proie du désir et passer à une autre, dès que l’ennui survient. (texte) C’est jouer le jeu d’un égocentrisme conséquent, qui vise à la recherche de sa propre satisfaction. Don Juan joue le jeu de la séduction, tant que le plaisir émoustille il est vif, s’il faiblit, aussitôt il se tourne vers une nouvelle conquête. La séduction, c’est une façon de chasser le plaisir . Vivre en séducteur,

40). Il est sûre de réussir. 3. Un désir de plaire Le désir de réussir de Georges Duroy s’exprime par son désir de plaire, de charmer. L’adjectif « bel » renvoie au désir de plaire. Dans les lignes 30 à 33, Duroy imite les expressions de la séduction (« Il se sourit […] et qu’on les désire »). Dans cette phrase on trouve une énumération des gestes et une comparaison « comme font les acteurs pour apprendre leurs rôles ». Avec les mots « étonnement, le plaisir, l’approbation » on retrouve un

pour son ascension sociale. Critique / Histoire Ce livre ce place dans la categorie du réalisme et vas nous faire suivre avec une grande attention l'ascension d'un homme qui n'avait aucune carte en main à sa naissance mais qui, par force de séduction, cynisme, ambition, opportunisme et arrivisme, accède aux plus hautes places de la société parisienne du XIXe siècle. Guy de Maupassant, merveilleux auteur réaliste du XIXème siècle, se met à la place de son personnage pour mieux critiquer la société

Sga. continue le portrait, en disant qu'il séduit toutes les femmes: ligne 68 : énumération de l'échelle sociale « il ne trouve rien de trop chaud, ni de trop froid » : quelque soit les femmes Hyperbole (exagération) , ligne 70-71 : la séduction de DJ n'a pas de limite « le mariage n'a aucune valeur »: énumération hyperbolique ligne 65 DJ est un débauché (recherche le plaisir): énumération ligne 60-61 On l'associe à des personnes historiques pour leur culte du plaisir et de la

Mme de La Fayette : « la Princesse de Clèves » Roman historique, écrit au xviie siècle et se déroulant au xvie siècle. Cette œuvre est considérée comme le premier roman moderne de la littérature française et comme un des premiers romans d’analyse. A) Etude du préambule. 1) « Je vais vous parler avec sincérité » En oratrice consommée, la princesse use ici d’une première précaution oratoire : elle annonce au duc qu’elle va parler avec franchise. Sans doute va-t-elle lui tenir des propos qu’il

elle en éprouve, en découvrant peu à peu cet aspect, à la fois de la fierté et de la tristesse. Son intelligence, son esprit froid et calculateur mais qui est continuellement animé par une passion brûlante et dévorante - celle de la chair, de la séduction, du plaisir en tous sens - font d'elle une des individualités les plus fascinantes qui n'aient jamais été créées par un écrivain. Son libertinage à elle n'est pas un jeu, c'est une façon de devenir égale aux hommes. Elle exècre l'amour car cela permet

amoureuse, passionnée. "l'ovale" des madones et la simplicité du "nez droit". C. Les éléments subjectifs • Certains sont le résultat de l'appréciation de Frédéric. "splendeur de sa peau brune" : la mode était plutôt aux peaux claires; "la séduction de sa taille" : description objective; "la finesse des doigts" : importance de la main, un des rares éléments que la femme laisse voir. Elles sont ici mises en valeur par le fait de broder. • D'autres sont dus à un jeu de lumière : "le fond

Les âmes fortes, Jean Giono Autrui est-il à craindre ? Introduction Les âmes fortes, œuvre écrite en 1949 s’inspire d’un aphorisme de Vauvenargues qui définit l’âme forte comme « dominée par quelque passion altière et courageuse à laquelle toutes les autres, quoique vives, sont subordonnées. » Autrui est-il à craindre ? Cette question suggère qu’il est possible d’envisager par la pensée que quelqu’un peut être nuisible et qu’il faut donc se méfier de l’autre. Dans cette œuvre, les personnages

particulier (« M. Deschamps »), en ayant recours à la séduction (élégance de la mise en page), à la suggestion (« Faites »), à la tentation et au Pierrick et Maïwenn ; b- Exemple d’une publicité prélevée sur le site du quotidien Le Monde, qui utilise de belle manière les armes de la persuasion —> On cherche ici une adhésion spontanée (« Cliquez ici ») ; on vise un destinataire particulier (« M. Deschamps »), en ayant recours à la séduction (élégance de la mise en page), à la suggestion (« Faites

mythologie grecque. Plusieurs légendes la peignent comme un être cruel et redoutable.Rappelons que, par jalousie, elle a transformé Scylla en monstre. C’est sous ce jour perfide qu’elle apparaît d’abord dans l’Odyssée, puisque sous l’apparence de la séduction elle « tisse une grande toile là-dedans/et chante un si beau chant que toute la salle en bourdonne », (Chant X, v. 226-227). Elle use de son charme afin d’attirer des nouvelles victimes : « Comme ils avaient parlés, ils poussèrent des cris d’appel