Séduction Masses

esthétiquement conforme, la version de Thomas Corneille supprime tout ce qui peut choquer et fait de Dom Juan un simple séducteur de femmes : un « don juan ». La scène du pauvre, en particulier, est remplacée par une longue scène consacrée à la séduction de Léonor, jeune fille de quatorze ans, personnage inventé par Thomas Corneille. Ce détour par l'histoire de l'édition montre combien cette pièce est particulière, et combien il est difficile de l'interpréter, puisqu'on ne sait pas réellement ce

est ici exprimée par le point de vue du narrateur et d'un personnage, cela sert à souligner sa beauté. Language soutenu, raffiné (du 17e siècle), language de la cour. Galenterie "peinte" du 17e siècle (galanterie=relation amoureuse fondée sur la séduction). Portrait de la jeune fille devient portrait générale, d'une société qui est faites d'apparence. Répétition du mot beauté (5 fois) -> vocabulaire mélioratif: "un des meilleures parties de France" Mlle de Chartres est représentée comme un personnages

que cela ? Évidemment, l’intrigue se noue autour de l’abandon d’Elvire. Mais, durant la pièce, Dom Juan n’aura que peu l’occasion de prouver ses talents d’enjôleur. Ses seules proies sont deux paysannes, faciles à conquérir. Dans cette scène de séduction, une des rares qui soient réellement comique, Dom Juan est finalement ridiculisé, et sa réputation est mise à mal. Quelle gloire tirer de cette conquête ?
Mais si pour Molière, Dom Juan n’était pas un séducteur, qu’était-il ?
Un amoureux peut-être

BEL AMI : CHAPITRE 1 Introduction : Cet extrait constitue l’ouverture du roman de Maupassant, publié en 1885. Guy de Maupassant se rattache au mouvement littéraire du naturalisme dont le chef de file est Zola. Ce passage descriptif dresse le portrait d’un personnage, Georges Duroy. L’auteur plonge immédiatement le lecteur dans l’action, sans référence à des évènements antérieurs. Nous analyserons cet extrait autour de deux axes : l’incipit présentant le héros et l’incipit annonciateur de la thématique

n'aime pas ses attitudes. En effet, l'on peut également trouver un certain comique dans ce passage. Malgré un éloge réussi de Charlotte la paysanne, cette scène peut être inscrite dans le registre comique et semble être une parodie d'une scène de séduction. La longue énumération de Dom Juan sur les parties du corps de Charlotte, ses yeux, sa tête, ses dents, ses lèvres, ses mains ressemble à l'observation d'un animal ou d'un objet «  tournez-vous un peu », « haussez un peu la tête », « ouvrez vos yeux

Séquence 3 Lecture analytique 3, La scène du pauvre dans Dom Juan de Molière Introduction : Après avoir abandonné Don Elvire, l’épisode de la séduction ave les paysannes, la fuite de DJ, il perd son chemin dans la foret, il aperçoit un pauvre et demande des renseignements. Elle va se transformer en une scène de blasphème. Il tente de séduire le Pauvre pour le faire jurer. Problématique : Cette scène peut-être considéré comme une mise en pratique des conceptions de DJ exprimé à la scène précédente

montrer le caractère burlesque de cette scène de séduction , puis dans un second temps , comment Arlequin et Lisette parodient-ils leurs maîtres . Nous allons tout d'abord montrer le burlesque de cette scène de séduction . Dans les moeurs , une scène de séduction se doit d'être sérieuse , et quelque peu romantique , surtout à l'époque de Marivaux. Or nous voyons bien qu'à travers de nombreuses expressions des deux protagonistes , la scène de séduction se trouve quelque peu ridiculisée ; comme nous

une conquête à faire'' : la séduction est une passion à laquelle il s'adonne volontiers, c'est un défi perpétuel pour lui. C'est un séducteur compulsif, beau parleur : ''comme Alexandre, je souheaiterais qu'il y eût d'autres mondes pour pouvoir y étendre mes conquêtes amoureuses'' : comparaison qui révèle la démesure du personnage : dernière phrase de sa tirade, il s'emporte dans une sorte de fantasme délirant. Montre tout son dévouement dans le jeu de la séduction. b) Un libertin érudit

I Une théorie de la séduction : 1- Le refus du conformisme : Tout d’abord, cette longue tirade s’apparente à une profession de foi : Don Juan y développe sa conception de l’amour. Il trace son autoportrait en libertin, avide de plaisir et théoricien talentueux de l’amour. En effet, il affirme son refus de se soumettre à la pensée communément admise d’après laquelle chaque homme est destiné à se marier afin de passer son existence avec ce même être. Dans cette scène, cette idée est incarnée par

tout idéalisme : insensés !, Pourquoi étiez-vous si belle ? · Les expressions confiante et folle ou fausseté de notre position future tendent à démontrer l’erreur de chercher un bonheur illusoire ; propos à comparer avec le discours de la séduction chez Rodolphe, pendant les comices agricoles notamment. L’acte d’écrire · Complaisance et auto-satisfaction du rédacteur : je suis honnête, Oui, c’est cela. · La recherche des idées – Comment vais-je signer... ? - confirme l’absence