Séneque Le Bonheur Est En Nous

meilleure vie à l'homme (bonheur). Ils divergent uniquement sur les moyens. - Fondateur : Zénon de Citium (-338, -262), en 301 av. J-C. - Vient du grec Stoa, "adeptes du portique". Stoïcisme = philosophie du portique ; épicurisme = philosophie du jardin. - Stoïcisme : recommande la participat° active à la vie sociale. But commun avec l'épicurisme : délivrer l'homme de la contingence et essayer de le rendre invulnérable. I- Un eudémonisme Déf : vie heureuse, bonheur. Image du stoïcisme :

toute existence humaine réside dans l’atteinte du bonheur : il faudrait une vie heureuse pour parfaire et réussir son existence. Cependant on se questionne. En effet, pr certains le bonheur, la vie heureuse se cherchent dans une succession de plaisirs tout au long de sa vie. Ainsi, l’enchainement de plaisirs coïncide-t-il avec une vie heureuse ? Voltaire disait : « toujours du plaisir n’est pas du plaisir ». Peut-on concevoir notre vie par le bonheur, quelque chose qui est dc durable et accompli, dans

concurrence avec l'autre grande pensée de l'époque, le stoïcisme, fondé en 301 av. J.-C.. L'épicurisme est axé sur la recherche d'un bonheur et d'une sagesse dont le but ultime est l'atteinte de l'ataraxie. C'est une doctrine matérialiste et atomiste. Son héritage a été revendiqué par le matérialisme moderne (Marx notamment[1]). Le but de l'épicurisme est d'arriver à un état de bonheur constant, une sérénité de l'esprit, tout en bannissant toute forme de plaisir non utile[2] (prolongé ou non). L'épicurisme

a 29 ans et a déjà écrit de nombreuses comédies- aborde la tragédie avec Médée. Il emprunte le sujet à Sénèque. Experte en l’art de la magie, magicienne et / ou sorcière, Médée a aidé Jason à conquérir la Toison d’Or. En hommage, Jason accorde à Médée le titre d’épouse. Les deux époux se réfugient à Corinthe où Médée donne le jour à deux fils : Phérès et Merméros. Après quelques années de bonheur, Jason abandonne Médée pour Créüse, la fille de Créon, roi de Corinthe. « Je la quitte à regret, mais

certaines de cette intention du Créateur. Telle est en effet la nature et la constitution de l'homme, que hors de la société, il ne saurait ni conserver sa vie, ni développer et perfectionner ses facultés et ses talents, ni se procurer un vrai et solide bonheur. Que deviendrait, je vous prie, un enfant, si une main bienfaisante et secourable ne pourvoyait à ses besoins? Il faut qu'il périsse si personne ne prend soin de lui; et cet état de faiblesse et d'indigence, demande même des secours longtemps continués;

monde matériel des atomes. Ils sont en dehors et n'y interviennent pas. Pour les hommes, il s'ensuit que les dieux ne peuvent rien faire, ni mal, ni bien. Ils n'ont donc pas à en avoir peur. Conséquence finale : Le bonheur de l'homme n'est pas dépendant de la mort ou des dieux. Le bonheur paraît donc possible et est à trouver ailleurs, c'est-à-dire dans le plaisir des sens, point qu'il faudra approfondir, spécifier, analyser. Il se servait de la théorie des atomes de Démocrite pour conforter les

vertu : connaissance rationnelle du bien qui nous permet d’agir en fonction de celui-ci a. On ne peut pas se faire enseigner la vertu, c’est un travail sur soi-même b. Elle apporte le bonheur et le bien et elle est plus importante que la vie 5. C’est le devoir de tout homme de chercher le bonheur et la vertu 6. Tous les hommes veulent être heureux, le désir du bien est donc ancré en eux 7. S’ils agissent à l’encontre du bien, c’est par passion et non par raison 8. Les hommes

Vocabulaire philosophique Bonheur : la quête ultime de notre vie, le Souverain Bien qui se traduit par une harmonie durable entre les choses elles-mêmes. sens courant : le bonheur consiste dans l’assouvissement intégral des besoins et désirs. Le bonheur est ce qui nous comble. Souverain Bien : « c’est l’inflexibilité de l’âme qui ne se brise pas, sa prudence, son élévation, sa santé, sa liberté, son harmonie, sa beauté » (Sénèque). Politique : changer le monde selon la Justice et la Liberté

« Emile » datant de 1762 et « Les Confessions » datant de 1765-1770. L’ancien stoïcisme (-300 avant Jésus Christ) Stoïcisme romain de l’époque impériale : Sénèque (1er siècle avant Jésus Christ) ; Epictète (1er siècle de notre ère) ; Marc Aurèle (2ème siècle de notre ère) La doctrine stoïcienne désigne un art de bien vivre et pour trouver le bonheur, il faut arriver à rester indépendant vis-à-vis des circonstances extérieures et de faire preuve d’un détachement à l’égard des choses. Caractère du stoïcien :

besoins par lui même. Dans le deuxième texte, Diderot et D’Alembert nous montrent que l'Homme est fait pour vivre en société. C'est ce que montre Sénèque « l’homme n’est environné que de faiblesse ; il n’a ni la puissance des ongles, ni celle des dents pour se faire redouter ; nu, sans défense, l’association est son bouclier ». Il nous montre bien ici que le bonheur de l'Homme tient tout d'abord à sa sociabilité, et que la force de l'Homme dépend de la force du groupe. Ensuite Baudelaire nous explique également