Sénèque La Vie Heureuse

la Sabine d'Horace ? Mais j'ai à leur dire que, s'ils avaient bien lu l'histoire, ils auraient trouvé une Junia Calvina, de la famille d'Auguste, soeur de Silanus, à qui Claudius avait promis Octavie. Cette Junie était jeune, belle, et, comme dit Sénèque : festivissima omnium puellarum. Elle aimait tendrement son frère, "et leurs ennemis, dit Tacite, les accusèrent tous deux d'inceste, quoiqu'ils ne fussent coupables que d'un peu d'indiscrétion." Si je la présente plus retenue qu'elle n'était, je

conservation (boire, manger, dormir). * Les philosophes ne sont pas un besoin au sens strict. Une société comme un individu peut vivre sans réfléchir. * Quels sont les besoins d’une société ? Si un homme a besoin d’objets matériels pour se maintenir en vie (eau, aliments, etc.), il en va de même pour une société puisque celle-ci est constituée d’un ensemble d’individus. * Une société a donc besoin de tout ce qui répond aux besoins vitaux : nourriture, logement, vêtements,… Cela suppose une activité

car il peut se traduire par poison, philtre, breuvage, potion ou médicament: des termes qui font fortement varier le sens du texte. 1 Voir analyse de source : Euripide 2 EURIPIDE‐SENEQUE, Médée, texte établit et traduit par Pierre Miscevic, Paris, Editions Payot et Rivages, 1997 3 Rey‐Debove Josette dir., Le nouveau Robert Méthodique, analyse des mots et régularité du lexique, Paris, Dictionnaires le Robert, 2003 3 Laurène

projets et mes désirs. Le bonheur dépend aussi de mes conditions de vie dans la société, dans la période historique à laquelle je participe, de l’époque qui est la mienne. Le bonheur semble donc avoir une dimension collective, c’est-à-dire que la société pourrait avoir la charge d’assumer en partie le bonheur des ces citoyens. La demande de bonheur qui émane de chaque individu mais aussi les plaintes face aux difficultés de la vie, témoignent de cette attente collective que la communauté nous rende

Recueil de textes de Sidonie-Gabrielle Colette, dite Colette (1873-1954), publiés en revue pour la plupart, et recueillis en volume sous ce titre à Paris aux Éditions de la Vie parisienne en 1908, Les Vrilles de la vigne est une des œuvres majeures de l’écrivaine. Entre contes métaphoriques et poèmes en prose, les pièces qui composent les Vrilles de la vigne inaugurent cette veine du texte bref, si foisonnante et originale dans l’œuvre de Colette. Comme dans nombre de ses ouvrages, l’écriture se

bonheur était visé par l’établissement de cet amitié. Par conséquent le bonheur est seulement une conséquence des relations qu’on établit avec autrui est non pas le but ou le fondement de celle-ci. En effet on peut voir que Sénéque affirme dans l’ouvrage De La Vie Heureuse : « si la vertu doit procurer un plaisir, ce n’est pas pour cela qu’elle est recherchée : elle ne le produit pas simplement, elle le produit en plus ». Par conséquent ici, l’auteur affirme que l’amitié est désintéressé et elle

des adhésions que détermine la révolte luthérienne parmi les clercs et les laïques prédisposés par leur culture à faire bon accueil à l’évangélisme. Si l'on ajoute que la diffusion de l'esprit nouveau se fit selon la double cadence de la vie mondaine et de la vie professionnelle que le mécénat des Valois dans la personne de Marguerite de Navarre. Avec les progrès des arts et métiers comme imprimeurs, médecins artisans, agriculteurs, professeurs, jurisconsultes, etc. Il est possible de saisir

Lettre à Ménécée, EPICURE EPICURE n’oppose pas la vie à la philosophie. La philosophie est un art de vivre qui fonde le sens de l’existence. Savoir que nous allons mourir nous conduits à l’urgence de la philosophie. On dit que l’éthique épicurienne est une éthique de l’extrême urgence qui nous conduit à profiter de l’instant (carpe diem). La philosophie est une médecine de l’âme, c’est-à-dire qu’elle guérit. Ce qui nous rend malade se sont les questions creuses et fausses dont l’âme est troublée

pensée. Il serait donc dans ce cas impossible de rattacher le bonheur à un objet crée par l’homme. Pourtant malgré cela, l’idée générale qui sort de la bouche d’un individu lambda est « quand on a de l’argent on est dans la capacité de vivre une vie heureuse sans se soucier des méfaits du quotidien » ou encore « l’argent ne fais pas le bonheur mais il y contribue ». Ce sujet est donc une étude délicate, vu que la plupart des Hommes n’arrivent pas à avoir une réponse immédiate et exacte sur cette question

1. Jean Bodin et la théorie de la souveraineté La vie Bodin est remplie de contraste. Né en 1529 durant la période heureuse du XVIème siècle dans une famille bourgeoise, il va recevoir une éducation aux humanités qui l’ouvre à l’antiquité. Il va aussi recevoir une éducation religieuse qui n’est pas très certaine. Il va en premier vouloir devenir religieux, moine. On le trouve quelque temps après sur le bucher étant devenu calviniste. Puis entre en Ligue catholique : un livre montre ses hésitations