Sénèque Lettre 7

théâtre classique : · Unité de temps· Unité de lieu· Unité d’action· Bienséance et vraisemblanceOn remarque également un registre pathétique et tragique omniprésent, mélangé à une once de terreur.En plus, Racine s’applique à suivre à la lettre les préceptes d’Aristote dans sa Poétique. En effet pour Aristote, la tragédie doit provoquer un mélange de terreur et de pitié, afin de purger les spectateurs de leurs passions, en les vivant par procuration au théâtre. C’est ce qu’il

toujours d'être le numéro un mais on ne cesse jamais d'avoir été le premier." [ San Antonio ] "Entre presque oui et oui, il y a tout un monde." [ Alfred de Musset ] "La moindre chose contient un peu d'inconnu. Trouvons-le." [ Guy de Maupassant ] "Les lettres anonymes ont le grand avantage qu'on n'est pas forcé d'y répondre." [ Alexandre Dumas, fils ] "Toute l'intelligence du monde est impuissante contre une idiotie à la mode." [ Anonyme ] "La logique mène à tout... à condition d'en sortir." [ Alphonse

Faut-il céder au fatalisme ? Épicure dans sa Lettre à Ménécée, dit : «Si tu es malade, il est fatal que tu guérisses ou que tu meurs, quelque soit ton destin, il est donc inutile de te soigner ». L’action ne sert donc à rien, elle n’a plus aucun sens dans le fatalisme car tout est déjà programmé. Pour qu’elle ait une place, il faudrait qu’elle ait une incidence, elle pourrait alors influencée voir modifié notre destin. Chez les stoïciens (Marc-Aurèle, Sénèque, Épictète…), le monde est représenté comme

croient qu’il serait impossible de devenir un poète autrement » ; Dion répond que les poètes se transmettent cette particularité comme une sorte de maladie des yeux[6]. De fait, le poète lyrique Xénocrite de Locres est réputé être aveugle de naissance[7] ; Achaïos d'Érétrie devient aveugle pour avoir été piqué par des abeilles, symbole des Muses[8] ; Stésichore perd la vue parce qu'il a dit du mal d'Hélène de Sparte[9] et Démocrite s'ôte la vue pour mieux voir[10]. Tous les poètes grecs ne sont pas

| | | |Alcibiade |GF, LP | | | |Lettres |GF, MN | | | |Sophiste |GF |

qu'écrivains? Quelle idée se faisaient-ils de la nature des œuvres qu'ils produisaient, à une époque où les grands genres se définissaient par des règles spécifiques et strictes? Le mot « moraliste » marque un retard considérable sur ce qu'il nomme. Si Sénèque se qualifiait géné ralement, comme Cicéron, de « sage », ni Montaigne, ni La Rochefoucauld, ni La Bruyère ne s'appliquent à eux-mêmes le terme de « moraliste », qui figure dans le Dictionnaire de Furetière (1690), mais non dans celui de Richelet (1680)

chercher à raisonner davantage. 5Indubitablement la méthode pyrrhonienne (la zététique) a une fonction structurante dans la démarche même qui donne naissance aux Essais. Mais si Montaigne a trouvé chez Pyrrhon une pâture de choix, tout autant que chez Sénèque, Plutarque ou Lucrèce, c’est qu’il voyait dans le scepticisme une façon de penser le monde en correspondance totale avec son idiosyncrasie, avec sa singularité mentale et psychologique. 6Montaigne ne pouvait pas demeurer indifférent au pyrrhonisme

toujours d'être le numéro un mais on ne cesse jamais d'avoir été le premier." [ San Antonio ] "Entre presque oui et oui, il y a tout un monde." [ Alfred de Musset ] "La moindre chose contient un peu d'inconnu. Trouvons-le." [ Guy de Maupassant ] "Les lettres anonymes ont le grand avantage qu'on n'est pas forcé d'y répondre." [ Alexandre Dumas, fils ] "Toute l'intelligence du monde est impuissante contre une idiotie à la mode." [ Anonyme ] "La logique mène à tout... à condition d'en sortir." [ Alphonse

ou une décision librement consentie d’accompagner l'oncle Jannart de sa femme, lui exilé et qui lui a présenté Fouquet en 1658. Il tire de ce déplacement une Relation d’un Voyage de Paris en Limousin : il s’agit d’un récit de voyage sous forme de lettres en vers et en prose adressées à son épouse, publié de façon posthume. Dans ce récit, il mentionne sa rencontre avec une servante d'auberge à Bellac, ce qui permettra à Jean Giraudoux originaire de ce lieu de s'imaginer une affiliation avec ce poète

également mentionnée. En effet, à la l. 5 parle de la douce blondeur du pain, due selon le poète au travail de la cuisson et du « feu ». La mie : Sa consistance : il est surtout question de « mollesse », l. 5, pareille à la consistance des « éponges », l. 7. La mie n’a pas la dureté de la croûte. Au contraire, elle est « lâche », terme polysémique qui, à l’acception purement morale, superpose le sens physique désignant quelque chose d’insuffisamment serré et qui se délite, qui se défait. Le côté indistinct