Tabatière

petit cabinet meublé » et « galetas ». Un galetas est un logement misérable et sordide pratique sous les combles, juste au-dessous du toit : « un petit cabinet meublé qui payé 18 francs par mois, ce cabinet, mansardé, troué en haut d’une fenêtre à tabatière avait 6m² » 2) Décrivez la mansarde : où se situe t-elle ? Par où faut-il passer pour y accéder ? La mansarde se situe rue Saint Victor en face du port au Vin : pour y accéder, il faut entrer par la porte de l’hôtel, sonner, prendre une longue

montée d'un gros diamant. Habituellement vêtu d'un habit bleu-barbeau 9, il prenait chaque jourun gilet de piqué blanc, sous lequel fluctuait son ventre piriforme et proéminent, qui faisait rebondir une lourde chaîne d'or garnie de breloques. Sa tabatière, également en or, contenait unmédaillon plein de cheveux qui le rendaient en apparence coupable de quelques bonnes fortunes. Lorsque son hôtesse l'accusa d'être un galantin20, il laissa errer sur ses lèvres le gai sourire du bourgeois donton a flatté

excès de drogues qu'il avait prises pour les continuer. L'état physique et moral du bonhomme donnait raison ces radotage. Quand son trousseau fut use, il achetât du calicot a quatorze sous l'aune pour remplacer son beau linge. Ses diamants, sa tabatière d'or, sa chaine, ses bijoux, disparurent un par un . Il avait quitté l'habit bleu-barbeau, tout son costume cossu, pour porte, été comme hiver, une redingote de rap marron grossier, un gilet en poil de chèvres, et un pantalon gris en cuir de laine

- quinconces : plantation d’arbres en quinconces (cinq arbres, un au milieu et deux autres de chaque côté) - trabans : soldat armé d’une hallebarde, qui servait de garde du corps - jarretière : sorte de lien, avec lequel on soutient les bas - tabatière : petite boîte où l’on met du tabac à priser - rosaire : grand chapelet - bréviaire : livre contenant les offices que le prêtre doit lire chaque jour Qui ? - « Salomé » (titre) - « Jean-Baptiste » (L. 1) - « les Séraphins » (L. 2) - « Ma

et dit : « je suis peut être l’oiseau le moins noble, le plus sale, et le moins apprécié …, mais j’ai survécu. Je suis très fatigué. Pourrais-tu me créer un petit bout de terre où je pourrais me reposer ? ». Le Créateur, d’accord, prit dans sa tabatière un petit caillou blanc avec lequel il fit émerger les montagnes. Puis il prit un grain de blé, le fit pousser, et créa une végétation saine et parfaite. L’oiseau put s’y poser, et s’y reposer. Ensuite, TUNKASHILA fit apparaître les animaux. Il

didascalies que Hugo. Par exemple, dans la scène d'exposition (je rappelle que celle ci est la toute première scène d'une pièce et sert à introduire les personnages et l'intrigue) de Dom Juan de Molière, il y a seulement une didascalie : « tenant une tabatière ». Alors il pourrait y avoir plusieurs interprétations à ce manque cruel d'indications : la première parmi tant d'autres serait que Molière écrit mais aussi joue ses pièces, il n'a donc pas d'instructions à se donner. La lecture de ce texte pourrait

pareille, - La rime avec deux sons frappast huit fois l'oreille [...] ». Ce regard sévère porté sur les règles imposées au sonnet se retrouve dans la critique moderne de Paul Claudel à l'égard des sonnettistes français : « Vous avez préféré cette tabatière à musique au grand orchestre qui se fait l'océan, la tempête et la forêt dans la fosse d'opéra, vous avez préféré ce corset d'épines à la cavalcade des symphonies, vous avez préféré ces menottes de rimes, ce panier à salade avec le marchepied des

« beaux parleurs ». Il joue les savants en citant Aristote, « inter nos ». Le boniment annonce le pouvoir de la parole. Il utilise le présent de vérité général et essaie de prouver qu’il a raison. ❖ S, le double de son maître Par la tabatière, il est « lié » à son maître. ( « notre départ » l.15 ( il s’associe avec DJ. S fait celui qui connaît son maître, il ne le blâme pas. La critique est + loin : S utilise des termes péjoratifs. Il le blâme mais il y a emphase : fascination car

bourgeois sont matérialistes et manifestent une certaine ostentation : ils portent des « breloques à chiffres », des « lorgnons », montrent leur « canne à pomme » et « prisent en argent » (ce qui est important, ce n’est pas le tabac, ce sont les tabatières en argent), etc. Quelques commentaires particuliers : « Des rentiers à lorgnons soulignent tous les couacs » (9) : le vers peut signifier « se réjouissent des couacs » et « accompagnent les couacs » ; « Qui tisonnent le sable avec leur canne

demi-hollande. Il portait sur son jabot (ornement fixé sur une chemise ) deux épingles unies par une chainette, sur chacune se trouvait un gros diamant. Chaque jours il avait un gilet piqué blanc sur lequel rebondissait une lourde chaine d'or. Une tabatière en or apppartenait aussi à ce bourgeois. Le Père Goriot était gros et gras avec un ventre bien nourri, une figure "bouffie par le contentement d’un bonheur bourgeois " et des "yeux bleus si vivaces". C'etait un vieil homme plein de vie et de bonne