Tabatière

d'exposition 1) Eléments concernant l'action 2) Portrait du héros éponyme 3) Portrait de Sganarelle I-Apologie du Tabac N'a rien à faire dans une scène d'exposition et semble superflue 1) Objet de l'éloge Didascalie d'ouverture: tabatière *Sg. au public: «vous» = «tu»: Gusman *vers 1 à 12 : 3 «tabac»+ pr.p. «il», «en» Eloge paradoxal: Tabac= trivial, banal, ne mérite pas d'être évoqué = évocation élogieuse: *réf. Nobles: Aristote= anachronisme --> rire * Alex

comédie vaudeville en un acte, avec Raimond Deslandes, Paris, Théâtre des Délassements-Comiques, 15 novembre 1845 Les Fleurs animées, vaudeville en 1 acte, avec Charles Labie et Xavier de Montépin, Paris, Théâtre du Vaudeville, 13 juillet 1846 Ma Tabatière, ou Comment on arrive, comédie-Vaudeville en 4 tableaux, avec les frères Cogniard, Paris, Théâtre du Gymnase-Dramatique, 15 mars 1849 Une bonne fille, vaudeville en un acte, Paris, Théâtre de la Porte Saint-Martin, 11 novembre 1849 Les Fredaines

qui annonce une tragedie. Cepandant il y a 2 vallet, ce qui implique une commédie. I. La premiere tirade A) Le sujet La pièce commence par une éloge du tabac faite par un personnage innatendu. Sganarelle est en habit de valet, il tient une tabatière dans sa main (objet de luxe réservé aux maitres) et se lance dans un grand discours sur le tabac qui est traité comme un sujet philosophique. Sujet dangereux, sans lien avec le contenu de la pièce mais en lien avec les dévauts. B) Parodie d'exercice

éloge déroutant Une réplique surprenante - La pièce semble se débuter in mediares : le rideau s’ouvre sur une action déjà débutée. - S’en suit le début de la réplique de Sganarelle ; celui-ci fait l’éloge du tabac en « tenant une tabatière ». La singularité se pose ici par le fait que le personnage encense un bien matériel superficiel sans grande qualité. - Cet éloge se manifeste par des compliments tels que : « passion des honnêtes gens », « réjouit et purge les cerveaux humains

détail, son apparence compte énormément. Il tient à montrer qu'il a bien réussi, qu'il est à l'abris du besoin. Deuxièmement, le père Goriot a de nombreux biens en or (« une lourde chaîne en or garnie de breloques » ligne 535 page 78, « sa tabatière, également en or » lignes 535-536 page 78) ainsi que de l'argenterie pesant un certain nombre de marcs (« les louches, les cuillers à ragoût, les couverts, les huiliers, les saucières, plusieurs plats, des déjeuners en vermeil, enfin des pièces plus

Le théâtre représente un palais. Nous ne sommes pas dans un lieu habituel de la comédie mais dans le lieu même de la noblesse, de la tragédie. SCENE PREMIÈRE. SGANARELLE, GUSMAN SGANARELLE, tenant une tabatière. Quoi que puisse dire Aristote et toute la Philosophie, il n'est rien d'égal au tabac : c'est la passion des honnêtes gens, et qui vit sans tabac n'est pas digne de vivre. L'argumentation commence par une opposition entre deux vérités. Celle de la philosophie toute entière inférieure à celle

Muscle biceps – Pronation (paume vers le bas) • Muscle rond pronateur (2 chefs) • Muscle carré pronateur REGION de l’AVANT-BRAS • VAISSEAUX : – Artère brachiale donne • Artère radiale (sous le brachioradial) – Pouls radial palpable (tabatière anatomique) • Artère ulnaire (sous le fléchisseur superficiel des doigts) – Donne artère interosseuse commune puis antérieure et postérieure REGION de l’AVANT-BRAS • NERFS : – Médian : innerve • presque tous les muscles de la loge antérieure

lecteur du réaliste au fantastique. On commence le récit par l’arrivée de l’homme chez son hôte et a la description de la chambre. C’est une description réaliste, car elle permet de se représenter la pièce jusque dans ses moindres détails. « Une tabatière d’écaille ouverte sur la cheminée ouverte sur la cheminer était pleine de tabac encor frais », mais cette citation nous montre que la chambre avait été occuper peut de temps avant notre héros. D’autres indices nous montrent qu’elle fut occupée par

* Acte I, Scène 1 : S. s’est lancé dans une belle démonstration oratoire sur les bienfaits du tabac (sujet de prédilection dans les salons et les églises de l’époque). Le tabac étant un produit de luxe, il est étonnant de voir S. tenir une tabatière. * Même si S. critique l’athéisme, la méchanceté, l’immoralité de DJ., paradoxalement il essaye de le parodier. Il s’approprie une culture qu’il ne maîtrise pas lorsqu’il cite par exemple Alexandre, Sardanapale ou encore Epicure ; il essaie

objets de luxe, ou tout simplement voyants, qu'ils portent sur eux : les "breloques à chiffres" (c'est à dire les bijoux sur lesquels sont gravées leurs initiales), les "lorgnons", les "cannes à pomme" (plus élégantes que les cannes à crosse), les tabatières en "argent" qui servent à priser; les "boutons clairs" (plus raffinés que les noirs); l'"onnaing" qui est une pipe de luxe. - un procédé de style : la figure de style surprenante du vers 8 consistant à inverser le sujet et l'objet du verbe pendre