Tableau Masse Volumique Théorique

...................................................................... 6 Unité de longueur (mètre) (m) ................................................................................................................................... 6 Unité de masse (kilogramme) (kg) .............................................................................................................................. 6 Unité de temps (seconde) (s)........................................................................

quand on s'approche encore de la mer, on s'enfonce de nouveau. Le sable est saturé en eau et sa compacité est amoindrie. La courbe déterminée par l'essai Proctor diminue alors. Ce résultat dépend de chaque sol et n'est donc pas théorique mais expérimental. La masse volumique maximale et la teneur en eau optimale sont déterminées à partir des résultats de cet essai. Les sols sont testés in situ pour obtenir la "dry bulk density". Le résultat est divisé par la densité sèche maximale pour obtenir la

| MECANIQUE DES FLUIDES | | | | | | SOMMAIRE PARTIE I rappels 6 Aires et volumes 6 Les sept unités de base du SI 6 Unité de longueur (mètre) (m) 6 Unité de masse (kilogramme) (kg) 6 Unité de temps (seconde) (s) 7 Unité de courant électrique (ampère) (A) 7 Unité de température thermodynamique (kelvin) (K) 7 Unité de quantité de matière (mole) (mol) 7 Unité d'intensité lumineuse (candela) (cd) 7 Préfixes du SI 7 Règles d’écriture 7 Unités dérivées DU

Département Génie Chimique et Biologique Fascicule de Travaux pratiques Opérations Unitaires I A. Charfi, F. Ellouze, S. Abdelmoumen 2013-2014INSAT Opérations Unitaires 1 Sommaire TP1 : DISTILLATION CONTINUE 1 BUT 1 NOMENCLATURE 1 I. RAPPEL THEORIQUE 1 I.1. PRINCIPE 1 I.2. BILANS DE MATIERE ET DROITES OPERATOIRES 2 1.3 METHODE DE MAC CABE ET THIELE 4 1.4 EFFICACITE DE LA COLONNE 6 1.5 BILANS THERMIQUES 6 II. DESCRIPTION DE L’INSTALLATION 7 II.1. DESCRIPTION GENERALE 7 II.3. SUPERVISION

résistance à la rupture d’un matériau solide est fonction des forces de cohésion qui existent entre les atomes. La valeur mesurée de la résistance à la rupture de la plupart des matériaux est généralement de 10 à 1000 fois inférieure à la valeur théorique calculée à partir des forces de cohésion. Pourquoi ? 2. A l’échelle atomique comment se manifeste la déformation élastique dans un matériau métallique et dans un polymère ? 3. La présence de dislocations dans un matériau est-elle une condition suffisante

connaissances acquises au sein de l’Ecole Mohammadia d’Ingénieurs et d’améliorer mon savoir. Le fruit de toute cette période est le modeste rapport qui abordera au premier chapitre la présentation du groupe OCP, le deuxième chapitre : Rappel théorique sur la décantation et le troisième chapitre sera consacré au dimensionnement d’un décanteur de boue de phosphate. Remerciement : Il m’a été agréable de m’acquitter d’une dette de reconnaissance auprès de toutes les personnes, dont l’intervention

Ps : masse volumique de la matrice solide. ve : vitesse moyenne absolue du solvant. vs : vitesse moyenne absolue de la matrice solide. Deff : Diffusivité du solvant dans la matrice solide. Le coefficient de diffusion effectif (Deff ) lors de l’extraction solide-liquide est généralement estimé à partir de la cinétique expérimentale. On peut considérer comme négligeables les phénomènes d’expansion ou de retrait, ce qui permet de supposer négligeable l‘évolution de la masse volumique de la matrice

..........................................................................7 1.4.2 La masse et le poids ..........................................................................................................................7 1.4.3 Le volume .........................................................................................................................................7 1.4.4 La masse volumique .......................................................................................

| | | | |3.5 - Le traitement des bordereaux de pesées | | | | |3.6. - Le rendement volumique du béton | | | | |3.7. - Le principe de la double correction d'eau | |

représente la catégorie C-2. À partir de ces données, le béton devra avoir un rapport eau liant maximal de 0,45 et une teneur en air entrainé allant de 5 à 8%. Étant donné que la résistance à la compression voulue est de 35 MPa, on peut grâce au tableau 9-3 déterminer que le rapport eau/ciment devra être d’environ 0,39. Par contre, pour ce laboratoire, un rapport de 0,4 sera accepté. Il faut ensuite savoir la grosseur nominale des granulats et les proportions entre les gros granulats et le sable