Tableaux Parisiens

Séquence 1 « A une passante » Texte de Baudelaire in Les Fleurs du mal Extrait de la troisième partie du recueil, Tableaux Parisiens Poème des « Tableaux Parisiens » Tentative d’échapper au Spleen : - par la contemplation - par l’amour donc ici PAR L’AMOUR. Thème Baudelaire veut se plonger dans l’ivresse de Paris pour échapper au mal-être. Ville = anonymat et sécurité Dans ce poème apparition éphémère et bouleversante d’une femme à la fois éphémère et éternelle. Éphémère

Baudelaire est attaqué en justice pour immoralité car il frise la pornographie dans certains poèmes ( ex : les bijoux , le lethé ,à celle qui est trop gaie ... ) . La majeure partie du recueil se divise en 6 partie : spleen et idéal ( 85 poèmes ) , tableaux parisiens (18 poèmes ) fleurs du mal ( 9 poèmes ) Révolte ( 3 poème ) La Mort ( 6 poèmes ) . il y a un premier poème qui sert de prologue , en effet il s'intitule " au lecteur " . cette architecture du recueil a une signification , il suit un cheminement

d’histoire et illustre plus particulièrement la période de la Révolution Française et de l’Empire. I-Découverte du quartier : Le musée De L’ARMEE se trouve dans le VII° arrondissement de Paris en plein cœur. Le Marais est un quartier historique parisien situé dans une partie des IIIe et IVe arrondissements de Paris, sur la rive droite de la Seine. Il est aujourd'hui délimité à l'ouest par la rue Beaubourg, à l'est par le boulevard Beaumarchais, au nord par la rue de Bretagne et au sud par la Seine

Les Fleurs du mal, Baudelaire, 1857 (2ème section : Tableaux parisiens) LXXXIX - Le Cygne A Victor Hugo ←poème dédié à l’exilé volontaire I 1 2 3 4 Andromaque1, je pense à vous ! Ce petit fleuve, Pauvre et triste miroir où jadis resplendit L'immense majesté de vos douleurs de veuve, Ce Simoïs2 menteur qui par vos pleurs grandit, 5 6 7 8 A fécondé soudain ma mémoire fertile, Comme je traversais le nouveau Carrousel. Le vieux Paris n'est plus (la forme d'une ville ←les grands travaux d’Haussmann

seulement des chants et des rires, mais des cris ignobles (“tu beugles”). Cette ardeur qui porte la multitude vers le plaisir poussé jusqu'à la perversion et au sadisme, Baudelaire l'a condamnée également, par exemple dans un autre poème des Tableaux parisiens “À une passante”. Tout comme les aveugles (“autour de nous”), il se sent étranger à cette foule vulgaire; il dédaigne le déchaînement monstrueux qui la porte à s'étourdir dans les plus basses jouissances. Vers 13-14 Par une démarche qui lui

Enonciation : Rica « je » : persan - > étranger pour les parisiens / parisiens étrangers pour lui Derrière se cache Montesquieu : fait passer une critique de manière agréable avec l’ironie Genre : Epistolaire : datation, indication de l’émetteur mais pas de formule d’appel car lettre insérée -> effet de réalisme (comme le calendrier persan). Ce genre sous-entend le thème du regard avec la relativité (du regard, du jugement) ce qui va amener une réflexion philosophique : sur le regard porté

LXXXV. L’Horloge 98 99 100 101 102 103 104 105 106 107 108 110 TABLEAUX PARISIENS LXXXVI. Paysage LXXXVII. Le Soleil LXXXVIII. A une Mendiante rousse LXXXIX. Le Cygne XC. Les Sept Vieillards XCI. Les Petites Vieilles XCII. Les Aveugles XCIII. A une passante XCIV. Le Squelette laboureur XCV. Le Crépuscule du Soir XCVI. Le Jeu XCVII. Danse macabre XCVIII. L’Amour du Mensonge XCIX. C. CI. Brumes et Pluies CII. Rêve parisien CIII. Le Crépuscule du Matin 111 112 113 114 116 118 120 123 124

précédés d'une dédicace à Gautier et du poème au lecteur.  Les 5 sections initiales sont : Spleen et Idéal, Le Vin, Fleurs du Mal, Révolte et La Mort.  Une  seconde  édition  augmentée  de  35  poèmes  nouveaux  (et  d'une  section  inédite  :  Tableaux  parisiens)  est  publiée  en  1861.  L'édition  définitive  des  Fleurs  du  Mal  a  été  publiée en 1868, après la mort de Charles Baudelaire (1821­1867).  Ce  recueil  est  mal  accueilli,  par  la  critique.  Seuls  quelques­uns,  dont  son  ami 

courant romantique par ses thèmes: expression des sentiments et des sensations, accord avec la nature. Baudelaire, « A une passante » Sonnet écrit en 1861 par Baudelaire dans le recueil Les Fleurs du Mal, dans la séquence intitulée « Tableaux parisiens ». Le titre « A une passante » ressemble à une dédicace à une inconnue. Thème de la rencontre d’une passante au hasard d’une promenade dans Paris. Le poète la croise et leurs regards vont se rencontrer quelques secondes. Analyse linéaire

son art à New York, où il avait son atelier, il est considéré comme l’un des représentants du naturalisme ou de la scène américaine, parce qu’il peignait la vie quotidienne des classes moyennes. Au début de sa carrière, il a représenté des scènes parisiennes avant de se consacrer aux paysages américains et de devenir un témoin attentif des mutations sociales aux États-Unis. Il produisit beaucoup d’huiles sur toile, mais travailla également l'affiche, la gravure (eau-forte) et l'aquarelle. Une grande