Tacite

l’expérimentation comme source de création des connaissances. Les expériences permettent d’accéder à la connaissance. Gestion des connaissances : Processus d’apprentissage, de création, de transformation et de circulation des connaissances explicites et tacites dans un contexte donné, effectué par les personnes, intégré dans les différents processus de l’organisation, soumis à la logique managériale en vigueur. Elle est cumulative et non rivale. Notion d’apprentissage : Face à des évènements et expériences

l'action. Distinguons également: * « les connaissances déclaratives » : c’est le savoir en soi * « les connaissances procédurales » : c’est la capacité de mettre en œuvre « les connaissances déclaratives » Et : * « Les connaissances tacites » Ce sont les connaissances appartenant aux représentations mentales, profondément ancrées dans les personnes et leurs vécus et donc peu verbalisables. Elles regroupent les compétences innées (Ex: dons, talents) ou acquises (Ex: swing performant

soit par écrit soit par oral). Parfois il y a des offres tacites (l'offre qui résulte d'une attitude dont on peut déduire une offre de contractée). Elle peut être faite au public (annonce sur le bon coin) ou à une personne déterminée (proposition à un ami). L'offre peut être faite avec ou sans délai. B- L'acceptation Bcp plus simple que l'offre, le plus souvent l'acceptation est express (écrit ou oral). Il existe des acceptations tacites (le silence qui vaut une acceptation, dans certains domaines

affiche, annonce…), verbale (camelot), en ligne (via Internet) ; – l’offre tacite résulte d’attitudes (menu affiché à l’entrée d’un restaurant). B. L’acceptation de l’offre L’acceptation est la manifestation de la volonté du destinataire de l’offre. Elle prend différentes formes : – l’acceptation est expresse lorsque la personne exprime sa volonté par un langage qui peut être oral, écrit ou gestuel ; – l’acceptation est tacite lorsque la personne exprime son consentement par une attitude qui induit

(annonce, affiche) ou tacite (vitrine de magasin...) L'acceptation : C'est la manifestation de la volonté par laquelle le destinataire de l'offre adhère à la proposition et c'est à ce moment là que ce forme le contrat. L'acceptation peut être express : Le contractant manifeste clairement sa volonté d'accepter l'offre. Elle peut être tacite : Dans ce cas là, l'exécution du contrat vaut l'acceptation. En principe, le silence n'a pas de valeur juridique mais la loi admet la tacite reconduction qui

sur une décision, avec l’approbation tacite des autres docteurs contemporains. De plus le ijma3 obéit à un certain nombre de principes : Le principe de conformité ou la non contradiction avec les sources principales. Le principe d’unanimité :il faut noter qu’une seule voix suffit pour rompre un « Ijmaâ » au moment de sa formulation. Le principe d’irrévocabilité c'est à dire qu' il est interdit de revenir sur « l’Ijmaâ » explicite. 
 « L’Ijmaâ » tacite. C’est typiquement le cas d’une opinion

puisqu’il n’a pas donné son consentement. Il n’aurait donc aucune obligation envers SANDROCK et de ce fait il refuse de réparer le dommage causé à ce dernier. Le problème de droit : Une convention d’assistance peut-elle être conclue par acceptation tacite de l’assisté ? La décision de la Cour de Cassation : La Cour de Cassation considère que le moyen du pourvoi de MARTIN n’est pas fondé, la cour d’appel à bien jugé en reconnaissant l’existence d’une convention d’assistance entre MARTIN et SANDROCK

portant réforme des successions et libéralités permet aux héritiers d'exécuter l'ensemble des actes nécessaires à la conservation et à l'administration provisoire de la succession. La loi protège donc les héritiers contre le risque d'une acceptation tacite de la succession. En effet, entre le décès du chef d'entreprise et le choix de l'option successorale, il est nécessaire que certains biens successoraux soient rapidement administrés. Il en est ainsi pour l'entreprise afin que celle-ci ne perde

l’interprétation légale des sources principales. On distingue deux sortes d ’ « Ijmaâ » : • « L’Ijmaâ » explicite : Il résulte d’une décision prise par un groupe de savants, en nombre suffisamment élevé, qui se prononce à l’unanimité, et avec l’approbation tacite des autres docteurs contemporains. Il obéit à un certain nombre de principes : ◦ Le principe de conformité ou la non contradiction avec les sources principales. ◦ Le principe d’unanimité : à ce propos, il est à noter qu’une seule voix suffit

entier. Elle peut être express (annonce, affiche) ou tacite. L’acceptation : c’est la manifestation de volonté par laquelle le destinataire de l’offre adhère à la proposition qui lui est faite et c’est à ce moment là que se forme le contrat. Elle peut être express ou tacite, et dans ce cas l’exécution du contrat vaut acceptation. En principe, en droit français, le silence n’a pas de valeur juridique. Mais, le droit français admet la tacite reconduction qui donne naissance à de nouveaux contrats