Taille du génome

BIODIVERSITE ET EVOLUTIONCORRECTION DES EXERCICES (PGES 82-85)❶QCM 1. b. L’évolution de la biodiversité s’observe par la modification des génomes et des espèces. 2. b. La dérive génétique peut éloigner génétiquement deux populations de la même espèce. ❷Formuler une connaissance a. Les crises biologiques sont des modifications brutales et importantes de la biodiversité. b. La dérive génétique provoque des modifications au hasard de la fréquence allélique dans une population. c. La sélection naturelle

individus fertiles), ils possèdent les mêmes gènes (génome=) Diversité des gènes (diversité invisible qui est à l'origine de la biodiversité individuelle), à l’intérieur d’une même espèce, nous sommes, certes, tous parents, mais…tous différents. En effet si nous possédons les mêmes gènes, nous ne possédons pas tous les mêmes allèles. (versions différentes d’un gène) (génotype ≠) - Elle prend également en compte toutes les échelles de taille, d'espace et de temps : des bactéries aux éléphants

aussi de séquestrer les transformations dans un même endroit. Cela augmente aussi la place pour loger des activités membranaire, donc cela augmente la taille des cellules, ainsi que l’énergie et l’efficacité. Cela permet aussi de réguler l’expression des gènes ( le génome mitochondriale, et génome chloroplastiques est différents de celui du génome. ) Les bactéries a l’inverse sont très petite. B- La compartimentation présente aussi des inconvénients. Il faut transporte les molécules d’un

ED génome –correction. 1° PCR = reproduction d’un segment d’ADN choisi en plusieurs fois et de façon exponentielle. Amplification exponentielle d’un segment d’ADN spécifique, défini par deux amorces à chaque extrémité. On utilise pour cela la Taq polymérase qui fonctionne à de hautes températures ; on ajoute des bases de façon complémentaire à partir d’amorces toujours dans le sens 5’  3’. On a également besoin de dNTPs. La longueur de chaque segment d’ADN est définie par les amorces (une dans

sont des virus nus, de 45 à 55 nm de diamètre, dont la capside est formée d’un assemblage de briques protéiques appelées capsomères, au nombre de 72 par capside. Leur génome, de 8 000 paires de bases se présente sous la forme d’un ADN double brin circulaire et s’organise en trois régions qui peuvent être individualisées au sein du génome (Figure 4) : 10  une région précoce E (Early) qui contient les séquences codantes des protéines virales précoces (E1 à E7), ces protéines vont jouer un rôle important

d’uranyle ou l’acide phosphotungstique. les virus apparaissent alors en contraste négatif comme des structures claires sur un fond foncé. on parle de coloration négative. la technique permet d’identifier le virus sur base de sa structure et de sa taille. son principal avantage est la rapidité de réalisation. on peut la combiner avantageusement avec les techniques immunologiques : on parle alors de décoration immunologique (la particule virale est entourée d’immunoglobulines qui lui donnent un aspect

dirige alors parallèlement deux laboratoires (l'un à Harvard, l'autre à CSH), jusqu'en 1977 où il renoncera à celui d'Harvard. En 1988, dans le cadre du Projet Génome Humain , lui est confiée la direction du programme Génome Humain du National Institutes of Health (qui allait devenir l'année suivante le NCHGR : National Center for Human Genome Research of the National Institutes of Health). Il en démissionne en 1992, lorsque le NIH manifeste la volonté de prendre des brevets sur des séquences partielles

dans le décodage du génome humain, mais également pour les éventuels progrès de la connaissance induits par la découverte de ces gènes. En outre, la question desbrevets de médicaments pose le problème de l'accès au soin pour les plus pauvres. Une législation mal adaptée pourrait conduire à la biopiraterie. Selon une déclaration de l'Unesco du 11 novembre 1997, le génome humain est un patrimoine de l'humanité et il ne peut faire l'objet de commercialisation. Le décodage du génome ne peut être breveté

précède la différenciation des organes floraux. On pourra donc intervenir sur la qualité de l’explant : en fonction de l’âge du pied-mère, en fonction de l’époque de prélèvement, en fonction de sa localisation sur le pied-mère, en fonction aussi de sa taille et de sa nature. Culture de méristèmes : Dès 1952, Georges Morel de l’INRA de Versailles réussit à obtenir une plante entière à partir d’un méristème. Le méristème étant toujours indemne de virus, on peut obtenir des plantes saines à partir

relation entre le sexe génétique et le sexe gonadique observée chez ces individus. Document 1 : Comparaison d'ADN de souris témoins et transgénique par électrophorèse Des souris transgéniques ont été obtenues par insertion du gène Sry dans le génome d'une cellule oeuf de génotype XX. Dans plusieurs cas, ces embryons transgéniques ont développé des testicules. D'après "ADN recombinant" James D. Watson   Document 2 : Comparaison d'extraits de séquence peptidiques de la protéine TDF codée par