Takashi Murakami

Le pop art au Japon : Au Japon, le pop art est identifiable par ses sujets et son style réguliers. Beaucoup d'artistes japonais se sont inspiré des mangas, de Ukiyo-e ou d'art traditionnel. L'artiste du pop art japonais le plus reconnu est Takashi Murakami du groupe d'artistes Kaikai Kiki. Ce groupe est renommé pour la production massive, le Superflat, un style surréaliste, post-moderne dont l'inspiration principale vient des mangas et de la culture urbaine japonaise. Ce style vise principalement

entreprises ne vendent que 50% de leur production, Louis Vuitton parvient à vendre la totalité de ses produits. Aujourd’hui il faut même s’inscrire sur une liste d’attente pour acheter le dernier sac revisité en 33 couleurs de l’artiste japonais Takashi Murakami. De plus, la marque compte aujourd’hui 317 magasins exclusifs dans le monde et 9.300 employés (3.720 en France dont 2.455 personnes dans ses 15 ateliers). 3) Ciblage et positionnement Louis Vuitton est une marque de luxe, il n’est

innovation constante et une concentration accrue. L’innovation du groupe aboutit, chaque année au lancement de nouveaux produits, comme le parfum J’adore de Christian Dor ou le sac Vuitton Monogram revisité en 33 couleurs par l’artiste japonais Takashi Murakami. Le groupe s’est également attelé à réduire le nombre de concurrents sur ses marchés grâce au rachat d’autres acteurs. Dans le domaine des vins et spiritueux, par exemple, le groupe a étendu son offre à travers la prise de contrôle de Dom Périgon

toujours question, la priorité des politiques culturelles n’est plus le patrimoine du passé, mais la production artistique contemporaine progressiste pouvant s’inscrire dans celui-ci: des artistes contemporains comme Jeff Koons, Xavier Veilhan, Takashi Murakami, ont été invités à mettre en dialogue l’éxubérance de leurs oeuvres avec la grandiloquence du château de Versailles entre 2008 et 2011. D’ailleurs Jean-Michel Leniaud fait remarquer que des années 1960 jusqu’en 1987, il est question d’une

muraille de Chine au printemps 2008. Marc Jacob et Givenchy sont également en accélération de croissance. Ces deux marques ont mis en place des collaborations en mettant en commun les ressources humaines avec d’autres marques de mode telles que Takashi Murakami pour Marc Jacobs. Cette stratégie de collaboration a permis à ces marques d’étendre leur couverture géographique. Pour le domaine mode et maroquinerie les axes d’investissement choisis sont l’innovation, le réseau de distribution et les

la maroquinerie, mais aussi l’émergence de plus en plus de stylistes ou créateurs de mode dédiés uniquement à la création des accessoires. La maison Louis Vuitton à été la première a illustré ce phénomène avec la contribution de l’artiste Takashi Murakami. Cet artiste crée des sculptures monumentales, peintures, papiers peints, et autres objets. Ses œuvres puisent directement dans l'imagerie manga japonaise, qui est détournée et amplifiée sur des thèmes ou émergent des questionnements à première

Le journal de mon père, L’homme qui marche…) sur le marché français. Il s’explique également par les passerelles désormais observées entre manga et art contemporain, haute couture ou danse contemporaine, puisque de nombreux artistes - tels que Takashi Murakami, Marc Jacobs ou Nurten Aka - affirment s’inspirer de l’univers des manga pour leurs créations. Evènements symptomatiques de cette légitimité nouvelle, le magazine Beaux arts et la chaîne de télévision Arte consacraient respectivement en 2008

invitation à la découverte, à la découverte de soi, du monde, mais aussi une réflexion sur la place de l’homme dans ce monde. Ce film, diffusé dans le monde entier, a été traduit en 13 langues. Après la collaboration de Marc Jacobs avec l’artiste Takashi MURAKAMI, celle avec Ricard PRINCE, artiste peintre et photographe américain, est une nouvelle illustration de la capacité exceptionnelle de création de Louis Vuitton. Il a pris soin de relooker le Monogramme Vuitton. Ainsi, le nouveau sac Untitled Monogram

et privées ont diminué, affectant ainsi les acquisitions des fondations et des musées. Les prix ont chuté en même temps qu'explosait le nombre des invendus. Les superstars du marché mondial ont été particulièrement affectées : Jeff Koons, Takashi Murakami, Subodh Gupta, Zhang Xiaogang et, exemple le plus spectaculaire, Damien Hirst. Le 15 septembre 2008, le Veau d'or atteignait un montant record pour un artiste contemporain lors d'une vente aux enchères le jour même où était enregistrée la

plupart des ouvrages consacrés au marché de l’art sont dus aux journalistes de ces rubriques, lesquels se concentrent, de manière répétitive et souvent assez peu critique, sur un petit nombre de vedettes du marché : les artistes Jeff Koons, Takashi Murakami et Damien Hirst, les galeristes Larry Gagosian ou Emmanuel Perrotin, les collectionneurs Charles Saatchi, Dakis Joannou ou François Pinault, le commissaire-priseur Tobias Meyer, etc. Les œuvres elles-mêmes ne sont évoquées qu’en passant :