Tarrou Et Rieux

propose encore... Mais il est peut-être temps de laisser les commentaires et les précautions de langage pour en venir au récit lui-même. La relation des premières journées demande quelque minutie. [18] Le matin du 16 avril, le docteur Bernard Rieux sortit de son cabinet et buta sur un rat mort, au milieu du palier. Sur le moment, il écarta la bête sans y prendre garde et descendit l'escalier. Mais, arrivé dans la rue, la pensée lui vint que ce rat n'était pas à sa place et il retourna sur ses

confidences de Tarrou » : p.250, à partir de « Je n’ai pourtant gardé…. », Jusqu’à… « le plus abject des assassinats ».   Pb : en quoi cet extrait = révélateur de la dimension symbolique ?mise en place de la confidence et réquisitoire contre la mort ?   1/ Le récit d’un souvenir fondateur   a)      Les trois temps de la prise de conscience de Tarrou   Décomposition du texte en 3 temps = les 3 § de l’extrait : Ø  1e = une révélation : la figure humaine de l’inculpé (Tarrou = comme  hypnotisé :

LA PESTE Les personnages Bernard Rieux : Il est le narrateur. Un médecin de trente-cinq ans. Il est un athée, il croit seulement à l’homme. Il fait tout pour aider les gens. Il accepte aussi la mort de sa femme après tout qu’il a passé avec la peste. Jean Tarrou : C’est un homme qui cherche la calme interne. Il se trouve par hasard dans la ville. Il aide Rieux. Quand il était un enfant, il ne pouvait pas supporter le travail de son père comme un juge qui envoyait les hommes à la mort. Jean meurt

thèmes suivants : I/ phase d’approche de la maladie II / le développement de la maladie II/ l’apogée IV/ la décrue V/ la disparition Resituer les personnages importants évoqués dans ce passage : • Rieux, médecin luttant contre la peste, parmi les premiers à avoir constaté la maladie • Tarrou, personnage au grand cœur qui aide à la lutte mais succombe dans les dernières pages au roman à la maladie • Cottard, personnage profitant de la peste pour s’enrichir et faire disparaitre un mystérieux

Description des personnages : Rieux : altruiste, généreux, modeste, loyal. C’est un vrai médecin, il a prêté serment et il le sait. Il se rabaisse et ose dire qu’il ne sait pas : « je suis dans la nuit et j’essaye d’y voir claire ». Il a un instinct moral qui le pousse à se détourner de ce qu’il aime, se qui le pousse à bien faire son métier. Il est ouvert aux autres. Il suscite le respect et la confiance des autres personnages. Tarrou : jeune, sourcils épais, fils d’un procureur. Il croit

à commenter : « Les confidences de Tarrou » : p.250, à partir de « Je n’ai pourtant gardé…. », jusqu’à… « le plus abject des assassinats ». Pb : en quoi cet extrait = révélateur de la dimension symbolique de la peste, de La Peste  ? 1/ Le récit d’un souvenir fondateur a) Les trois temps de la prise de conscience de Tarrou Décomposition du texte en 3 temps = les 3 § de l’extrait : ➢ 1e = une révélation : la figure humaine de l’inculpé (Tarrou = comme hypnotisé : « je n’eus plus

narrateur de la chronique, jusque là inconnu. L’histoire se déroule en Avril dans une ville ordinaire nommé Oran. Les habitants de cette dernière sont habités par des habitudes qui définissent leurs vies selon les saisons. Parmi eux, le docteur Rieux trouve un jour un rat mort devant la porte de son cabinet. Sa femme étant malade, il l’accompagne à la gare afin qu’elle puisse se soigner pendant que son concierge s’occupe du rat mort. D’autres habitants en avaient rencontrés cependant, tous croyant

de l’amitié entre Tarrou et Rieux. Réunion du plaisir des sens, bien-être. Transgression de la peste. La ville est une prison (univers de la maladie, du mal), la baignade (la mer : source de vie, ouverte sur l’immensité) permet l’évasion. Etapes à franchir avant d’arriver à la mer, le passage de la ville au large se fait progressivement, étapes sensitives (odeur, bruit, vue). La mer : personnifiée, métaphores (une bête, un tissu, un être presque humain). Harmonie entre Tarrou et la nature (mêmes

lecteur le côté absurde de la scène et l'injustice subie par les hommes. De plus, il y a aussi la mort de Tarrou qui apparaît dans un moment particulier, lorsque l'épidémie cesse enfin. Par conséquent, au delà de la représentation clinique de la scène de mort, le regard affecté de Rieux donne au texte une dimension solennelle qui permet au lecteur de partager les sentiments du personnage. Rieux, victime d'impuissance et d'injustice, prend encore une fois conscience de l'absurdité de la vie. Finalement

haine ni l’envie ni le désir de dominer. Elle lutte contre la haine, elle est source de sacrifices et désintéressement. Le révolté lutte avec l’amour des autres pour un monde plus juste, plus fraternel et plus humain, comme le fait Tarrou dans La Peste. En effet, Tarrou est le seul que la peste ne surprenne pas, puisqu’elle n’est pour lui que la manifestation extérieure du microbe que chacun porte en soi et qui est naturel. Contrairement à Paneloux (le prêtre adaptera ses idées dans un deuxième sermon