Tartuffe Est Une Pièce Baroque

spectateurs qui, chez Molière, ont assisté à une représentation de L'École des femmes et, chez Rostand, sont venus voir jouer Montfleury. Les textes C et D sont des ouver¬tures dans lesquelles un personnage, l'Annoncier et le Prologue, vient présenter la pièce à la salle. Nous allons voir quelles attitudes de spectateur ces extraits nous proposent. Nous pouvons voir d'abord une attitude passive et distante. Au théâtre, les spectateurs sont généralement passifs car c'est aux acteurs d'être actifs. C'est

est Don Juan dans la pièce de Julie Brochen ? Une pièce catastrophée par son personnage principale absent dans tous les sens du terme, ce qui pénalise la moitié de la pièce qui est basé sur Don Juan, mais que devient la pièce de « Dom Juan » sans Don Juan ? Heureusement que l’on peut retrouver du réconfort dans la mise en scène de Julie Brochen qui sauve la pièce. Molière et sa pièce de « Dom Juan » : Molière écrit Dom Juan en 1665 pour palier à la censure de Tartuffe . Qui n’a jamais entendu

Le théâtre au XIIème siècle 1) L’évolution du style Jusqu’au milieu du 17ème siècle, le théâtre est dit « baroque ». Ce sont des tragicomédies, avec des intrigues compliquées, des décors chargés. Certains théoriciens vont faire évoluer ce style vers une forme théâtrale plus simple avec des décors plus sobres. Plus tard, on l’appellera Théâtre classique. Les ouvrages de l’abbé d’Aubignac (Pratique du théâtre 1657) et Boileau (Art poétique 1674) deviendront des références en la matière. Ils vont

fois en 1665, connaît un succès considérable jusqu’à ce qu’il soit interdit par le roi sous la pression des dévots qui venaient de faire interdire Tartuffe. En effet, cette pièce, qui reprend un sujet à la mode, est une tragi-comédie qui raconte la vie dissolue d’un libertin. Si Molière est considéré comme un classique, Dom Juan est néanmoins une pièce d’un genre hybride, une tragi-comédie, qui fait plus d’une entorse aux règles classiques, ainsi elle refuse la règle des trois unités, est écrite en

Commentaire dénouement I Un dénouement spectaculaire et symbolique = dénouement baroque Le merveilleux va faire de cette scène un moment intense et dramatique, avec trois moments essentiels( le spectre, le temps, la statue). a) Allégorie païenne Le spectre : fantôme d’un mort qui vient hanter les vivants, forme de femme voilée pour rappeler à DJ (l’homme sans mémoires) les femmes déshonorées incarne la culpabilité de DJ et la nécessité du remord dans une logique chrétienne : jusqu’au

particulier pour Molière, il vient d’essuyer l’échec de Tartuffe ce qui le contraint à écrire une nouvelles pièce rapidement pour sa troupe. Il reprends donc le mythe de Dom Juan à son propre compte et imagine le personnage de Sganarelle qui n’était pas dans la version de Tirso de Molina où il y avait un simple valet. Il a renoncé à Tartuffe mais reprends quand même le thème principal qui était l’hypocrisie sociale et religieuse pour sa pièce Dom Juan. Nous étudierons un extrait de la scène 2 de l’acte

. Acte 1 Scène 3 : Tirade de Done Elvire Le texte que nous allons étudier est extrait de la pièce « Don Juan » écrite par Molière en 1665. Cette pièce fut écrite par Molière après l’interdiction de la représentation de sa pièce Tartuffe, afin de faire vivre ses comédiens. Molière décrit un libertaire : Don Juan qui ne savait aimer personne et vivait en solitaire avec son valet. Il poste la question de Dieu en même temps que celle de la liberté absolue de l’homme. Ce texte se situe dans l’acte

Pascal (l’influence de jansénisme). On peut diviser le XVIIème sièlce en trois grandes parties : Le baroque → on a longtemps considéré comme des irréguliers ou des attardés tous les écrivains qui restent étrangers au goût classique. Il s’agit de la littérature baroque qui se caractérise par une exubérance de l’immaginations et du style formant un contraste avec la raison classique. Le baroque, se caractérise aussi par un lyrisme libre, les images brillantes, .. Le classicisme → il s’agit de

Partie méprise les conventions du théâtre classique. Cette pièce ne respecte ni la règle des trois unités, ni celles de la vraisemblance et de la bienséance. Tout d'abord, il n'y a plus d'unité de temps, il n'y a plus de temps tout court. Dans Fin de Partie, pas d'actes, pas de scènes, donc pas d'ellipse. Le spectateur n'a aucun repère temporel fiable, aussi bien par cette construction de la pièce, que par les dialogues et les événements de la pièce elle-même L’unité d’action : Cela permet de concentrer

(la pru- dence l'exige) : aristocratie et bougeoisie adoptent ces idées nouvelles (toujours dans le plus grand des secrets). 2 Dans le courant libertin, on trouve des auteurs très divers. D'abord, au début du XVII° siècle, un groupe de poètes baroques, parmi lesquels Théophile de Viau, auteur d'écrits juges par l'Église "obscènes ce qui lui valut d'étre arrêté et emprisonné. Ensuite, à partir des années 1630, ceux quon appelle les "érudits libertins : citons, parmi eux le philosophe François