Tartuffe Tragique Ou Comique

malgré lui, il dénonce la méthode des médecins qui ne font ni plus ni moins que des saignées ou des lavements. Il faut ainsi la satyre de la médecine et nous convaincs grâce à une manière d’écriture pointue. Autre exemple, avec sa comédie intitulée Tartuffe ou l’imposteur. Ici Molière fait la critique des hommes d’Eglises, des dévots, mais aussi de la naïveté et la crédulité de la population. Preuve que le théâtre a pour but de faire avancer les codes sociaux et corriger les injustices. Grâce à lui

activités complémentaires Un sonnet au choix a été appris par cœur. Séquence 2 Objet d’étude Le théâtre : texte et représentation Œuvre complète MOLIERE, Le Tartuffe, 1669 Texte 1 : I, 4 v. 223-258 « Et Tartuffe ? » Texte 2 : III, 2 v. 853-878 l’arrivée de Tartuffe Texte 3 : IV, 5 v. 1437-1478 (…) 1505-1527 l’imposture de Tartuffe Texte 4 : V, 4 v. 1733-1772 Monsieur Loyal Lectures cursives MARIVAUX, Le jeu de l’amour et du hasard, 1730 MUSSET, On ne badine pas avec l’amour, 1834 IONESCO

Sujet 2 : dissertation Introduction La comédie de Molière Tartuffe s'achève par l'arrivée d'un exempt venu arrêter le personnage éponyme. L'intrigue se dénoue de façon heureuse et inattendue par un véritable coup de théâtre qui révèle enfin toute la noirceur de Tartuffe et le contraint à laisser tomber son masque. Ce genre de dénouement est fréquent au théâtre, art spectaculaire par nature. De façon générale, la découverte d'une vérité constitue un élément important des pièces et s'avère

des personnages nuancés, autour de sujets importants (cf. Tartuffe, Le Misanthrope). Comédie  | Tragédie  | Personnages de bourgeois | Personnages nobles | Sujet = famille, vie sociale, argent, amour (sphère privée) | Sujet = pouvoir, politique, amour (sphère publique) | Forme assez libre ; vers ou prose | Cinq actes ; vers | Registre comique et fin heureuse | Registre et dénouement tragiques | Unité de lieu, de temps, d'action | Unité de lieu

diverses lectures sur différentes formes d’expression au théâtre (les mots du dialogue, le langage des gestes…). Il s’agit de compléter et d’approfondir l’étude commencée en 2nd autour du genre théâtrale, à savoir les notions de registre comique et tragique. Le théâtre occupe une place spécifique dans la littérature parce que c’est un genre qui a donné naissance à des majeurs depuis plus de 25 siècles et parce c’est à la fois un texte et un spectacle. Le théâtre est un genre particulier :

Dom Juan, Molière, 1665 Contexte En 1664, le Tartuffe déclenche la colère des dévots et est interdit après la 1ère représentation. Molière a besoin d’une nouvelle pièce pour sa troupe et reprend le personnage de Tirso de Molina. Don Juan devient ainsi un grand seigneur débauché, un impie châtié par la vengeance divine. En 1665, il présente son Dom Juan, pièce en 5 actes et en prose. Les dévots font aussi interdire la pièce. Après la mort de Molière, sa veuve en demande une version expurgée à

efficace argumentation. VH utilise une metaphore + gradation afin de donner sa propre def theatre = miroir (exagère/grossit/déforme) Comédie répond a ces caractéristiques. -comédies de caractère (dépeint types humains et leurs défauts, cf  Tartuffe, Les Précieuses ridicules, Le Bourgeois gentilhomme, L’Avare de Molière) -comédies de mœurs (dénonce vice sociétés cf Les femmes savantes de Molière, traitant de l’éducation des femmes) -grandes comédies (a intension morale : Dom Juan) BUT

canons antiques et elle devient finalement le grand genre de l'époque classique. C'est pourquoi les règles énoncées ci-dessus s'appliquent prioritairement à la tragédie. La tragédie se définit alors d'abord par son sujet et ses personnages. Une pièce tragique se doit d'avoir un sujet mythique ou historique. Ses personnages sont des héros, des rois ou du moins des personnages de la très haute noblesse. Le style adopté doit être en accord avec la hauteur de ceux qui profèrent le texte. La plupart des tragédies

scènes de ce corpus, sur les pièces que vous connaissez et les représentations que vous avez vues. Intro Dans l’extrait de Marivaux, on voit comment l’auteur peut émouvoir son public en cherchant sous le masque la vérité du sentiment. L’extrait de Tartuffe, lui, nous convainc de la duplicité de ces faux dévots drapés dans le manteau de la religion par un discours défendant la casuistique (où l’intention peut racheter la faute). « Plaire et instruire », mot d’ordre des dramaturges du siècle classique

enterre sa cassette, bouffon surtout dans le fameux monologue de la scène 7 de l’Acte IV : «Au voleur ! au voleur ! à l’assassin ! au meurtrier !», bouffon enfin dans les derniers mots : «ma chère cassette». Ce tyran est ridicule, au plus haut point comique, et dès lors, il devient impossible de prétendre que “L’avare” doit son caractère de comédie aux seuls «lazzi» qui viennent se superposer à l'intrigue de fond : le jeu du chapeau (III, 1), le jeu des chandelles (V, 5). C’est donc une farce, ce qui