Taureau de combat

a produit de nombreux tableaux. II – CONTEXTE DE GUERNICA Entre 1936-1939 c’est la guerre civile espagnole qui oppose deux camps, d’un côté les NATIONALISTES (Franco) et les REPUBLICAINS. Franco demande l’aide de l’aviation allemande dans son combat contre les républicains à ADOLF HITLER. Les allemands testent alors de nouvelles arme en bombardant le 26 avril 1937 GUERNICA (Pays Basques Espagnol) pendant un jour de marché. Picasso est horrifié par l’évènement. Il se met tout de suite à la réalisation

gris-noir barré de jaune et blanc). Cette absence de couleur évoque la mort, à la fois la mort des victimes et la mort de la civilisation. Picasso se sert aussi de symboles empruntés à la mythologie espagnole à travers Guernica, le taureau et le cheval ; le taureau montre la brutalité et le cheval le peuple. Edvard Munch : Le Cri I) L’artiste Edvard Munch vu le jour en 1863 près d’Oslo. Peintre et graveur norvégien et surtout marqué par l’impressionnisme de Van Gogh. On retrouve dans

ETUDE DES EPISODES DANS L'ORDRE CHRONOLOGIQUE Le premier épisode, celui des Kikones ne présente ni difficultés ni subtilités masquées. C'est une scène de combat, qui plus est d'attaque et de pillage dont la ville d'Ismaros est victime. Les populations Kikones également sont belliqueuses, cavaliers aussi bien que fantassins. De plus les Kikones de l'intérieur arrivent plus denses qu'au printemps les feuilles et les fleurs (IX, 51) et cette implication saisonnière est encore bien en accord avec

Théramène et décrit de façon très précis le monstre ainsi quel e combat que mène Hyppolite et la bête. L’écrivain insiste sur une des figures de style, l’hyperbole pour exagérer afin de mettre en valeur la puissance, la laideur de cette bête et l’angoisse que ressentent les lecteurs par rapport au texte. Au vers 5, nous sommes en présence de 2 métaphores. En effet, ce monstre est qualifié par l’expression « indomptable taureau » et de « dragon impétueux » qui sont des créatures mythiques.

traité les autres. Thésée aida son père contre les Pallantide. Il tua le taureau de Marathon. puis alla délivrer les Athéniens du tribut qu'ils payaient au Minotaure de Crète. Aidé d'Ariane, fille de Minos, il tua le Minotaure et s'échappa du Labyrinthe, s'embarqua avec Ariane, qu'il abandonna. Devenu roi d'Athènes, il entreprit bientôt des expéditions lointaines. • Il figura parmi les Argonautes, • Il assista au terrible combat des Lapithes contre les Centaures. • Il enleva Antiope(ou Hippolytè)

regard est tourné vers le centre, qui est plus clair. La lecture de ce tableau se fait de droite à gauche, c'est pour cela que tous les personnages ont le regard dirigé par la gauche, sur le taureau qui semble regarder le spectateur. C'est un tableau aussi renversé que le monde qu'il représente. 5   Le taureau est l'incarnation de la brutalité, de l'obscurité dans la corrida. Dans ce tableau, il représente les Nationalistes dans cette guerre. La mère qui est en larme, tient son enfant dans

lutter contre les bombes. Et la tête décapitée montre la violence du combat. 2. Dans la partie gauche : Il y a une femme qui tient son enfant mort. Sa bouche grande ouverte évoque la douleur d’avoir perdu son enfant et l’horreur de la guerre, elle incarne une piéta (la vierge pleurant son enfant mort) et représente ainsi la souffrance du peuple et son enfant, l’innocence assassinée. Au-dessus d’elle se trouve un taureau qui représente la force brute dans la mythologie grec. C’est le seul à

les corps démembrés, les visages tordus par la peur et la douleur. On distingue aussi différents éléments : sur la partie gauche du tableau, une femme pleure son enfant mort lors du bombardement, un taureau représente les nationalistes. Une colombe symbolise la paix. L’oiseau se situe entre le taureau et le cheval puis s'efface dans l'obscurité : la paix est donc impossible entre les deux parties qui s'opposent au centre du tableau; une lampe domine la scène. Elle symbolise peut-être l’œil du peintre

gagner cette Guerre et de s'imposer définitivement. La petite créature sur la gauche est Loplop. C’est un oiseau qui représente Max Ernst lui-même et est présent dans de nombreux tableaux. Ici, il tente d’arrêter le monstre mais en vain. Il perds le combat, impuissant par rapport à la force destructrice du monstre. Le titre nous parait bel et bien comme ironique. Il ne s’agit pas ici d’un ange mais bien d’un monstre. (Surréalisme -> décalage titre, image comme Magritte). Néanmoins le mot foyer est

le tableau lorsqu’il était à Paris, en France. Description : Description de gauche à droite Le taureau ou le monstre: taureau représente l’Espagne (la corrida) et les nationalistes (monstre) La mère en larme : elle incarne le peuple qui souffre L’enfant mort : symbolise les innocents tués Le soldat mort en bas : il représente les républicains, le démembrement montre la violence du combat, l’épée brisée montre le sous-armement des républicains et la fleur montre une lueur d’espoir mais qui