Taureau de combat

le nombre invraisemblable de pièces et de couloirs plus ou moins étroits rappel l’aspect dédalique (en forme de labyrinthe) de l’édifice, labyrinthe faisant bien évidemment référence au mythe entre Thésée et le Minotaure, un monstre mi homme mi taureau enfermé au centre du palais. Même si le palais rassemble diverses fonctions tel que l’aspect économique, la fonction religieuse est toute aussi présente  dans de nombreuses pièces que l’on retrouve sur le plan et centrale pour la civilisation minoenne

bombardement de Guernica fait 2000 victimes, principalement des femmes et des enfants.                  Guernica est une huile sur toile peinte en noir et blanc mesurant 7 m 52 de long sur 3 m 51 de largeur. La couleur du tableau évoque la guerre et le combat. La toile est découpée en plans triangulaires. Cette découpe du tableau intensifie toute l'horreur de la guerre. L’Œuvre se trouve en ce moment dans le musée Reine Sophie à Madrid. Analyse des symboles du tableau : - Au centre du tableau,

Minotaure. C’est une reine triste, silencieuse et accablée par le malheur qu’elle a subi. Le Minotaure est une créature monstrueuse née de l’union d’un magnifique taureau blanc avec Pasiphaé après que Poséidon en colère lui ai jeté un sort pour qu’elle tombe amoureuse du magnifique animal. Il a un corps d’homme et une tête de taureau. Il est devenu en grandissant trop dangereux et féroce. C’est pourquoi Minos fut obligé de demander à Dédale de construire le Labyrinthe pour l’enfermer à vie. Il

son retour en Espagne tant que Franco était au pouvoir. Le cheval symbolise le peuple. Par ce tableau, Picasso veut montrer l’horreur de la guerre en général, le combat pour la liberté, la violence, la barbarie des hommes. L’absence de couleur symbolise la mort. Les personnages qui composent ce tableau sont un taureau, une mère et son enfant, un cheval, un guerrier coupé en deux, une femme transformée en torche, une autre femme qui tend une lampe, une troisième femme au corps allongé,

Mariage De Figaro, écrit par Beaumarchais. 10- Belleville : quartier de Paris 11- Je prends les paris : Jeu dans laquelle on s’engage à verser de l’argent à celui qui gagne 12- Toréador : (torero). Chanté comme un torero, homme qui combat le taureau 13- Caruso Enrico : un ténor italien (Naples) du 20ème siècle 14- Rossini Gioacchino : compositeur italien du 18ème siècle 15- La Callas Maria : une cantatrice grecque du 20ème siècle, a bouleversé l’art lyrique (opéra) 16- Bistouri :

2- Il amorce le combat et vain le monstre 2) Une scène pathétique :

Théramène plein de colère et chagrin II. Un récit épique aux accents pathétiques III. Un destin tragique, un combat inégale entre le héro et les dieux Manifestement le discours de Théramène a pour première fonction de raconter les circonstances de la mort d'Hippolyte. C'est pourquoi on y distingue 3 grandes parties : 1. Hippolyte sortant de Trézène (v.1498-1506) 2. Le monstre et le combat (1507-1554) 3. L'agonie d'Hippolyte dans les bras de Théramène : le message final. (1555-1570) Bien

engagent une guerre civile qui opposera le camp «Nationaliste» (les militaires, une partie du clergé, des politiques de droite, soutenus par l’Allemagne nazie et l’Italie fasciste) au camp «Républicain» (Front Populaire, anarchistes...). C’est un combat entre démocratie et dictature. Le début du soulèvement a lieu le 18 juillet 1936. Les villes de Madrid et Barcelone seront des fronts de résistance républicains, ainsi que le Nord de l’Espagne, dont le Pays Basque. Le 26 avril 1937, c’est jour

repose sur 6 temps forts : 1. Lecture analytique du texte: " Le combat contre le Morholt " 2. Etude comparative de ce texte avec le combat de Thésée contre le Minotaure 3. Lecture analytique du passage du philtre 4. Lecture analytique de la description du verger 5. Lecture analytique de " La mort des amants " 6. Les représentations iconographiques de Tristan et Iseut : l’histoire de la nef Progression  | 1. Combat contre le Morholt, chap. II p. 29 à 32Lecture analytique:L’objectif

hurle de douleur. Derrière elle, un taureau, impassible, image de la cruauté et de la force brutale. En fond de tableau, des formes géométriques sombres évoquent des immeubles effondrés. En bas, une tête d'homme et un bras coupé tient une épée brisée. Dans ce grand tableau, le regard est amené initiallement vers le centre, la partie la plus claire. On peut ensuite remarquer
que tous les personnages dirigent leurs regards vers la gauche, qui ammene au taureau. Celui ci regarde le spectateur. La