Taux actuariel

réglementation 35 3. Autres recommandations concernant la régulation 38 Conclusion Introduction C es dernières années, les crédits aux ménages ont été multipliés profitant des taux d'intérêts qui étaient plutôt bas. Une partie de ces crédits ont été accordés à des ménages peu solvables, quand les taux d'intérêts ont augmenté, des milliers de familles n'ont pu faire face aux échéances. Ceci à provoquer des pertes considérables et à mener des sociétés de financement à la faillite aux Etats

On Average Assets  PIB : Produit Intérieur Brut PD: Probability of Default SOMMAIRE DEFINITIONS DES SIGLES ET ABBREVIATIONS 2 SOMMAIRE 3 INTRODUCTION 7 Première Partie : Du risque de crédit au taux de perte en cas de défaut 8 1.1- Le risque de crédit en milieu bancaire 8 A- Définition et estimation du risque de crédit 8 1.2 - Evolution dans la gestion du risque de crédit : les Accords de Bâle 9 A- De l’Accord Bâle I à l’Accord

calculé par rapport à un taux sans risque. Etant le risque que nous allons traiter dans la réforme Bâle II, nous réservons au risque de crédit le chapitre suivant pour mieux comprendre les mécanismes de mesure et de gestion. I-2. Le risque de marché : C’est le risque de perte qu’une position de marché (actions, obligations, matières premières et taux de change) peut entraîner en cas d’évolution défavorable des paramètres de marché. Ces principaux paramètres sont : • • • Les taux d’intérêt et cours

DIFFICULTE POUR ACCEDER AUX SOINS :.................................................................8 UN PAYSAGE DU SYSTEME DE SANTE ACTUEL QUI EVOLUE :........................................................................................ 8 1.1.1. Les taux de morbidité et mortalité générales n’ont pas connu les évolutions espérées ................................................... 8 1.1.2. L’accessibilité des populations aux services de santé est limitée............................................

risque ne disparait pas mais il est toutefois diffusé parmi plusieurs classes d’investisseurs selon une structure bien spécifique. Plusieurs types de risques pourraient être liés aux actifs sous-jacents, à titre d’exemple : risque de crédit, risque de taux d’intérêt, risque de liquidité, risque de défaut, etc. La titrisation est principalement concernée par la monétisation / financiarisation des actifs financiers, de manière à ce que le risque soit généralement lié directement à leurs remboursements

des transactions fermes de gré à gré………….P21 b- Les futures …………………………………………………...P22 c- FRA…………………………………………………………...P23 2- Les contrats d’échange (swaps)………………………………………P24 a- Les swaps de change…………………………………………P25 b- Les swaps de taux…………………………………………….P25 3-Les contrats optionnels ……………………………………………….P27 Section II : Finalité des produits dérivés : I. La couverture II. La spéculation III. L'arbitrage Partie 3 : Le marché marocain vers l’univers de couverture

dans le processus de la finance directe. En effet, la titrisation est née aux Etats unis dans les années 1960, il s’agissait de relancer le financement de l’immobilier qui se révélait inadapté en raison, d’une part, du niveau élevé des taux d’intérêt et d’autre part, du plafonnement de la rémunération des dépôts soumis à la réglementation Q[3]. Toutefois, la référence en matière de « securitization » demeure le marché Américain des titres hypothécaires (les Mortgage Backed

politique budgétaire pour la préservation du pouvoir d’achat des ménages, à la forte réduction du déficit et de l’endettement publics et à la maîtrise de l’inflation à 2% contre 3,3% en 2006. Aussi, l’environnement monétaire - liquidité, monnaie, taux d’intérêt, taux de change et crédit - est-il resté globalement accommodant, et les marchés financiers et immobiliers ont généralement bien performé à l’abri des turbulences des marchés internationaux d’actifs financiers et immobiliers. Au cours de l’année

chevaucher deux exercices. Dans ce cas, selon le principe de séparation, il convient d’évaluer la proportion d’intérêt revenant à chaque période afin de l’enregistrer dans cet exercice. Exemple : emprunt de 1 000 000 FCFA souscrit le 1er Juillet N au taux d’intérêt de 10% payable le 1erJuillet de chaque année pendant deux ans. Les intérêts seront payés le 1er Juillet N+1 pour 1 000 000* 10% soit 100 000 FCFA. Avant l’échéance l’arrêté des comptes de N intervient le 31 décembre. A cette occasion il

une période . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6.2 Valorisation et arbre à n périodes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6.3 Petite digression: de la marche aléatoire au brownien . . . . . . . . . . . . 41 41 42 43 notions de taux d’intérêt Valorisation et processus en temps continu . . . . . Les méthodes d’analyse en composantes principales Le modèle de Heath, Jarrow & Morton . . . . Le modèle de Ho & Lee . . . . . . . . . . . . . . . Le modèle de Vasicek . . . . . . . . .