Taux de fécondité

démographique    La transition démographique réunionnaise a été courte en durée et haute en accroissement. La baisse de la mortalité en a été le moteur essentiel. Le taux de mortalité actuel est quatre fois inférieur à celui de la fin des années quarante, alors que le taux de natalité ne représente qu’un peu moins de la moitié du taux maximum atteint en 1952.    Jusqu’au début du XXème siècle, l'effectif des décès était supérieur à celui des naissances. La mortalité évoluait peu, si l’on excepte

49,16% des femmes sont alphabétisées soit près de la moitié. Mais il reste certaines régions du Nord, de l’Ouest, de l’Est et du centre où l’alphabétisation est inférieure à la moyenne, comme en Uttar Pradesh où 4/5 des femmes sont analphabètes. Ces taux dépendent de l’économie des régions où ces filles naissent, car plus la région est riche (régions où l’agriculture est dynamique, à fort rendements), plus les parents ont de travail, plus ils peuvent mettre à l’école les enfants et moins ils ont besoin

que le populationnisme est une théorie pro-population, le malthusianisme est une théorie souhaitant limiter l’accroissement naturel ainsi que le taux de fécondité (qui varie selon les périodes et les différentes conjonctures économiques et sociales). Toutefois, ces changements démographiques prennent leurs origines dans plusieurs facteurs : taux de fécondité, espérance de vie, solde migratoire ou l’accroissement naturel. Ainsi, l’on peut se demander si l’évolution démographique et les changements sociaux

arrive à l’âge de 65 ans. ↗ Espérance de vie. B- Les Dynamiques démographiques ≠ les pays 1- La convergence incomplète des taux de fécondité Taux de fécondité : Nombre d’enfants que les femmes ont, lorsqu’elles sont en âge de procréer ( 15 – 50 ans) →Nombre d’enfant qu’une femme moyenne entre 15 et 50 ans aurait au cour de sa vie si le taux de fécondité par âge restaient les mêmes. 20 ans : 0.2 30 ans : 0.8 2- Des mouvements migratoires + ou – intense Solde migratoire :

Divortialité : le taux de divortialité est le rapport entre le nombre de divorces et la population moyenne pour une année donnée (pour mille habitants). Espérance de vie : durée moyenne qu’une génération peut espérer vivre en fonction du taux de mortalité du moment. Fécondité : l’indice de fécondité est le nombre moyen d’enfants par femme en âge de procréer (de 15 à 49 ans). Incidence : c’est le nombre de nouveaux cas d’une maladie dans une population donnée pour une période déterminée. Indicateurs

pauvres, presque la moitié des budgets de gynécologie et obstétrique des hôpitaux est consacré au traitement de ces complications. Les estimations tirées des données fournies par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) prédisent qu’étant donné les taux actuels, une femme sur cinq dans les pays en voie de développement sera hospitalisée pour des complications dues à des avortements peu surs au cours de sa vie.2 Chaque année, on compte 75 millions de grossesses non désirées (environ un tiers de toutes

PROBLEME DEMOGRAPHIQUE Ce qui permet d'estimer à plus de 25 millions le nombre de morts depuis le début de la maladie en 1981. L'organisation note une stabilisation du taux d'infection (c'est-à-dire du nombre de personnes infectées par rapport à la population globale), ce qui amène à penser que l'on a atteint le pic de l'épidémie et que celle-ci se stabilise 49. Cependant, le nombre de personnes infectées a augmenté, en raison de l'augmentation de la population et de l'accès aux trithérapies (qui

et au sud par le Golfe du Bengal. Climat : À cheval sur le tropique du Cancer. Le Bangladesh a un climat de mousson subtropicale caractérisé par de larges variations saisonnières, des précipitations, des températures chaudes modérément, et un taux d'humidité élevé. Trois saisons sont généralement reconnues : un climat chaud et humide l'été, de mars à juin, un climat frais lors de la saison des pluies de mousson de juin à octobre, et un climat frais et sec en hiver, d'octobre à mars . Le pays

L’effectif global a evolue’ ainsi qu’il suit : 1960 : 3110 000 habitants 1970 : 3906 000 habitants 1976 : 4958 000 habitants 1988 : 6881 000 habitants 2002 : 9858 000 habitants 2013 : 12 873 000 habitants. Au cours de ces dernieres decennies, le taux moyen de croissance annuelle a evolue d’une facon irreguliere qui s’explique sans doute par des anomalies statistiques notamment entre 1970 et 1976, periode qui a marque’ dans la technique des denombrements le passage de la methode des sondages a celle

naissance, peu d'enfants * les 2 taux sont très élevés * 18ème 1700 à 1789 : 20 à 28 M * croissance faible 2 - transition démographique : A/ * chute rapide du taux de mortalité * taux de natalité restée élevée * croissance très rapide de la population B/ * chute du taux de natalité * baisse continue de la mortalité --> l'écart, l'excédent, se réduit de plus en plus. 3 - Régime démographique artificiel (les 2 taux ont baissé artificiellement (médecine