Taux de mortalité

une chute de 65 millions en 1400. c) Les causes de la faible croissance démographique : -une forte natalité (mais grande mortalité infantile) -La peste noire (1347) et ses conséquences : 1/3 et ½ de la population est décimé. -Famines: mauvaises récoltes Conclusion : Une forte natalité mais aussi une forte mortalité (stabilité) 2) La transition démographique En Europe : accélération de la croissance démographique à partir de la deuxième

millions en 2010 66,3 millions en 2015. 7 1. FECONDITE ET NATALITE • Le taux de fécondité quotient obtenu en divisant : - le nombre de naissances de l’année par - le nombre de femmes en âge d’avoir des enfants (femmes de 15 à 49 ans) Pour assurer le renouvellement des générations, ce taux doit être de 2,1 enfants par femme. En 2014, en France, taux de fécondité : 2 enfants par femme. (2,01 en 2012 ; 1,99 en 2013). 8 • Le taux de natalité (en ‰) quotient obtenu en divisant : - le nombre de naissances

ces pays sont entrés dans une phase de transition démographique. Ce phénomène d’après l’INED (Institut National des Etudes Démographiques) est un « passage d’un régime traditionnel où la fécondité et la mortalité sont élevées et s’équilibrent à peu près, à un régime où la natalité et la mortalité sont faibles et s’équilibrent également ». L’hypothèse de base de la théorie de transition démographique est que l’ensemble des populations du monde va évoluer de manière similaire mais avec des décalages

Naissances – Décès – Mouvement migratoire = Immigration – Emigrations Mortalité Taux de mortalité par âge. Taux de brut de mortalité : dépend de taux de mortalité et structure par sexe et âge. Fécondité Pyramides des âges Taux de fécondité par age : courbe de goss avec un max a 30( = 140 pour 1000) Taux brut de natalité : dépend de taux de fécondité et structure par sexe et âge. Indicateur conjoncturel de fécondité : =s omme des taux de fécondité pour chaque âge – fécondité du moment – ne dépend pas

| 32 | 9 | 21 | 17 | 9,4 | Espérance de scolarisation (homme/femme) | Années | 8 | 11 | 11 | 15 | 14 | 15 | 17 | | | 5 | 10 | 8 | 16 | 16 | 16 | 17 | Taux de mortalité | /1000 | 9,96 | 7,7 | 7,78 | 10,94 | 9,64 | 10,24 | 8,09 | Taux de mortalité infantile | /1000 naissances | 63,2 | 40,9 | 49,87 | 3,7 | 6,47 | 6,42 | 4,85 | Taux de prévalence du VIH (adulte) | % | 3,4 | 1,8 | 3,2 | 0,1 | 0,1 | 0,1 | 0,3 | Source des données  https://www.cia

population mondiale et de la population Européenne. Si la population évolue lentement, c’est qu’il y a un accroissement naturel très faible. La différence entre les naissances et les décès est très faible. De plus, il y a une forte mortalité, notamment la mortalité infantile. Formule pour calculer l’accroissement : (Valeur Finale –Valeur Initiale)/VI 1 enfant sur 3 meurt avant l’âge de 5 ans et 1 sur 2 atteint l’âge de 20 ans. L’espérance de vie est courte : inférieure à 30 ans pour certains

sur deux sections terrestres : l’Afrique et l’Europe occidentale. Afin de commenter puis expliquer l’évolution du taux de natalité, je procèderai comme suit. En premier lieu, j’analyserai le taux de natalité, en tenant compte, de la carte de cette dernière. En deuxième lieu, je comparerai le taux de natalité avec la mortalité infantile. Enfin, j’effectuerai des liens entre le taux de natalité et la vaccination. Tout d’abord, la carte de la natalité représente le nombre de naissances pour

phases, s’intercalant entre deux équilibre : haut et bas niveau La première phase suit l’équilibre de haut niveau : taux de natalité et taux de mortalité élevé, d’où un taux d’accroissement naturel faible (rappel : le taux d’accroissement naturel est la différence entre le taux de natalité et le taux de mortalité) => Maintien d’un taux de natalité fort + chute du taux de mortalité. Pourquoi ce déclin ? => révolution agricole (considérée comme déterminante par Paul Bairoch) et industrielle (prolifération

natalité et l’accroissement de la mortalité en sont les principales conséquences. La baisse de la population en résultante de la baisse des naissances et de la hausse de la mortalité à plusieurs origines. Cette crise démographique n’est pas nouvelle mais a longtemps été masquée par un fort solde migratoire. En 2007, Vladimir Poutine estime que le taux de mortalité est essentiellement un problème social. La mortalité en Russie dépasse depuis des années la mortalité. "Le pays perd plus de 700.000

naissances + immigration – mort – émigration Hyp : population fermée (isolée Nt+1 : Nt + Bt – Dt (birth and death) b : taux de natalité = nombre de naissances par individus par unité de temps d : taux de mortalité = nombre de mort par individu par unité de temps Hyp : b et d constans (dépendent pas de la taille de la population) Nt+1 = Nt + b.Nt – d.Nt = Nt(1+b-d) = Nt (1+R) R = taux de croissance de la pop Nt+1 = Nt. λ N1 = No. λ Nt = No. λt Temps continu : dN/dT = variation de N dans un