Taux de pauvreté

Travailleur pauvre L'expression travailleurs pauvres (« working poor » en anglais) s'utilise pour décrire des personnes qui ont un emploi la majorité de l’année, mais qui demeurent dans la pauvreté, à cause de la faiblesse de leurs revenus (revenus d'activité + prestations sociales). Par métonymie, le terme de travailleurs pauvres s’utilise pour désigner les familles entières dont ces travailleurs font partie. Généralités En 2004, l'essentiel des travailleurs pauvres dans les pays développés occupaient

branches de l’économie. 2 Le taux de croissance du PIB (PIB en valeur, PIB en volume, PIB par habitant) Le taux de croissance du PIB de l’année 2009 par rapport à l’année 2008 est égal à la variation relative du PIB entre ces deux périodes. (Si le PIB2009 est inférieur au PIB2008, le taux de croissance est négatif : l’économie entre en récession). Par ailleurs, la croissance économique ne peut profiter à chacun que si le taux de croissance du PIB est supérieur au taux de croissance de la population

sociales et la recherche de la justice sociale. 2-Les instruments de la redistribution QUESTIONS : 1-Le taux de prélèvements obligatoires n'a fait que d'augmenter depuis les 10 dernières années en effet il atteins presque 45 % en 2010 en France et est le plus fort pour la Suède avec 50%. Les prélèvements obligatoires regroupent les impôts, les taxes et certaines cotisations sociales. 2-Le taux de PO est passé de environ 35% en 1960 à presque 45% en 2010 et et en moyenne de 40% dans la zone euro

banlieue vivent avec moins de 900 euros par mois et donc sous le seuil de pauvreté. Comme l’explique le texte « qui sont les français? » il y a en France « un accroissement des inégalités entre les plus riches et les plus pauvres ». En effet le taux de chômage des jeunes avoisine les 44 % ce qui est une situation alarmante. Un autre problème propre à la banlieue est la criminalité des jeunes des banlieues. En banlieue le taux de criminalité est très élevé et ne cesse d’augmenter ce qui finit par faire

vous accepte à un poste. ➢ Etre en recherche active d’un emploi ou en avoir trouvé un qui commence ultérieurement. Le Chômage est mesuré par son indicateur qui est le taux de chômage égal au rapport entre les personnes au chômage sur la population active. b- Evolution de l’emploi en France. Au 2e trimestre 2012, le taux de chômage en France métropolitaine s'élève à 9,7%, en hausse de 0,1 point par rapport au trimestre précédent et de 0,6 point par rapport au 2e trimestre 2011. La France

dans le budget des ménages. Entre 2002 et 2006, dans le parc locatif privé, le taux d’effort des ménages passe de 20,6 % à 22,6 % tous revenus confondus dans le même temps, pour les revenus inférieurs au premier décile, il passe de 35,9 % à 39,1 %. Dans le parc locatif social, ce taux d’effort passe sur la même période de 16,7 % à 17,9 % au global. Pour les locataires dont le revenu est inférieur au 1er décile, ce taux est respectivement de 17,1 % et 21,5 %. Pour répondre à la diversité des situations

5 716 - 1 804 Impôts directs 45 - 10 170 - 1 719 Prestations dont : 5 985 345 1 430 Prestations familiales 1 925 298 718 Aides au logement 1 831 18 351 Minima sociaux2 2 229 29 360 Revenu disponible (B) 9 948 56 654 23 556 Taux de redistribution (B-A)/A 141,0 % - 21,5 % - 8,2 % Champ : France métropolitaine, personnes vivant dans un ménage dont le revenu est positif ou nul et dont la personne de référence n’est pas étudiante. Source : France, portrait social, INSEE, 2013

l'intégration des migrants dans la vie active à travers les possibilités d'emploi. * Les transferts en argent reçus par les groupes défavorisés, par le canal de la migration interne ou internationale, contribuent à atténuer certains effets de la pauvreté. * Il existe également d'autres formes de solidarité entre les populations pauvres telles le voisinage, le groupe ethnique ou la communauté religieuse ( rôle joué par les mosquées comme lieu de rencontre. Les actions sociales menées à partir

sociales considérables permises par ces stratégies de lutte. Afin d’illustrer les actions et la politique de lutte contre les inégalités, nous étudierons le cas du Nordeste, région problématique au Brésil en raison de l’ampleur du phénomène de pauvreté en son sein. Nous dresserons dans un premier temps le portrait socio-économique de la région. Puis, de la même manière que pour la situation du Brésil en général, nous analyserons les stratégies de luttes étatiques ainsi que celles qui relèvent des

l'accumulation et la croissance. (...) Le lien général entre croissance économique et réduction de la pauvreté est indiscutable. Mais force est de constater que, pour un taux donné de croissance économique, la pauvreté ne recule pas au même rythme dans tous les pays ni à toutes les époques. L'explication tient au fait que, pour un taux de croissance donne, l' ampleur de la réduction de la pauvreté dépend des variations dans la répartition du revenu accompagnant la croissance et des inégalités initiales