Taux directeur

crédits étaient destinés à des emprunteurs qui ne présentaient pas les garanties suffisantes pour bénéficier des taux d’intérêt préférentiels (en anglais « prime rate »), mais seulement à des taux moins préférentiels (« subprime »). Un Subprime est un crédit à risque que l’on va offrir à un client qui ne présente pas toutes les garanties nécessaires et suffisantes pour bénéficier des taux d’intérêts préférentiels. Aux USA ,il s’agit d’un crédit hypothécaire (immobilier) dont le logement du client (emprunteur)

Suite à la crise économique et financière, la BCE s’est engagée dans une politique monétaire plutôt souple. Depuis octobre 2008, les opérations principales de refinancement sont effectuées par le biais d’une procédure d’appel d’offres à taux fixe, la totalité des soumissions étant servie. Les mesures ainsi adoptées ont entraîné une nette augmentation du bilan de la BCE et un allégement des tensions monétaires. Les mesures non conventionnelles doivent demeurer exceptionnelles. Toutefois, la sortie

monétaire en agissant sur les taux d’intérêts. La politique monétaire pour le Maroc est conduite par Bank Al Maghreb. La BAM a pour objectif de contrôler l’inflation. Par ses taux directeurs (taux de refinancement), la BAM va influencer les conditions de crédit et donc la création monétaire. Si les prix augmentent, il y plus d’argent que de biens disponibles donc la masse monétaire est trop importante. Si la BAM augmente les taux directeurs, les banques augmentent les taux d’intérêt, le crédit est

conditionnent-elles les comportements des agents économiques ? La quantité de la monnaie conditionne les comportements des agents économiques notamment quand le taux directeur est bas, les agents économiques auront tendance à emprunter plus car le prix de l’argent sera plus faible mais le pouvoir d’achat de la monnaie diminuera. A contrario un taux élevé entrainant une déflation fera stagner voir abaisser l’emprunt mais augmentera le pouvoir d’achat de la monnaie. La qualité de la monnaie peut être appréciée

d’une phrase, il y a des mois pour que les analystes et les marchés se persuadent que le quantitative easing arriverait. « Et nous ferons tout pour y arriver », avait promis Mario Draghi au sujet de l’objectif d’un taux d’inflation à 2%. « Tout », cela signifiait que le taux directeur allait fortement être réduit, mais aussi que rien n’excluait des mesures non conventionnelles, comme la QE précisément. Avec 60 milliards d’euros par mois entre mars 2015 et fin septembre 2016, c’est plus de 1000 milliards

aux taux d’intérêts qui leur était attribué, mais également de réaliser des placements financiers relativement peu risqués pour éviter les risques de crédit. Les investisseurs allaient donc généralement à la réserve fédérale américaine pour acheter des bons du trésor, qui étaient réputés pour être les investissements les moins risqués. Cependant, après le 11 Septembre et suite à une baisse de consommation des ménages américains, le président de la réserve fédérale décida de baisser les taux directeurs

elle insiste sur les taux d’intérêt souhaitables, plutôt que sur un volume particulier de monnaie. Lorsque la banque centrale injecte des liquidités dans le système en achetant ou en empruntant des titres , ce qu’il est convenu d’appeler un relâchement de la politique monétaire, les taux diminuent. L’inverse se produit lorsqu’elle opère un resserrement en épongeant les réserves. La banque centrale espère que les variations du taux directeur se répercuteront sur tous les autres taux d’intérêt importants

direction de Brooksley E. Born, elle a cherché à réguler les dérivés. Finalement, c'est ce type de produits qui aurait conduit à la crise économique. La baisse des taux directeurs de la Fed Une autre théorie, avancée par des représentants de l'École autrichienne d'économie, accuse la décision d'Alan Greenspan de baisser les taux directeurs de la Fed à 1% pendant un an. Cette politique aurait engendré un montant énorme de prêts qui aurait conduit à un boom insoutenable. Cependant, certains considèrent

qu'elles ont en dépôt, il est possible par exemple de faire varier la quantité de liquidités en circulation. Un outil plus courant est de faire varier son taux directeur qui a une incidence sur le taux des prêts (et de l'épargne) bancaires. La règle monétariste recommande donc que la masse monétaire soit égale aux taux de croissance, et à long terme le taux de la production, dans le respect d’une discipline monétaire très stricte. La régulation monétaire poursuit un double objectif dont la réalisation

clientèle à faible revenu. Ces crédits ont été octroyés à des taux d’intérêt variables, et largement prisés par les ménages dans un contexte baissier des taux d’intérêt. Ces crédits se sont largement répandus durant la période 2001-2006 dans le sillage de la forte croissance du secteur immobilier aux Etats-Unis , liée notamment à la politique de détente monétaire conduite par les autorités monétaires américaine qui a ramené le principal taux directeur de la Réserve Fédérale à 1% en juin 2003 , contre 6,5%