Tchador

lui être attribuée et la résistance de son individualité propre que naît le caractère si dérangeant de ce portrait et la violence qui s'en dégage. En outre, il est significatif que cette photographie soit un autoportrait. Shirin Neshat revêt le tchador pour cette photographie et endosse ainsi une identité qui n'est pas -complètement- la sienne. C'est certes un moyen pour elle de se réapproprier l'histoire et la tradition de son pays, mais elle crée ainsi un personnage autre, une autre perception

état soudanais purement laïc. Enfin, pour bien comprendre la position particulière du Tchad, il faut absolument garder à l'esprit que la tribu zaghawa, formant la majorité de la rébellion (et du MJE) au Nord Darfour, est à cheval sur la frontière tchado-soudanaise. De plus, elle a formé l'essentiel des troupes du Président Idriss Déby lors de sa prise du pouvoir par la force en 1990 contre Hissen Habré. Déjà cette offensive avait été lancée du Darfour. Aujourd'hui, les zaghawa tiennent toutes les

assurer les droits de la femme à tous égards, conformément aux critères islamique. » Ce qui veut dire que tout rapprochement entre femmes et hommes en public mais aussi en privé est interdit. La mixité est considérée comme un pêché condamnable. Le Tchador (long voile noir) est obligatoire pour toute salariée du secteur public. Le Hijab (voile ou foulard) est obligatoire sur le sol Iranien pour les femmes iraniennes ou étrangères quelle que soit leur religion. Le maquillage, l’usage de couleurs vives

bourgeoise de son époque. Cf. texte 2 • Dans le film Le Jour où je suis devenue femme de Marzieh Meshkini (2000), Hava cherche à profiter de ses derniers instants de liberté avant midi, l’heure fatidique où elle doit, le jour de ses 9 ans, porter le tchador. Son compagnon de jeu est cloîtré pour faire ses devoirs : ils communiquent par une petite fenêtre, partageant une friandise, un de leurs derniers plaisirs pris en commun. 2) Entre espace privé et espace public Fermée, la fenêtre marque une séparation

incroyable de constater les ravages que peuvent faire un regard, une idée reçue dépourvus de toute recherches complémentaires ! ! ! Et pourtant, au delà de ce que les médias veulent faire croire, au delà de ces mots tels que intégrisme, islamisme, tchador et bien d'autres encore, il me semble nécessaire d'approfondir le sujet et de voir qui est réellement la femme musulmane .Car contrairement  à ce que beaucoup peuvent penser, cette femme est libre, joyeuse et fière d'être ce qu'elle est. C'est pourquoi

Shayla : aussi appelé Dupatta. C’est une longue écharpe rectangulaire, servant de coiffe et pouvant (souvent) être épinglée aux épaules. Khimar : C’est un genre de Jilbab, en version plus courte, arrivant plus ou moins à la mi-cuisse. Tchador : C’est une pièce de tissu, ouverte sur le devant, portée en châle en extérieur. Il ne possède ni ouvertures, ni fermetures. Il est tenu par les mains à l’intérieur ou est attaché par ses extrêmités aux bords de la taille. Niqab : C’est un voile

L'Arche de Zoé ne sont pas orphelins (75 % ont leurs deux parents, 10 % en ont un) et les trois quarts sont tchadiens (des ethnies Masalit et Zaghawa)23. Le 31 octobre 2007, Jacques Wilmart, pilote d'avion belge ayant transporté entre la frontière tchado-soudanaise et Abéché une partie des 103 enfants, est inculpé et écroué24. Le 3 novembre 2007, Nicolas Sarkozy se rend au Tchad. Ce même jour, la justice tchadienne libère les trois journalistes français et les quatre hôtesses espagnoles25. Ils

de la croissance. La dévaluation du FCFA de 50 % intervenue en janvier 1994 a contribué à cette reprise. Depuis 1994, le taux de croissance a plafonné à 5,3 % au cours de l'année 2000/2001 à la faveur des retombées de la construction de l'oléoduc tchado-camerounais. Cette croissance reste extrêmement modeste et inférieure à la croissance moyenne des pays en développement qui se situait au-delà de 6 % en 2006. Comme la plupart des pays d'Afrique au Sud du Sahara, l'économie camerounaise près de

des lapidations, des années de guerre qu’elle vient de vivre, du droit des femmes. Le journaliste la ramène sans cesse au symbole vestimentaire. Le quotidien Le Monde, en juillet 2001, peu avant que la France s’engage en Afghanistan, titre : « Les tchadors déboulent sur le pré du Centre Pompidou ». En effet, un rassemblement avait été organisé la veille pour sensibiliser l’opinion à la situation de l’Afghanistan. A cette occasion, les manifestants avaient sorti des burqas qu’ils avaient revêtues

et retournent aussi souvent à pied et par conséquent, choisissent des zones d’accueil peu éloignées de la frontière. Ceux qui partent du Logone Occidental, empruntent parfois les cars de transport public qui les débarquent à la 9 frontière tchado-camerounaise. Cette immigration de la main d’œuvre tchadienne au NordCameroun s’explique plus par des facteurs endogènes que des facteurs exogènes. II- Les principaux facteurs de l’immigration de la main d’œuvre tchadienne dans le territoire nord-camerounais