Tchador

questions de l'environnement rendent le personnel... extrêmement nerveux», tient un discours parfaitement «écologique», mais soutient étonnement une pratique «écocide». Sinon, comment peut-on interpréter le soutien explicite accordé au projet pipeline tchado-camerounais dont les promoteurs ignorent superbement les responsabilités en cas de déversement de pétrole brut dans la mer, ou la réparation en cas d'un éventuel accident ? En dépit de l'observation rigoureuse, par le consortium bénéficiaire de ce

langue kera n’est plus parlée à Datchéka, non plus qu’à Mangra. Elle recule aussi dans la région de Koumarki, mais là, davantage devant le masa que devant le tupuri. Le centre religieux de Doré (dÔÔrΩ), bien qu’il soit coupé en deux par la frontière tchado-camerounaise, maintient son influence vers le Nord, grâce aux clans qui en sont issus « historiquement » ou qu’il a ralliés71. La réussite des fractions qui se revendiquent de Doré est telle, que, dans le Diamaré, on appelle généralement les Tupuri

droit du sol (axe de développement souhaitable), reconnaissance limitée des différences (=laïcité), droits & devoirs… ex: problème du tchador décodé et recodé différemment. -décodé par le prisme raciste: incompatibilité des cultures, danger de l'envahissement donc renvoi chez elles des jeunes filles qui ne l'enlèverait pas. -prisme libéral: autorisation du tchador -républicain: interdiction, mais pour cause du rejet du prosélytisme à l'école. Il en est de même pour les crises économiques. Aujourd'hui

critiquable car La norme corporelle s'impose aussi aux hommes. De plus tolérance vis a vis de l'âge. Elle se demande s'il n'y a pas figure d'opposition. Raconte qu'on fait défiler des modéles de 14 ans, taille 34 et écrit cela : « La taille 38 est le tchador de la femme occidentale » il y aurait un contrôle des femmes par l'espace. On controlerait les femmes dans l'espace public, mais inversement en occident c'est sous la lumiére des projecteurs qu'on contrôle les femmes, puisque le corps est surexposé

mais les responsables soudanais ont refusés en raison de l'attaque sur la ville d'Adry située à la frontière par certains rebelles tchadiens, puis ils ont retournés à la ville d'El-Ginena dans l'ouest du Soudan créant des tensions sur les relations Tchado-Soudanaise, ce qui a mené le gouvernement tchadien d'alléguer la participation du Soudan à l'attaque à laquelle la création tchadienne était violente sur la communauté soudanaise à N'Djamena représentée dans l'emprisonnement de nombreux membres et

mots que la langue n’a pas complètement assimilés, soit que leur prononciation reste trop éloignée des habitudes phonétiques (et graphiques), soit parce qu’ils restent d’un usage trop rare ou limité. Ex : moudjahidine (arabe) - geisha (japonais) – tchador (iranien) Enfin, quand il existe un synonyme vernaculaire d’un emprunt étranger, il est possible que les deux cohabitent jusqu’à ce que l’un disparaisse ou que l’un des deux change de sens, de manière à éviter la redondance. L’expression populaire

1960 à 1975, qui aurait reconnu les prétentions libyennes sur la bande d'Aozou en échange d'une aide financière de la part des Libyens. En 1987, un accord de cessez-le-feu signé sous l’égide de l’OUA à Addis-Abeba est suivi en 1989 d’un accord-cadre tchado-libyen qui prévoit un règlement pacifique du contentieux territorial. La Cour internationale de justice est saisie suite à l’échec des négociations et confirme l’application du traité reconnaissant la souveraineté tchadienne. L'armée libyenne évacue

dernière. L'être humain réagit très fortement aux symboles (objet, image, mots): c'est une information évocatrice plus que communicative. Le symbole peut donc avoir un rôle d'identification ou une signification sociale: une drapeau par exemple, ou le tchador. La définition de l'interaction symbolique est: "l'activité par laquelle les êtres humains interprètent leurs comportements réciproques et agissent sur la base des significations conférées par cette interprétation." Le symbole se prêtant à de multiples

pointant des versets coraniques. Il n’exprime aucune pitié dans la mise à mort de l’ancien chef d’État. La « République islamique » est proclamée et s’ensuit une violente révolution morale : soumission totale des Iraniens au Coran, port obligatoire du tchador pour les femmes, endoctrinement des jeunes et répression de tous les partis politiques. Khomeiny a faussement donné l’impression que le mouvement révolutionnaire permettrait aux opprimés d’établir un nouvel ordre social (appropriation des terres et

la télévision ou sur le câble des fils en noir et blanc, des rétrospectives du début du siècle dernier ou simplement les images actuelles des sociétés voisines qui conservent encore aujourd’hui ces critères de « valeur » d’antan, y compris par le tchador et d’en écouter les voix. Cette volonté qu’ont aujourd’hui certains hommes et femmes de modifier leur hauteur de voix d’origine est cause de bien des déboires. AVANT les médias, la voix légère et douce de la femme risquait peu de se casser. Chacune