Tchernobyl

celle-ci peut prendre en contexte de prise de décision : incertitudes radicales, soupçons, présomptions. Plus particulièrement, ces auteurs s’intéressent aux controverses sociotechniques et montrent, à l’instar de certaines crises contemporaines (Tchernobyl, ANDRA, SNCF), comment une prise de décision dans un contexte d’incertitude peut prendre place dans des « forums hybrides » et favoriser l’apprentissage collectif. Les « forums hydrides » sont des espaces ouverts où des groupes peuvent débattre

nucléaire est néfaste pour l’écologie : exemple, si la radioactivité a touché un terrain fertile ce terrain peut devenir infertile pendant 800 ans et si elle touche de l’eau elle devienne contaminée. La radioactivité touche la reproduction ex : au Tchernobyl de nouveaux nés deviennent déformés. Parlant un peu de stabilité nucléaire : est la cohésion du noyau atomique assurée par un nombre optimal de neutrons. Les radioactivités existent dans les matières que nous consommons ex : légumes , fruit, l’eau

contaminer des zones entière qui pourrais être utiliser pour l’agriculture ou dédiées à la construction de nouveau logements. L’histoire nous à également démontré que cette énergie n’est pas sans risques. Les accidents nucléaire des centrales de Tchernobyl et Fukushima on laissé des dégât physiques et psychologiques irréparables. Ces dernières années on néanmoins fait apparaitre des groupes, associations qui s’opposent catégoriquement à l’utilisation du nucléaire comme Greenpeace. Aujourd’hui la population

de la lenteur des ratifications par les Etats membres ; ce qui a constitué une première déception pour la partie ukrainienne. Le rôle excessif joué dans les négociations par la question nucléaire, et ce jusqu’à la fermeture définitive du site de Tchernobyl le 15 décembre 2000, a constitué un autre motif d’aigreur. L’APC définit les objectifs et les principaux thèmes de coopération ainsi qu’un cadre institutionnel (sommets semestriels, conseils de coopération annuels au niveau ministériel, et comités

diminuent la résilience de la planète ou encore le changement climatique dû aux émissions de gaz à effet de serre et de manière générale la pollution due aux activités humaines. Les catastrophes industrielles de ces trente dernières années (Seveso, Tchernobyl etc.) ont interpellé l'opinion publique et les associations telles que le WWF, les Amis de la Terre ou encore Greenpeace. En faisant le pari du « tout technologique » dans l'optimisation de la consommation énergétique et la lutte contre le changement

cette course au développement, les considérations économiques l’emportent sur les préoccupations de santé publique. En effet, le nucléaire est l’énergie la plus puissante trouvée jusqu’à lors et la plus économique. Sans danger ? Les catastrophes de Tchernobyl (1986) et plus récemment celle du japon nous démontrent le contraire. Le risque zéro n’existe pas. La France n’est pas à l’abri d’une attaque terroriste ou d’un séisme. De nombreuses études réalisées ont démontré le lien entre l’augmentation des

Conclusion Aujourd’hui, qu’en est-il du mouvement antinucléaire? Plusieurs facteurs très importants ont contribué à l’évolution de celui-ci : notamment l’accident de Tchernobyl ; pour la France, la fermeture du surgénérateur de Creys Malville par les écologistes en 1997. Si on suit la logique de Touraine, l’accident de Tchernobyl a peut-être augmenté l’importance de la lutte antinucléaire, mais pas dans la voie que ce dernier espérait la voir prendre. Aujourd’hui, les revendications sociales sont

impossible.   1980's modèle soviétique mis à mal par des échec internationaux (Angola, Nicaragua, et surtout Afghanistan). Impossibilité de poursuivre course à l'armement. Infrastructures industrielles et économiques trop vétustes (ex : catastrophe de Tchernobyl) Gorbatchev entreprend vaste plan de réformes. Veut restructurer tous les domaines : politique, économie, social, politique étrangère. C'est la Perestroïka. Ne remet pas ebn cause le modèle mais veut concilier communisme et démocratie. But : économie

Ceux-ci incluent notamment : la pollution industrielle, la pollution atmosphérique, les pollutions liées aux transports, dont la pollution automobile et celle induite par les avions la pollution radioactive, (produits radioactifs ; catastrophe de Tchernobyl), la pollution électromagnétique, (pollution liée aux rayonnements ionisants et non ionisants), la pollution thermique, la pollution spatiale, la pollution sonore, la pollution visuelle (qui est en fait généralement plutôt une nuisance), la pollution

de la planète ou encore le changement climatique dû aux émissions de gaz à effet de serre et de manière générale la pollution due aux activités humaines. Lescatastrophes industrielles de ces trente dernières années (Seveso (1976),Bhopal (1984), Tchernobyl (1986),Exxon Valdez (1989), etc.) ont interpellé l'opinion publique et les associations telles que le WWF, les Amis de la Terreou encore Greenpeace (Voir aussiChronologie de l'écologisme). En faisant le pari du « tout technologique » dans l'optimisation