Tchétchène

– une filière syro-libanaise, qui, par la terre ou la mer (et parfois Chypre), permet le transit de Maghrébins et d’Africains noirs, – une filière russe ou russo-ukrainienne. – enfin une filière caucasienne, qui se décompose en filières azérie, tchétchène, arménienne et géorgienne. Les portes d’entrée en Turquie sont nombreuses, eu égard à l’extension et à la configuration des frontières, et assez bien repérables, à partir de la concentration des arrestations dans certaines zones frontalières. La

déterminé qu’en cas de conflit, les limitations permises au respect du droit à la vie par les Etats sont interprétées de manière particulièrement stricte. Ex : CEDH 2005 série d’arrêts sur la violation par la fédération de Russie dans le conflit tchétchène. Question des limites permises au droit à la vie, art. 2§2 a. DP 2 n°32 convoi sanitaire, humanitaire de la croix rouge, qui est mitraillé pendant 4 ans. : Khachiev & Akaïeva c/ Russie. Requête étatique : très rare, c’est un Etat qui demande

« guerre des civilisations », des Musulmans contre « les mécréants » et « les croisés » ? C’est en tout cas ce qu’affirme Al Qaeda. En septembre 2004, la prise d’otage de l’école de Beslam est perpétrée par des terroristes probablement d’origine tchétchène et musulmans dans un territoire russe et orthodoxe, l’Ossétie du Nord. Or cet attentat ne relève nullement d’une logique religieuse d’échelle mondiale, mais d’une logique nationaliste face à la présence militaire russe dans le Caucase et tout particulièrement

en Calabre et Sacra Corona Unita dans les Pouilles) sont présentes en région Rhône-Alpes et en région PACA à Nice et Marseille, mais aussi à Strasbourg, Lille, Paris et Toulouse 19. Vory v zakone (Russes, Georgiens, Ukrainiens, Biélorusses, Tchétchènes, Arméniens, Ouzbeks) sont présents en Bretagne, Normandie et en région PACA 19,20. Les mafias baltes (estoniennes, lituaniennes et lettones) sont présentes sur toutes la façade atlantique, en Bretagne et Normandie 19. Les mafias balkaniques

NK a participé politiques sont libérés et les p l e i n e m e n t à la terreur peuples déportés pendant la stalinienne en Urkraine, a des SGM peuvent revenir dans leurs bras droit comme SEROV qui a régions d’origine. En 1962 est déporté 500 000 tchétchène en 5 p u b l i é « Un e j o u r n é e d ' Iv a n jours. La répression de la révolte Denissovitch» de Soljenitsyne hongroise (2000+ en 1956) Une destalinisation limitée. montre les limites de la destalinisation. C/L ’impossible réforme du système

Permanence d’un sentiment national fort qui sert de ciment politique : Inde, Chine, USA Continuité des luttes pour obtenir la reconnaissance d’une identité nationale cherchant l’accès à la souveraineté : Kurdistan, Palestine, Tchétchènes, Afrique. Résurgence d’une personnalité nationale ou ethniques mal assurée, (URSS, Autriche- surenchère : Grande Serbie, Grande Albanie… Le modèle de l’Etat-nation Différentes relations entre l’Etat et la nation

transnationales. Ce sont celles, occultes, des mafias, des réseaux de trafics clandestins, drogues, armes, prostitution. Activités fondées sur des réseaux aux appartenances bien caractérisées : sicilienne, colombienne, chinoise, japonaise, russe ou tchétchène. Comme toute entreprise mondiale, les entreprises clandestines jouent des différences entre les Etats. Idem pour les « paradis fiscaux » qui profitent des privilèges de certaines principautés. Il serait inexact d’imaginer que, parce qu’à la

honte. L’humiliation russe a atteint son paroxysme avec la dissolution de l’Union soviétique, véritable choc pour la Russie qui vit l’idéologie sur laquelle était fondée depuis 1917 s’effondrer et son empire se disloquer géographiquement. Le conflit Tchétchène a tout ensemble mis à nu et exacerbé les maux dont souffre la Russie : corruption généralisée, dépendance à la violence qui s’est traduite encore récemment en Géorgie[14], dirigeants plus attachés à renforcer l’Etat qu’à améliorer les conditions

de la reconstruction post conflit. Cela explique l’enlisement des USA en Afghanistan. De même, le lancement à partir de 2001 de la guerre contre le terrorisme a donné une autorisation à toutes les politiques de répression : les Russes contre les Tchétchènes, les Chinois contre les Tibétains (répression menée par la Chine populaire dans le désert de Xinjiang contre les Ouigours). Dans ces conditions, l’ »ONU ne serait plus finalement qu’une puissance interstitielle » pour reprendre la formule de Ghassan

dur européen agissant en symbiose pourrait de ce point de vue obtenir davantage qu'une UE certes plus étendue mais plus dispersée, avec des intérêts divergents. Cela vaut également pour la façon de traiter les questions sensibles comme le conflit tchétchène, la situation en Géorgie et les relations avec Israël et, sujet tout à fait central, dans la relation avec les Etats-Unis. Face à l'incertitude qui domine le monde et à l'émergence de puissances nouvelles, cette relation devrait être placée sous