Tchétchénie

prisonniers de manière a les garder en vie pour ne pas créer de débats autour de la peine de mort. Au début du XXIe siècle, la torture est une pratique utilisée par nombre de pays. Les forces armées de la Fédération de Russie utilisent la torture en Tchétchénie afin d'obtenir les aveux des prisonniers : ils sont battus, brûlés avec des mégots de cigarette et torturés à l'électricité. Mais cette pratique n’est pas toléré partout et tout de même pratiquée, prenons comme exemple la Chine ou la torture est

à Poutine et à réprimait l’opposition libérale.  Il y a une verticalité du pouvoir voire un étouffement de la vie démocratique. * *2- Au niveau du pouvoir fédéral Ce système est en prise à de très nombreux problèmes : la guerre de Tchétchénie suite à son indépendance que la Russie ne souhaite pas ; les russes ethniques qui sont orthodoxes contre les minorités étant essentiellement musulmans (l’orthodoxie est en plein renouveau et devient même nationaliste).  Le pouvoir central

arbitre fort entre négociation Israël / Palestine (90's) intervention militaire: - G d'Irak 1er: 1990-91 → multilatéralisme -Yougoslavie 1991-1995 → Accord de Dayton 1995 c) Peu d'interet pour des accords touchant leur interet -Russie/ Tchétchénie: aucune ressources: pas d'i -Chine/ Tibét = -Rwanda ils refusent accords qui pourraient limiter leur puissance -1995-1996: refuse interdiction essais nucléaire -1998: refus de participer à la Cour Pénale InterN (CPI) 3) La riposte unilatéral

que par le programme "pétrole contre nourriture" . Les États-Unis ont depuis eu une politique de prépositionnement (cf. infra). Les conflits successifs en Tchétchénie s'inscrivent partiellement dans le contexte de la reprise du Grand Jeu précité concernant l'acheminement des hydrocarbures de la mer Caspienne : lire Enjeux économiques en Tchétchénie. Les groupes pétroliers russes Rosneft et Lukoil y ont des intérêts, notamment dans l'acheminement par pipeline. Géopolitique du pétrole 11 Prise

groupes ethniques (ossetes en géorgie; arménie et azerbaidjan Tchétchénie: décolonisation Russe. Peuple souvent annexé au cours de son histoire: tradition de résistance. Ils sont délaissés et pauvres: force révolutionnaire contre la centralisation russe. Islam soufiste récent depuis le 17e (diff de wahabisme): souffisme installé dans le caucase. moins terroriste que les wahhabistes d'arabie. Incorporée dans l'URSS en 36 (RSS de tchétchénie ingouchie), résiste a la collectivisation des terres sous

ou la Russie ne s’imposent et ne désenclavent eux-mêmes les trois Etats. L’Azerbaïdjan a un atout majeur : le pétrole, mais le seul oléoduc existant en 1995 relie Bakou à Novorossisk (Russie), et présente l’inconvénient de traverser la Tchétchénie, très instable. Pour diversifier ses chemins d’exportation, le consortium azéri, soutenu par les Etats-Unis, projette l’ouverture d’une « route de l’ouest », en deux temps : • Bakou – Soupsa (Géorgie), oléoduc inauguré en 1999. • Bakou

des alliés qui n’ont pas subi cette conquête auprès des pays des pays arabes - La crainte de l’islamisme est un élément qui lie les deux régimes. Moscou considère que tout est permis au nom de cette peur. (cf. exactions perpétrées en Tchétchénie depuis les années par l’armée rouge au nom de la lutte contre l’islamisme et l’indépendantisme tchétchène – 1994/1996 puis 1999/2000). - • Economique : Projet et investissement dans une usine de traitement du gaz en Syrie par une grande

volonté de puissance : la CEI, créée en décembre 1991, se transforme rapidement en une coquille vide. Surtout, elle fait face rapidement aux tentations autonomistes des populations non russes (20%) - Minorités : vocabulaire p.126. Quand la Tchétchénie proclame son indépendance en novembre 1991, ses velléités sont anéanties par la guerre (1994-1996). La Russie, en position de faiblesse, signe en mai 1997 l’Acte fondateur sur les relations, la coopération et la sécurité mutuelle entre l’OTAN

faut l'intervention des Américains et de l'OTAN pour aboutir à la paix grâce aux accords de Dayton en 1995. Les mouvements nationalistes sont aussi particulièrement violents dans les républiques caucasiennes de l'ex-URSS : les nationalistes de Tchétchénie sont ainsi à l'origine de nombreuses vagues d'attentats contre le pouvoir russe. Pour lutter contre cet indépendantisme tchétchène, le gouvernement de Vladimir Poutine doit user d'une violence également contestable. La région est toujours aujourd'hui

programme Arrow antimissile (un essai a eu lieu en novembre 1999). Parmi les autres événements récents qui peuvent avoir une influence sur la prolifération, certains observateurs s’interrogent sur les effets éventuels des conflits du Kosovo et de Tchétchénie dans des pays qui constatent que l’intervention occidentale a épargné la Russie, puissance nucléaire. Dans une optique de "sanctuarisation agressive", non contre un voisin mais contre des parties de leur territoire, ces pays pourraient alors chercher