Tel Maitre Tel Valet

publié pour la première fois en 1834. Le XIXe siècle étant celui du romantisme littéraire, on y retrouve ainsi tous les ingrédients du courant (registre lyrique; histoires d'amour; poésie). Tel est le cas pour l'incipit de la pièce qui nous montre les rapports valets/gouvernants au travers de deux couples: chœur/Maître Blazius, chœur/Dame Pluche; tout en annonçant l'arrivée de deux seigneurs. Les personnages constitueraient donc une part essentielle de ce passage. Après avoir étudier en quoi cet incipit

jeune femme, en tombe fou amoureux et décide de venir tous les matins de très bonne heure à sa jalousie afin de la voir et de lui parler. Mais pour cela il se déguise afin qu’on ne le reconnaisse pas et ce fait appelé Lindor. Il retrouve son ancien valet Figaro qui va l’aider à conquérir le cœur de la belle Rosine. Or Rosine est sous l’emprise de son tuteur Bartholo qui la séquestre et compte l’épouser. Dans cet extrait de la pièce, Rosine a pu transmettre au Comte une lettre pour lui demander de révéler

mœurs par le rire ». Nous avons pu constater que l’île des esclaves était surtout un apologue moral. Nous pouvons alors nous demander si cette pièce mérite le nom de comédie. Consigne : En vous aidant de la mise en scène, des rapports entre maîtres et valets, vous vous demanderez si la dimension comique de cette pièce nuit à sa portée morale, ou si au contraire, elle la renforce. Marivaux, de son vrai nom Pierre Carlet

des esclaves, on a trois personnages sur scène : Euphrosine, une dame noble avec Cléanthis, sa servante et Trivelin, le gouverneur de l’île où ces deux femmes sont arrivées. La particularité de cette île repose sur le fait que lorqu’un maître arrive avec son valet, les rôles de ceux-ci s’inversent. À présent donc, on a Cléanthis qui joue le rôle de maîtresse et Euphrosine le rôle de servante soumise, d’où son absence de répliques le long de l’extrait. Cette permutation de rôles a été proposée par

relation entre le maître et le serviteur (XVIIe siècle/XXe siècle) suivi d'un tableau comparatif par Sylvie Jedynak, professeur au lycée Richelieu, Rueil-Malmaison Ce groupement propose une traversée du théâtre, à la fois diachronique par sa présence permanente dans l'histoire du théâtre européen, et sociologique par son lien avec les valeurs sociales dominantes. Le valet, figure emblématique du peuple, ne sort de la multiplicité et de l'anonymat que grâce au maître ; ainsi, l'étude

Aussi ne puis-je que rire de ceux qui tiennent à déshonneur de souper avec leur esclave, et cela parce que l’orgueilleuse étiquette veut qu’un maître à son repas soit entouré d’une foule de valets tous debout. Il mange plus qu’il ne peut contenir, son insatiable avidité surcharge un estomac déjà tout gonflé, qui, déshabitué de son office d’estomac, reçoit à grand’peine ce qu’il va rejeter avec plus de peine encore; et ces malheureux n’ont pas droit de remuer les lèvres, fût-ce même pour parler. Les

I. Le maître mauvais stratège II. La supériorité de Figaro III. L’atout du valet I. Le maître mauvais stratège 1) Un maître nerveux : lorsque les choses ne se déroulent pas comme il l’entend Almaviva peut se montré cassant. a) Le Comte reprend Figaro sur une parole qu’il a entendu qu’il ne lui été pas adressé « Ma femme » reprit deux répliques plus loin par le Comte « Sa femme ». IL n’apprécie pas que le valet la désigne déjà comme son épouse. Le Comte s’agace que Figaro pense qu’il va

Portrait de valet, nouveaux héros I) Sganarelle II) Figaro III) Lucky Les valets dans la comédie sont très importants pour la comédie et pour la relation maitre et valet. Les valets sont utilisés pour la farce, pour être confident de leurs maitres et pour les intrigues. Nous allons voir le portait de trois nouveaux héros de la comédie trois valet Sganarelle puis Figaro et enfin Lucky I) Sganarelle a — Un croyant superstitieux Il ne pense guère la religion qu'en termes de récompense et de

le fataliste et son maitre écrit par Diderot en 1781 , d’un extrait de Madame Bovary de Flaubert en 1857 , d’un extrait de L’assommoir écrit par Zola en 1877 et enfin d’un extrait du Planétarium de Sarraute en 1959 . On peut se demander comment les romanciers présentent-ils leurs personnages . Nous remarquons un point commun à tous ces textes, ce sont tous des dialogues. Dans L’extrait de Jacques le fataliste et son maître, le dialogue se fait entre Jacques et son maître , dans l’extrait du

la part de l'auteur car *à l'*é*poque en France on est en monarchie. On comprend bien qu'à travers sa pi*è*ce l'auteur fait l'*é*loge du syst*è*me r*é*publicain. Cependant, les scènes centrées sur les maîtres et leurs serviteurs évoquent plutôt les relations entre maîtres et valets telles qu'on les trouvait au XVIIIe et non à l'Antiquité. De même, les détails vestimentaires : le corcet de Frozine et les détails culturels : la loge au spectacle nous évoquent la société européenne du XVIIIe