Tel Père Tel Fils

                L’AVARE de Molière  Mise en scène et scénographie Nicolas LIAUTARD          Jeu 22 Ven 23 avril 20H  Centre Culturel André Malraux – JEUMONT  Durée : 2H            Le Manège – Rue de la Croix BP 105 – 59602 MAUBEUGE CEDEX  Tél : 03 27 65 15 00 / Fax : 03 27 65 93 80  L’AVARE de Molière DOSSIER PEDAGOGIQUE Mise en scène et scénographie Nicolas LIAUTARD Création La Nouvelle Compagnie Saison 2008 |2009 Coproduction La Nouvelle Compagnie La Ferme de Bel Ebat Théâtre

peut-il influer sur un tel écrivain , est comment peut-on affirmé l’impacte que ceci eu sur ces pensées ? Notre hypothèse de départ est l’absence d’affection ou de lien se qui mène au déséquilibre et malheur de la personne durant tout sa vie. A la recherche de perfectionner se qui a été déboussole Jules Renard essaye de combler le vide émotionnelle de son enfance. Dans la première partie nous allons critiques cette œuvre et essayer d’exposer ses personnage tel qu’on les perçoit dans

le savent, et ça, depuis déjà longtemps. Ils ne se touchent plus, ne s`embrasse plus et ne font plus l`amour depuis la naissance de leur fil. Catherine est amoureuse d`un autre homme, un amour impossible et honteux, elle est amoureuse de Simon, le père de David. Son amour est d`ailleurs réciproque, elle et Simon sont amoureux secrètement l`un de l`autre depuis la première seconde qu`ils se sont vue. Ce n`est que par un très beau jour ensoleillé du mois de juillet que la famille, c`est à dire Simon

tourne avec ses grands ruisseaux de sang. A travers ce texte, Prévert nous montre un aperçu de la vie de tous les jours pendant la seconde guerre mondiale. De ce fait, il exprime cette armée horrible faisant couler ce sang à flots… Pater Noster Notre Père qui êtes au cieux Restez-y Et nous nous resterons sur la terre Qui est quelquefois si jolie Avec ses mystères de New York Et puis ses mystères de Paris Qui valent bien celui de la Trinité Avec son petit canal de l’Ourcq Sa grande muraille de

tient au fait que le père n'est pas le géniteur, même si la paternité tient moins à la génération qu'à l'éducation. La mère peut parfois rechercher le père biologique, et il peut arriver que le père se sente dévalorisé. Ce risque est évidemment beaucoup diminué par l'anonymat du donneur. Les précautions prises dans les banques sont telles que ni les parents, ni le médecin qui pratique l'insémination ne savent l'identité du donneur. Cependant, les réactions de l'inconscient sont telles que, aux yeux des

Ainsi, au début du « Proverbe » de Marcel Aymé, M. Jacotin, un père autoritaire, s’acharne contre les siens en les accusant de profiter de lui et en leur reprochant leur ingratitude. Son regard circule de l’un à l’autre pour s’arrêter sur son jeune fils, Lucien. Nous analyserons d’abord le comportement du père. Nous montrerons ensuite comment la peur se manifeste chez les membres de cette famille. M. Jacotin est un père tyrannique qui est persuadé que sa famille profite de lui. En

une arrogance capricieuses, scrupules moraux perpétuels, mépris pour ses parents et ses amis. » (page 12) * Père et mari autoritaire « pater familias » (page 21). Retard de Francesco Paolo sufit à le mettre en colère « le tintement menacant de la louche contre la soupière » (page 21). Il rend ses enfants « muets de craintes » (page 21). Sa femme n’a pas d’influence, comme son fils ainé, «c’est moi qui décide, ça suffit ! » ou « c’est moi qui commande »   * Orgeuilleux « dominer les hommes

un voleur on est d'accord ? si je suis un voleur, alors je suis coupable devant le Père non ? donc je fais Dieu menteur car il a dit : "Il n'y a plus de condamnation" mais si moi je me condamne alors cette condamnation ne fait juste pas de sens c'est le diable qui se sert de mes pensées pour m'accuser vrai ? donc si je laisse un fardeau à la croix et que je le reprends alors le diable devient mon père non ? c'est un extrême, car il n'y a plus de condamnation ! c'est vrai que je laisse

tiennent mon téléphone d’Untel… Ce sont des appels du soir généralement, vers la fin du dîner, l’heure de la détresse. Des appels de mères le plus souvent. De fait rarement le père, le père vient après, quand il vient, mais à l’origine, au premier coup de téléphone, c’est toujours la mère, et presque toujours pour le fils. La fille semble plus sage. On est la mère. On est seule à la maison, repas expédié, vaisselle pas faite, le bulletin du garçon étalé devant soi, le garçon enfermé à double tour

leurs parents et qui préfèrent se « construire eux-mêmes » selon leurs propres codes et leur propre morale, de manière à fuir un passé familial difficile à s’approprier et s’affirmer au sein de la société en se dissociant du fameux « c’est le fils de son père ». Nous verrons à travers un essai de Pierre Bourdieu, La misère du monde, publié en 1993, un roman de JMG Le Clézio et un dessin humoristique de Plantu en quoi l’hérédité sociale et la transmissions de valeurs tiennent un rôle principal dans