Témoin assisté

EXPOSE SUR LA DEMARCHE SCIENTIFIQUE EXPERIMENTALE ET LA NOTION D’EXPERIENCE TEMOIN * C’est souvent une observation simple ou un constat. Par exemple, j’observe un ami qui cultive des plants de tomates dans son jardin. * C’est obligatoirement une question que l’on se pose à partir de l’observation précédente et cette question constitue le problème. Ici, que doit-on apporter aux plants de tomates pour qu’ils puissent grandir ? * C’est une réponse possible au problème posé : cette réponse

les fines gens vont commenter de l'ordre de l'interprétation, ils altèrent, ils déforment, ils font preuve de subjectivité "les inventions fausses" : ce sont des commentaires; des glosses qu'on va faire passer comme vraisemblable, alors que son témoin n'a pas les moyens d'interpeler ce qu'il voit "les fines gens remarquent bien plus curieusement et plus de choses" : reconnaît une qualité évidente "mais" : signale leur défaut : "ils les glosent" : ils commentent ce qu'ils voient de manière plus

est appelle à combler. L’un de ceux-ci est d’être le témoin expert lors d’un procès. Il s’agit là d’un premier déchirement dans la question de l’objectivité. Comment l’être lorsqu’on sert de témoin expert à une cause ou un individu. Comment être sûr que l’historien n’a pas de préférence envers un témoin et qu’il n’utilisera par l’histoire à son avantage? Comme on le voit, ce rôle est nouveau et il faut définir les limites et les apports de ce témoin «historique». Toutefois que doit faire l’histoire

sont confrontés aux tentations : l'homme que voit le narrateur des Choses vues aperçoit une femme argentée, aux signes extérieurs de richesse nombreux ; l'indifférence et plus encore l'ignorance de cette dernière sont violemment condamnées par le témoin : « Cette femme ne voyait pas l'homme terrible qui la regardait ». L'homme de la Grasse matinée feint de se regarder dans la glace : en réalité, c'est « la vitrine de chez Potin » devant laquelle il songe : « cela fait trois jours qu'il n'a pas mangé

distance » (l.4) « il n’osait pas entrer le sauvage » (l.12) ; « yeux baissés »( l.17) . Explication : Méconnaissance des blancs, ignorance complète, naïveté primitif corrompu par la civilisation. Rencontre des deux univers opposés dont on n’est témoin : l.24 « première fois » et contradiction entre « ville » et « forêt ». « Penaud » l.34 Dénuement (vivre avec peu de choses matériels) : il ne sait pas quoi faire, il est désarmé, que ça spot physiquement ou moral Simplicité (exemple de l’arme

L’argument par la conséquence 3 L’argument par la comparaison [ l’analogie ] 4 L’argument d’autorité 5 L’argument par les valeurs 6 L’argument de la norme a L’affirmation b L’exemple c d e • L’alternative La prise à témoin L’argument des « paliers » D’après : J.-L.Galus et al.. : Le français en bac pro. Paris : Nathan 1996 ,p.168 

terrible réalité que Ari a préféré oublié (inconsciemment) En plus d'être un film d'animation, Valse avec Bashir et un film autobiographique. On peut s'interroger sur le fait qui a poussé Ari Folman à réalisé un film d'animation: peut-être les témoins qui aident Ari à retrouver la mémoire n'ont pas voulu être filmé, ou peut-être pour créer une sorte de décalage entre la violence des événements et l'animation d'apparence simple et agréable. Mais pour le réalisateur, passionné d'animation, c'est

« L’albatros », Baudelaire Première partie de commentaire Cette anecdote est un témoignage sous la forme d’un poème où l’opposition prend une place considérable. Baudelaire nous rapporte une anecdote dont il aurait pu être témoin pendant un voyage avec l’utilisation du présent de narration. En effet, l'adverbe "souvent" v.1 explique que l’histoire qui va suivre est une habitude. " A peine les ont-ils déposés" v.4 est le début du témoignage, car il donne une indication de temps précise par

Dernière page de Pierre et Jean une fin ambiguë Trois types de focalisation : → Point de vue externe scène vue par un témoin extérieur : description objective ; insensibilité d'un appareil photographique → Point de vue interne : pensée du personnage, vue du personnage sur le paysage, sur une action, transcription des pensées bruts du personnages → Point de vue omniscient : analyse possible sur les pensées du personnage. Quels émotions l'auteur laisse au lecteur dans la fin de son livre

l’expérience concentrationnaire : c’est la retranscription de la difficulté à raconter, c’est l’évocation de la tentation de l’oubli et du silence. Parce que l’oubli peut aussi être une forme de soulagement pour le survivant, c’est un danger qui guette le témoin, et qui apporte un nouvel éclairage sur le silence au sujet des camps au lendemain de la deuxième guerre mondiale. La parole ou le livre ne sont pas forcément des délivrances : ils semblent être, au contraire, un retour vers la souffrance.