Temple d'Amon

Le mythe raconte que Rê est né dans une fleur de lotus, sur une colline sortie de nulle part. A l’origine, Rê était vénéré dans le nord, c'est-à-dire en Basse Egypte. Par contre, dans la haute Egypte, au sud, le Dieu Soleil était adoré sous le nom d’Amon. Lorsque les deux royaumes ont été réunis, Rê et Amon devinrent : Amon-Rê. A l’aube, les Egyptiens nommèrent le Soleil Khépri, le Scarabée qui roule une boulette de fumier, rond comme le disque solaire ; à midi, il se nomme Horakhty, le faucon qui

vassalisation et qui se matérialise dans le texte ci contre avec un tribut annuel en moutons alors que le pays de Madab a lui été annexé, on peut prendre l’exemple de la ville d’Atarot qui était peuplé par une population israélite et comprenait un temple « de leur dieu bien aimé »l12 Concernant les sources égyptiennes nous ne connaissons encore aucune source décrivant le royaume de Moab, avant Mesha il y est seulement décrit le «  pays des collines » ou de « terres étrangères » Pour ce qui est

pour le secours et la sauvegarde. À l’esprit des grands capitaines, pas de décisions importantes sans le consulter. On lui sacrifie après un voyage et on l’invoque avant d’entreprendre : Zeus Alexikakos, qui écarte les maux. De nombreux ports ont un temple dédié à Zeus Sôtêr (dieu salvateur). Les Athéniens célèbrent, le dernier jour de l’année, la fête des Disotéria. On l’invoque pour se faire pardonner en offrant des sacrifices à Zeus Meïlikios[28]. Zeus est surtout un dieu purificateur et cela donne

et utilise des fois un agent, un fonctionnaire, un lieutenant c’est le roi, c’est à lui qu’il concède le boulot de gérer les affaires du monde ici-bas. Ce roi, exerce sur terre toute cette puissance qui lui est délégué. Il va faire construire des temples etc. C’est lui aussi qui va être chargé d’édicter les règles. Mais la parole du droit c’est la parole du roi. Ex : le roi d’Hammourabi. Dans ce système d’investiture divine, le droit n’est plus la parole révélé de D. mais la parole d’un homme, mais

était chancelier du roi ; Inéni, qui construisit la tombe de Thoutmôsis Ier ainsi que les quatrième et cinquième pylônes de Karnak, était préfet de Thèbes et chef des greniers d'Amon. Sénenmout, l'auteur du plus grand ensemble architectural connu après Karnak, le temple de Deir el-Bahari, était grand chef des domaines d'Amon et précepteur des enfants de la reine. dans la Grèce antique Dans le monde de la cité où se développe la civilisation grecque, le rôle et la place de l'architecte sont en

exprime la difficulté pour la pharaon se gouverné face à un clergé d’Amon trop puissant. Le pouvoir central tente de se diluer. La pharaon est le garant de a prospérité de son peuple. Il assure la sécurité de son peuple en protégeant ses sujets en assurant de leur bienveillance. Pour se faire, il fait des cadeau aux dieux en donnant au dieu. Amon des surfaces de terre riche pour améliorer le quotidien du dieu. Lorsqu’il y a un temple est sensé habité dedans. Il prend alors place dans la société. Les

D'autres auteurs, comme Mubabinge Bilolo, reprendront et développeront cet argument. La plupart des égyptologues occidentaux[Lesquels ?] contestent cette thèse en se basant sur les milliers de représentations humaines figurant dans les tombes ou les temples d'époque pharaonique : lorsque les Égyptiens y font figurer d'autres peuples, comme les Syriens, les Libyens, ils leur donnent d'autres traits et d'autres vêtements (les Syriens portent la barbe et une robe, par exemple). Or ils ont maintes fois représenté

pédagogie, donc l’éducation), une manière commune que les Grecs avaient pour instruire les jeunes. Cela offrait une cohésion dans les populations de ces cités. La question des sanctuaires est très importante. Ces lieux, qui s’élevaient de grands temples (comme à Olympie, à Delphes ou à Delos) étaient panhelléniques, c’est-à-dire qu’ils réunissaient tous les Grecs de tous les mondes grecs. Les concours olympiques nouaient des liens en permanence. C’est de cette manière que l’art et les idées grecs

pouvoir et se retrouve sur des chantiers => il y a donc des conventions précise mais il existe quand même certaine liberté. En 1966, les Egyptiens ont construit un immense barrage pour régulariser le débit du Nil, et lors de cette construction, un temple a du être entièrement démonté et remonté quelques mètres plus loin. Les premières photos des fouilles et de paysages datent du 19eme siècles(à cette période les Egyptiens sont fascinés par les Européens) c’est un général de Napoléon qui découvre

récit de la découverte de la tablette. Le topos littéraire de la découverte de la sagesse cachée d'Hermès se retrouve dans d'autres textes arabes des environs du Xe siècle. Notamment dans le livre de Cratès : alors qu'il se trouve en prière dans le temple de Sérapis, Cratès, un philosophe grec, a la vision d'« un vieillard, le plus beau des hommes, assis dans une chaire ; il était revêtu de vêtements blancs et tenait à la main une planche de la chaire, sur laquelle était placé un livre [...]. Quand