Temple de la Raison

[modifier] Athènes s'étend sur la plaine d'Attique, dominée par le mont Ægialée (en) à l'Ouest, le mont Parnès au nord, le mont Lycabette au nord-est (faisant partie de chaîne Pentélique), le mont Hymette à l'est, et le golfe Saronique au sud-ouest. En raison de ces limites naturelles, il est peu probable de voir la ville s'étendre beaucoup plus qu'elle ne l'est aujourd'hui. Par ailleurs, la géomorphologie d'Athènes contribue beaucoup aux problèmes de pollution atmosphérique dont elle souffre aujourd'hui

personnes qui l’entourent. Ici le bouddhisme apparaît comme une philosophie de vie. En revanche lorsqu’un thaïlandais va prier, méditer dans un temple, il voit le bouddha alors comme un dieu, espérant que ses prières soient exaucées, et qu’après sa mort, il pourra atteindre le « paradis bouddhiste », c’est à dire le nirvana. La personne priant ainsi dans le temple ou à son domicile se lie à la croyance d’un dieu susceptible de lui procurer une certaine reconnaissance à travers des croyances certes, mais

qu’est ce qui pousse une personne « normale » à avoir cette attitude un peu stéréotypée lorsqu’elle se retrouve en charge de la trésorerie d’une association ?. Je pense que la raison est assez simple à concevoir pour peu que l’on veuille remplir sérieusement son office sans se prendre au sérieux non plus. La raison essentielle est la responsabilité matérielle (certes) mais surtout morale qui incombe au trésorier qui se voit confier « le trésor » de l’association. Et comme l’argent est nécessaire

l’équerre, ainsi que la corde à nœuds, la règle, le fil à plomb, le maillet, la truelle, et le ciseau, ont constitué les instruments indispensables la construction et l’édification de toutes les merveilles du Monde, des pyramides Egyptiennes aux temples Grecs ou Romains, comme au Cathédrales du Moyen âge ou palais de la Renaissance qui forcent toujours notre admiration. A l’époque des grands Bâtisseurs, le compas était un instrument sophistiqué, qui traduisait la détention d’un savoir et

une lecture profane des outils sans voir leurs langages ,qui est pour moi la seul voie accessible à tout homme pour percevoir le sacrée. La lecture spirituelle et symbolique de L’équerre comme le compas m’est indispensable à la construction de mon temple idéal, jamais achevé, construction personnelle indispensable, à la réalisation d’une grande œuvre Alors, oui, Le silence revêt d’une importance capitale ! Par ailleurs, ces quelques lignes m’ont rappelé qu’ avant ,l’expression de la pensée était

les correspondances. Dans le 1° quatrain la nature est personnifiée et vivante et elle est douée de la « parole » : observe avec des regards familier ». Nature est un être à par entière. La nature est sacrée : c’est « temple ». N majuscule de Nature : personnification. « temple » caractère lié au divin, lieu lié au symbole et qui souligne le caractère sacré de la nature qui devient une révélation. « l’homme y passe » insiste sur l’absence de communication entre la nature et l’homme, seul le poète

est demandé de respecter le silence dans le Temple, afin d’apprendre le respect de l’autre et de s’emplir du rituel et des symboles qui l’entourent. Lors de la fin des travaux, les surveillants annoncent après lavoir constaté que « le silence règne sur les colonnes ». Et à la fin de chaque tenue, le Vénérable n’invite-t-il pas les sœurs et frères à se séparer « en promettant de respecter la loi du silence » ? Le silence se perpétue donc hors du Temple par souci de discrétion et comme mesure de protection

de façon rationnel, chez Aristote, c’est plus compliqué, on a trois type de raison : théorique (fournis sa conception du telos de l’homme (cible a visée avec la raison pratique) Techné et prudentielle, elles sont plus sensibles au contexte contrairement à la raison théorique qui est très abstraite. L’un des pères de la raison pratique, il ne faut aps suivre la raison théorique si l’on cherche un dialogue, il faut la raison pratique qui es fidèle à ce qui arrive dans les dialogue, c’est ainsi que l’on

sont autant de dualités non confondues mais dont on ne peut ignorer aucun des termes : il ne s’agit pas de choisir entre telle ou telle couleur, mais de les intégrer et de faire en sorte qu’elles vivent harmonieusement. C’est la raison pour laquelle chevaliers du Temple en firent leur gonfalon, leur étendard, composé d’une moitié noire et d’une moitié blanche, symbolisant l’alliance et le jeu continuel de la lumière et des ténèbres, de la vie et de la mort. Or si le pavé mosaïque devait se contenter

Pélion...). Mais aucune d'entre eux accepte car « toutes furent saisies de crainte et de terreur et nulle n'osa, quoique fertile, recevoir Apollon ». Finalement, seule Délos accepte, après qu'elle lui eut promis que si l'île acceptait de construire un temple à Apollon, les dieux la protégeront et « les étrangers lui apporteront des sacrifices dont la fumée s'élèvera vers les cieux. » Suite à l'accord de l'île, Létô accouche (avant elle étreint un palmier qui deviendra sacré...) et Homère nous dit qu'elle