Temple de Vénus Genitrix

se font face, dédiées l'une au grec, l'autre au latin, image du bilinguisme de l'empire. Elles encadrent la colonne trajanne qui fait le récit illustré de la guerre contre les Daces. Enfin, cette véritable scénographie monumentale s'achève par le temple dédié au divin Trajan après sa mort. Le forum de Trajan illustre le contenu idéologique de l'imperator victorieux à la tête de ses troupes, thème de la statue équestre de Trajan au centre de la place, et reproduit un plan inspiré du quartier général

l’extrait ? Etudions dès lors ces fondements, que nous regrouperons par commodité en trois ensembles. I/ LA VICTOIRE MILITAIRE : A - LA VALEUR GUERRIERE : L’extrait met en scène la description d’un bouclier donné par Vénus à son fils Enée : Vulcain, son créateur, y a notamment représenté, dans le poème de Virgile, la bataille d’Actium. On le voit ici, le poète rappelle la présence d’Octave au sein même de cet affrontement naval : il nous montre, ligne 5, un « César Auguste

| |Lefkandi en Béotie : le Héroôn : restitution. Xè siècle avant JC. (Art grec) | Par contre, les nouveaux venus, les Doriens amènent avec eux deux importantes nouveautés : la métallurgie du fer (apparue en Asie Mineure) et un céramique nouvelle qui donne naissance à la céramique géométrique… Peu à peu, le monde grec de cet « âge obscur » s'organise en petits

Iulii qui, selon l’empereur Claude, se joignit ensuite aux patriciens de Rome6. Par ce lignage, César revendiqua, lorsqu’il prononça l’éloge funèbre de sa tante Julia, une ascendance remontant à Vénus7 dont il célébrera les vertus génitrices (Vénus Genitrix). Les Iulii historiquement connus furent une famille patricienne d'importance mineure, qui exerça quelques consulats mais ne faisait pas partie, au Ier siècle av. J.-C., de la cinquantaine de familles de la nobilitas qui fournissaient la plupart

reprend ses droits ; HIC en début de vers,  HAEC à la trihémimère, derechef en début de vers, deux fois (cf. v. 39, 40) ; ceci est un écho avec les HOC des vers 1 (trihémimère) et 2 (début du vers) ; il est mis bien en tête, sous la responsabilité de Venus, certes, mais cet effacement semble une simple marque, purement formelle, de respect, démenti qu’il est par le terme ARTIFICEM : PRAE-FECIT (en figure étymologique), cf. plus loin PRAE-CEPTOR en 17 ; il passe d’ailleurs de COD en début de 7 à sujet

de la politique malgré quelques événements importants mais mena une vie de plaisirs. Volonté de se poser en descendant de Venus? Par la suite il se constitua une généalogie divine : Enée, ancêtre de Romulus, aurait eu un garçon appelé Ascagne ou Iule, qui serait l'ancêtre éponyme de la gens Iulia dont il est issu. Ainsi il pouvait espérer un avantage politique concret car Vénus était aux yeux des romains, la déesse du succès à la guerre. III/ Autour du Consulat 1. Le prétendu «premier

sont en crin de cheval, touffe de poils, fourrure, et les poinçons en silex. B. Sculpture * Vers – 27.000, les premières statuettes de vénus apparaissent. Elles ont en commun leur hauteur de quelque 10 cm, leurs rondeurs accentuées et leur visage généralement sans traits. Ce sont sans doute des symboles de fertilité. Avec le temps, ces vénus se stylisent de plus en plus au point de devenir géométrique et presque méconaissable. * On a retrouvé également certaines statuettes dont le

de la politique malgré quelques événements importants mais mena une vie de plaisirs. Volonté de se poser en descendant de Venus. Par la suite il se constitua une généalogie divine : Enée, ancêtre de Romulus, aurait eu un garçon appelé Ascagne ou Iule, qui serait l'ancêtre éponyme de la gens Iulia dont il est issu. Ainsi il pouvait espérer un avantage politique concret car Vénus était aux yeux des romains, la déesse du succès à la guerre. 5. Le deuxième séjour en Orient En 75, à Rhodes, il

1927. (FA 262 A5 RAN) Riis, P.J., An Introduction to Etruscan Art, Copenhague, 1953. Riis P.J., Tyrrhenika. An Archaeological Study of the Etruscan Sculpture in the Archaic and Classical Periods, Copenhague, 1941. (FA 262 E RIIS) Rowe P.M, Etruscan Temples: a Study of the Structural Remains, Origins and Development, Ann Arbor, 1989. (FA 262 C ROWE) Schachermeyer F., Etruskische Frühgeschichte, Berlin-Leipzig, 1929. (F262 A4 SCHA) Spivey, N., Etruscan Art, Londres, 1990. Spivey, N. & S. Stroddart, Etruscan

gothique des cathédrales de cette fin du XIIème siècle et au XIIIème siècle n'échappe pas à cette règle liturgique. C'est ainsi qu'au XXème siècle, le cardinal J. Daniélou, qui a écrit un ouvrage sur les différentes notions que pouvaient avoir le temple, nous fait part de sa réflexion sur "le Seigneur Dieu qui répandra sa lumière"27 : "Comme le soleil est le principe vital de la biosphère, ainsi le Christ, soleil des esprits, est le principe vivifiant de l'univers spirituel. (...) Comme le soleil