Templum

admirandum profecto animal iure homo et dicitur et existimatur. Sed quaenam ea sit audite, Patres, et benignis auribus pro vestra humanitate hanc mihi operam condonate. Iam summus Pater architectus Deus hanc quam videmus mundanam domum, divinitatis templum augustissimum, archanae legibus sapientiae fabrefecerat. Supercaelestem regionem mentibus decorarat; aethereos globos aeternis animis vegetarat; excrementarias ac feculentas inferioris mundi partes omnigena animalium turba complerat. Sed, opere consummato

le fait de former des nominations correctes et de ne jamais pécher contre l'ordre des castes et des classes. Comme les Romains et les Etrusques divisaient le ciel par de rigides lignes mathématiques et, dans un espace délimité ainsi qu'en un « templum », conjuraient un dieu, de même chaque peuple a au-dessus de lui un tel ciel de concepts mathématiquement répartis et, sous l'exigence de la vérité, il entend désormais que tout dieu conceptuel ne soit cherché nulle part ailleurs que dans sa sphère

le suspens des autres. On parle d'ouverture d'un roman : le mot est ambigu puisqu'il tend à sacraliser comme espace du vol, du vrai, du fiable, du vérifiable, un en-dedans problématique, le hasard d'un texte, un lieu d'abord fait de limites, un templum où s'observent les signes. Mais d'où viennent les oiseaux, et ces trous noirs qu'ils font méchamment dans l'azur, quel savoir a guidé le bâton de l’augure ? Ou bien s'agirait-il d'ouvrir une demeure où tout est déjà là, le dépôt d'un déjà-dit,

l’haruspice pouvait alors examiner la taille, la forme, la couleur, les signes particuliers de certains organes, généralement le foie. Le culte : Les actes du culte sont les prières, les offrandes, les sacrifices et les "Jeux". Le mot "templum", espace délimité dans le ciel par l'augure brandissant son "lituus" (bâton), a désigné plus tard l'édifice religieux rectangulaire entouré d'une colonnade; il abrite la statue du dieu, mais c'est à l'extérieur que se déroulent les cérémonies. Il

de la cité, joue le rôle de guide et conseil suprême). Mais paradoxalement, cette assemblée n’a pas de pouvoir réel de décision, ni de moyens de coercition pour faire appliquer ses volontés. - Les séances : * Lieu de réunion obligatoire : un templum consacré (temple ou le plus souvent la curie). * Entrée du sénat interdite au public, mais les portes restent ouvertes (le peuple peut donc suivre les discussions). * Ne peut se réunir de lui-même : doit être réuni et présidé par un magistrat

donc de 6 cas à 2 cas : nominatif et accusatif. Simplification casuelle qui était déjà en germe dans le latin classique. Il connaissait déjà une homonymie, une confusion entre certains cas, dans les déclinaisons. Pour le neutre par exemple templum, templum, templum. Homonymie. Et pour le masculin et le féminin dans certaines déclinaisons le nominatif et l’accusatif avaient aussi la même forme. Le neutre a disparu et on ne le garde que sous la forme de tournures impersonnelles. Mais les substantifs neutres

Le vote dans la Rome antique, les procédures de vote ont été formalisées par les lois tabellaires (-139, 136 et 139 AC). Ces bulletins écrits (tabella) sont remis par le Custos contre la tessera ad hoc(cartes électorales) puis on rentre dans le templum puis dans le diribitorium pour voter. Procédure de vote au Moyen-âge (en France): * Elles sont peu formalisées, on réunit des assemblées locales dans une salle (une centaine de personnes). On va voter dans des urnes dans lesquelles on met des

symbolisant l'abandon fait aux immortels d'un terrain désormais sacré. Il enfouit ensuite, dans un trou creusé devant l'autel, une motte de terre provenant du sol de Rome, conférant ainsi la romanité et l'inviolabilité au terrain. Ce terrain, le templum, cœur de la colonie, est délimité jusqu'au pomerium l'enceinte sacrée en traçant un sillon à l'aide d'un araire au soc d'argent attelé d'une vache et d'un taureau blancs18. magistrat, il distribue les lots et règle les conflits que la répartition

aux sentiments. §2 : - L’agréable est intéressé (satisfaire nos besoins, gouts, désirs) ≠ le beau (fin en soi, vaut pour lui même) La beauté n’est pas la pour nous servir de désir. Kant dirait que le beau est là pour être contemplé (Templum, regarder le ciel, les augures) c’est à dire laisser la chose (l’œuvre d’art) à distance, exemple, les natures mortes ou les sculpture, on les regarde en disant que ce sont des belles œuvres car ce sont des représentations, on les mets à distance :

effet une sorte de chantier permanent. Dès que la construction d’un monument s’achevait, c’est celle d’un autre qui commençait. » Dougga jusqu’aux Sévères Aux deux premiers siècles, la ville s’est dotée de monuments déjà considérables : un templum Caesaris (temple de César) sous Tibère, suivi de la première opération d’urbanisme pour l’époque romaine : le pavage du forum et de la place devant le temple de Tibère, la construction d’un temple à Saturne, d’un arc et d’un autel pour le culte impérial