Templum

l’Empire romain a été l’instigateur de la paix perpétuelle. Rome, selon la légende, héritée d’un rituel étrusque, aurait été fondée le 21 avril 753 avant Jésus-Christ, à l’intérieur du sillon sacré (pomerium), délimitant un espace quadrangulaire (templum), creusé par Romulus à l’aide d’un soc de bronze tiré par un taureau blanc et une vache blanche. Surtout, il faut dire que cette ville conquérante deviendra celle du jeu et de la consommation. C’est la « ville ludique », tout le contraire de Carthage

controversiis agrorum, dans Cromatici veleres, p. 47) parle des inondations (« inundatio camporum ») qui modifient l’aspect des champs en Afrique, 7. Bull. archéologique du Comité, 1908, p. CCXLIII (inscription de la région du Mornag, au Sud de Tunis) : « templum vi fluminis ereptum. » Ibid., 1899, p. CLXXXI (inscription de Tigzirt) : « ... cuius voragine semper attrita pecora. » 8. C, I. L, VIII, 10208-9, 10302, 10304, 10308-9, 10315, 10320, 10323, 22371-3, 22379 (bornes milliaires de la route de Cirta à Rusicade)

quum immanibus undenis arcibus illam, fide et armis perspicuam urbem regni conservatricem, Aurelianis, obsessam [tenere] tibi gravissimus labor erat : celeberrimum variis et infinitis miraculis illustratum nostræ dominæ Virginis Mariæ de Cleriaco, templum, sacris donariis et pagum profanis deprædari audax fuisti. Exinde omnia infausta tibi sacrilegæ procedunt ; nempe ille truculentus comes Salberiensis, crudæ obsidionis director, e Pontis arcis fenestra, intus reconditus, splendidam urbis compositionem

des réunion du sénat. A l’origine, un temple est un espace qui a été inauguré par un pontife. Cela peut aussi désigner d’autres espaces publiques comme la curie, salle où se réunissait le sénat. Du point de vue des romains, la curie est aussi un templum. On voit donc le lien entre le religieux et la politique. Certaines décisions politiques ne peuvent se prendre que dans un espace publique qui a fait l’objet d’une consécration religieuse. Les augures assistent aussi les magistrats dans l’exercice

clarele izvoare plîng. (Prometeu, vers. 430 şi urm., trad. Ion Foţi, Buc. 1924) ; 11 Interpretarea de templum şi tempus, a cărei înrudire etimologică a arătat-o, i-a îngăduit lui H. Usener, Gotternamen, Bonn, 1920, p. 191 şi urm., să degajeze această noţiune de intersecţie. W. Miiller, Kreis und Kreuz (Cercul şi crucea), Berlin, 1938, p. 39 şi urm., a arătat că templum desemnează aspectul spaţial şi tempus aspectul temporal al mişcării orizontului în spaţiu şi în timp [(citat de M. Eliade

dresser une digue. » Breton se dit prêt à consentir de grands sacrifices pour que cette digue soit élevée (OC III, « Lettre à L. Pauwels à propos de L’Homme révolté de Camus », p. 1056). En ce sens, l’esprit surréaliste fait front en délimitant un templum, refuge attractif du merveilleux, de la triade poésieamour-liberté. Sa mission, investie de spiritualité profane, est d’élever cette arche de sauvegarde, non tant pour s’isoler de la corruption que pour résister à des idéologies envahissantes. C’est

altare duble, pricină pentru lacrimi ; V, 48: îngropăm osemintele părintelui divin în pământ îi hărăzim zeilor triste altare. Gramaticianul Nonius Marcellus spune că la antici mormânt însemna un templu şi, într-adevăr, Vergiliu foloseşte cuvântul templum pentru a desemna mormântul sau cenotaful pe care Didona 1-a înălţat soţului ei (Eneida, IV, 457). — Plularh, Quest. rom., 14: se întorc la morminte şi cinstesc mormintele părinţilor precum templele zeilor. — Continuă să se numească ara piatra înălţată

évangélique, est à noter tout spécialement en rapport avec les considérations qui vont suivre. 93 qui est mis à part (secernere, mettre à part, d’où le participe secretum), réservé, séparé du domaine profane ; de même, le lieu consacré est appelé templum, dont la racine tem (qui se retrouve dans le grec temnô, couper, retrancher, séparer, d’où temenos, enceinte sacrée) exprime aussi la même idée ; et la « contemplation », dont le nom provient de la même racine, se rattache encore à cette idée par

de géographie historique. Rev. du Nord XXXIII (1951), 44-55. J.-A. DE FOUCAULT, Berg... Voir n° 5298. 5120. M. GAMBLIN, L'origine du nom de Watten. Bull. de la Commission histor. du Nord XXXVII (1959), 69. 5121. J. GRICOURT, Composés et dérivés de templum dans le nord de la Gaule. Rev. intern. d'Onom. VII (1955), 97-104. 5122. M. GYSSELING - J. DHONDT, Vlaanderen. Oorspronkelijke ligging en etymologie. Album... Dr. Frank Baur (Antwerpen, 1948), I, 192-220. 5123. E. HAUTCŒUR, Cartulaire de l'église

2e partie. (Z-5129 (20) ) 112. BARGES Jean-Joseph-Léandre (abbé), Mémoire sur le sarcophage et l’inscription funéraire d’Echmounazar, roi de Sidon, B. Duprat, 1856, in-4°, 41 p. et pl. (4-O2E-160) 113. RIBERA Francisco, De templo et de iis quae ad templum pertinent libri quinque, in-12, Lyon , 1592, in-4°. (A-4291) 114. SAUBERT Johann (fils), De Sacrifiis veterum conlectanea historico-philologica ..., Lugduni Batavorum 1699, in-4°. (J-15578) 115. DIDIER Charles, Cinq cents lieues sur le Nil, Hachette