Temps de narration

Condensation Temps de l’histoire Concentration sur quelques moments importants L’action : Rapide/Lente Développement plutôt rapide, chute brutale Incipit in media res : au début de l’action II- Le temps du Conditionnel  Le conditionnel se forme avec la BV du futur ainsi qu’avec la terminaison de l’imparfait. Ce temps peut avoir deux valeurs : l’hypothèse ou le futur dans le passé. Cette dernière valeur dépend d’un verbe principal au passé. III- Ordre et rythme de la narration La narration : le

narrative : articulation des deux formes 5 combinaisons possibles, qui mettent en scène l'univers fictionnel et qui produit des effets différents sur le lecteur 1. Narration hétérodiégétique passant par le narrateur Cas de figure où le narrateur maitrise le savoir et en particulier il en sait plus que les personnages, sur le temps (permet des retour en arrière ou analepse et des prolepses, anticipations qui sont données comme certaines) → focalisation omnisciente (omni : tout + cio : science),

Sujet poséMaupassant arrive à garder le réalisme et la vraisemblance du récit malgré la subjectivité de point de vue personnelle en utilisant l’objectivité par des procédés de narration et de la vraisemblance. Sujet divisé· Subjectivité par un point de vue personnel sur les valeurs corses· Objectivité par des procédés de narration· Procédé de la vraisemblanceDéveloppement : argumentation en trois partiesPremier argument principalMaupassant présente un point de vue personnel sur les valeurs corses.Argument

« héros » désincarnés. Texte : Albert Camus, L’Etranger, Première partie, Chapitre I, « Aujourd’hui, maman est morte… et faire deux heures de route » (p. 9 à 12). Objectifs : Etudier les fonctions de l’Incipit. Etudier les particularités de la narration. Etudier la présentation du personnage principal, son attitude, ses réactions et le malaise qu’il transmet. Dominante : Lecture analytique. ________________________ Situation du texte (introduction) L’incipit sert à informer (intrigue

L'imparfait est utilisé pour une action passée, qui a duré et qui est terminée. Le passé simple est utilisé comme temps de narration pour une action ponctuelle qui s'est déroulée dans le passé. Les temps composés expriment l’antériorité par rapport à un moment donné (passé ou à venir), mais accompli Pour rendre compte de la technique utilisée par le narrateur(celui qui raconte une histoire), on distingue 3 points de vue: - le point de vue externe: le narrateur limite l'information à ce que

et ont favorisé une sorte d’apprentissage. Ainsi nous avons gardé un lien particulier avec la narration et c’est pour cette raison que nous l’utilisons encore de nos jours. La suprématie de la narration est présente partout. Nous allons montrer, dans ce travail, que le récit qui a pour origine le roman est sorti du cadre littéraire pour se retrouver dans toutes sortes de domaines. Dans un premier temps, nous analyserons l’influence de la proximité, l’attention et la rétention sur l’être humain. Puis

autrement appelée « le mal du siècle ». Or, Forte d'un passé glorieux, la jeunesse devrait se réjouir et profiter pleinement d'un temps présent pour se tourner pleine d'espoir vers un futur rempli de perspectives. Pourtant, et là réside le paradoxe, point de gaité dans cet extrait mais plutôt un constat effrayant d'un mal-être mis en perspective avec l'histoire et le temps. Comment l'auteur s'y prend-il alors pour restituer au lecteur que nous sommes, l'inéluctabilité de ce mal-être rendant ainsi impossible

L’analyse Structurale du corpus, Selon la théorie de Gérard genette, figure III Mots clés : Narration, narrateur, Anachronies, durée, fonction Introduction Dans l’analyse de notre corpus, L’Abbés Prévost, Manon Lescaut, 1731, nous analyser les procédés narratifs qui permettent de reconstituer le schéma du texte, et découvrir les relations entre narration, histoire et récit. Cependant, nous allons décrypter les éléments essentiels à notre analyse selon la théorie de Genette. Ce qui veut dire

mémoire – Objectivité et subjectivité Même si l’auteur désire être le plus honnête possible, il est impossible d’être objectif. Dans la reconstruction de son passé, l’auteur interprète, recrée, transforme, même involontairement, inconsciemment. Le temps, comme les souvenirs, est subjectif, chacun d’entre nous vivra un même événement de manière différente. Tel événement anodin pourra être décrit sur plusieurs pages alors que d’autres qui pourraient paraître plus importants seront tus. III) Que raconter

Identifier la voix narrative : La relation du narrateur à l’histoire • le narrateur est présent dans l’histoire de manière homodiégétique, étant donné que l’écrivain fait raconter l’histoire par un de ses personnages. Le niveau de la narration • Le récit est unique et continu de la première à la dernière page. Ici le narrateur qui raconte l'histoire se situe à un premier niveau, il sera dit extradiégétique. Modes de vision • La focalisation est interne : le narrateur fait