Tendresse

nôtres en certaines occasions, des larmes qui montent et que l’on voudrait contenir, de la part de soi que l’on voudrait explorer, des relations, surtout, oui, des relations aux autres, au monde, à soi-même. Elle nous rappelle l’importance de la tendresse et du respect, de la douceur et de l’attention, de l’observation. Le style : Jamais, chez Kitty Crowther, l’image n’est redondante face au texte. En effet, nous le constatons comme à son habitude, dans tous ses livres elle a un univers riche fait

Le verbe ‘aimer’ est définit dans le dictionnaire comme une façon de « éprouver de l'amour, de l'affection, de la tendresse ». Alors, qu’on on aime quel qu’un, on leur fait une épreuve d’affection et d’amour ? On peut trouver que cette définition, ne contient pas les émotions et sentiments qui sont inclue quand on aime quel qu’un : elle ne transmit pas ni la complexité ni la mentalité d’un personne amant. Il est bien connu que quand des personnes sont amoureux, il se trouve un sens d’unité, que les

fermer à double tours. Ce n’est que plus tard que j’ai compris pourquoi et surtout ce que représentait ce lit parental. * P.31 : « Combien d’enfants ont été freinés dans leur développement par ces câlins, par le charme de la volupté et de la tendresse partagée en silence, par cette promiscuité du corps à corps voluptueux. On les retrouve ensuite avec des retards considérables de langage, de psychomotricité et de l’affectivité. » Être sévère ? Poser des interdits ? * P.32 : « L’enfant

tous ces mots qui enrichissent de mois en mois ton langage et surtout ces chansons rigolotes que ton père ne manque jamais de mimer pour notre plus grand plaisir. Oui, c'est ainsi, c'est dans cette tendresse que se construiront les souvenirs qui cimenteront à jamais notre amour et notre tendresse. Alors, oui, je serais là pour toi quand tu aura besoin de moi, je serai là encore quand tu aura besoin d'une épaule pour y poser tes gros chagrins, quand tu aura besoin d'un endroit pour te réchauffer

passionnée d'une mère pour son filsa) Un amour possessif voire incestueuxAgrippine parle de son fils comme s'il était son amant. C'est pourquoi elle nomme Junie, l'amante de son fils, comme une « rivale » vers 880. « Une autre de César a surpris la tendresse : elle aura le pouvoir d'épouse et de maîtresse. » vers 887,888. C'est pourquoi elle éprouve une jalousie vis à vis de Junie qui lui fait exprimer ses sentiments de façon dramatique et pathétique comme si elle était une pauvre victime trompée par

ses yeux aux miens n’ont paru si perçants, Jamais je n’eus pour eux des desirs si pressants, Et je sens là dedans qu’il faudra que je crève, 1025 Si de mon triste sort la disgrâce s’achève. Quoi ? j’aurai dirigé son éducation Avec tant de tendresse et de précaution ? Je l’aurai fait passer chez moi dès son enfance, Et j’en aurai chéri la plus tendre espérance ? 1030 Mon cœur aura bâti sur ses attraits naissans, Et cru la mitonner pour moi durant treize ans, Afin qu’un jeune fou dont elle

ira se perdre en fol espoir vivide, En trépignements dans le vide ? À sa famille de pensées Une femme nous présenta ; Ravi, nous avons dit, en phrases nuancées, Vers quel bonheur tendaient nos pas. Un soir de clair de lune, Un moment de tendresse et de rêve charnel, Où le monde paraît simple et presque irréel,  Cette femme devient la grisante fortune  Oue notre désir appelait. Le songe autour de nous danse un pas de ballet. Tout à coup transparaît en l'aimée une tache Qui nous hallucine

j’étais votre dernière pensée. Il est sans parler de votre présent qui d’une valeur inestimable à mes yeux, a fait germer en moi un petit peu d’espoir, que je préserve tant que je le peux, en rêvant votre retour prochain. Et c’est avec toute la tendresse que je vous porte que je vais planter ces graines et en prendre soin, tout comme j’espère avoir pris soin de vous pendant notre enfance. Je continu chaque jour à m’occuper du jardin avec Domingue afin qu’à votre retour lui au moins sois digne de

moi. J’ai réellement été séduite par la fluidité du récit de Louis Atangana et son écriture touchante et émouvante de la vie de la très célèbre chanteuse américaine Bilie Holliday. Selon moi il a sut parfaitement raconter une partie de sa vie avec tendresse, émotion et une bonne dose d’humour ! C’est un livre à dévorer en un jour pour les mordus de lecture. Ce livre est mêlée, de swing et de jazz on se sent vibrer tout au long du récit ! A présent voici une petit mise en bouche de ce fameux roman !

le portrait physique 1. MSC se définit par l’incapacité - Incapacité à exprimer ses émotions « Il était gauche » = maladroit « Il était plein d’embarras » (on retrouve des éléments du portrait physique) - Incapacité à avoir des gestes de tendresse : « il ne savait pas faire les gestes caressants dont les enfants sont gloutons » - Incapacité à parler : « il n’était capable d’un entretien suivi avec personne, sauf … », « on ne pouvait plus tirer un mot de lui » - On peut d’ailleurs observer