Termes de l'échange

transactions : la première ébauche d’un marché mondial est en train de se former, même si certains continents, comme l’Afrique, n’y sont pas véritablement intégrés. Pourquoi les pays échangent-ils à l’échelle internationale ? Quels gains obtiennent-ils de l’échange avec l’extérieur ? Quelles politiques commerciales convient-il de mettre en œuvre pour modifier la matrice des rémunérations liées aux relations avec l’extérieur? Pour donner quelques éléments de réponse à ces questions, le cours abordera deux parties

élastique à l'infini. En d'autres termes, une politique commerciale ou d'autres types de stimulants à l'industrie naissante ne sauraient affecter le niveau des prix inte rnationaux. Regardons le graphique I et supposons qu'un pays produise au point Po de sa courbe de possibilités de production et commerce avec l'étranger de telle sorte que son niveau de consommation se situe au point c0 : ceci, en situation de liberté du commerce international et les termes de l'échange restant constants. Supposons que

balance commerciale II. La balance des invisibles III. La balance des capitaux IV. Indicateurs du commerce extérieur 1. Indicateurs descriptifs a. Solde commercial b. Taux de couverture 2. Indicateurs analytiques a. Termes de l’échange réels b. Termes de l’échange nets A. Notion La balance de paiements est le relevé, pour une période donnée (en général une année) des transactions économiques et financières d’un pays avec l’étranger , c’est-à-dire des biens et services que ce

d’échanges est donc plus forte pour les pays du Sud que pour les pays du Nord. La part du marché mondial détenue par les PED s’est fortement accrue au cours des années 1970 (de 17 à 27 %) sous l’impact d’une évolution favorable des termes de l’échange et de l’application du système généralisé de préférence (SGP) 1.1 – LE POIDS COMMERCIAL DU TIERS MONDE (suite) Par le SGP, les PDEM s’engagent à abaisser ou supprimer leurs droits de douane pour les produits manufacturés en provenance

niveau d'un organisme mondial : l'OMC Les termes de l'échange Entre 1833 et 1844, Robert Torrens revient peu-à-peu sur ses positions libre-échangistes, et développe le premier argument « moderne » contre le libre-échange : lorsqu'un pays peut agir sur les termes de l'échange (par exemple, parce qu'il est « gros », ou parce qu'il détient un monopole), il peut alors choisir un niveau de droits de douane optimal, qui maximise les termes de l'échange en sa faveur. Torrens en déduit que la politique

1er SUJET : Que gagne-t-on à échanger ? ¤ Analyse des termes du sujet GAGNE : le verbe se ne limite pas à une idée de profit monétaire (dans le cadre de la vente par exemple) ou de profit matériel (comme dans le cadre du troc). On peut gagner en connaissance, en maturité, et dans le cadre des échanges ici peut-être en humanité tout simplement… ECHANGER : bien qu’il s’agisse d’un sujet de ES, il ne faut pas croire qu’il s’agit uniquement d’échanges de marchandises. Il existe des échanges de

dans la croissance, en effet, selon ces auteurs, le commerce international peut être avantageux si les importations permettent d’avoir des biens qui auraient exigé s’ils avaient été réalisés sur place un plus grand facteur de production. En d’autres termes, importations et exportations restent étroitement liées. 2 Ils réintroduisent le capital dans le raisonnement là où les classiques n’incorporent que le travail. Dans tous les cas, nous restons dans un contexte de libre échange mais la théorie

tiers-mondiste (1960-1970), dominé par le structuralisme, dénonce le pillage des matières premières des colonies et anciennes colonies par les puissances capitalistes occidentales et récuse la notion de retard de développement. Il démontre ainsi que l’échange inégal explique tout ; ces pays sous-développés, fragiles et manipulables, ont une marge de manœuvre assez réduite. La commission économique pour l’Amérique Latine des Nations Unies dénonce l’insertion de ce continent mal préparé dans une économie

| |     Entre tradition et renouveau, les théories du commerce international   I)  De Smith à HOS, l’échange international est fondé sur l’échange de différences     -Selon Smith, l’échange international provient de différences absolues de productivité. Il raisonne dans le cas de deux pays, ne produisant chacun que deux biens. Il suppose qu’il existe un seul facteur de production : le facteur

anglais-français du commerce international : Théories, politiques, accords et institutions de Jacqueline Percebois      Entre tradition et renouveau, les théories du commerce international   I)  De Smith à HOS, l’échange international est fondé sur l’échange de différences     -Selon Smith, l’échange international provient de différences absolues de productivité. Il raisonne dans le cas de deux pays, ne produisant chacun que deux biens. Il suppose qu’il existe un seul facteur de production : le facteur