Terre-Ciel

I- Jupiter et ses satellites Jupiter est une planète dite « géante gazeuse », la plus grande de notre système solaire et en cinquième position en partant du soleil, après Mercure, Venus, Mars et la Terre. Elle a été appelée ainsi en hommage a Jupiter, dieu des dieux et dieu du ciel, Zeus chez les Grecs. Jupiter est visible la nuit a l'œil nu grâce a sa clarté, quatrième plus puissante après le Soleil, la Lune et Venus. Jupiter, en tant que planète gazeuse est parcourue a sa surface par

l’auteur 78 1/ Avant-propos Je veux écrire pour une aventure libre, sans histoire, sans issue, une aventure de terre, d’eau et d’air, où il n’y aurait à jamais que les animaux, les plantes et les enfants. Je veux écrire pour une vie nouvelle. J.M.G. Le Clézio, L’Inconnu sur la terre[1] Le présent mémoire de maîtrise se donne pour but d’étudier l’univers naturel chez J.M.G. Le Clézio, écrivain contemporain français

trouve dans l'ombre de la Terre. D'un point de vue lunaire, il s'agit d'une occultation du Soleil par la Terre. Ceci se produit uniquement lorsque la Lune est éclairée, et quand le Soleil, la Terre et la Lune sont alignés ou proches de l’être. Le type et la taille d'une éclipse lunaire dépendent de la position relative de la Lune par rapport à ses nœuds orbitaux. Une éclipse lunaire est une éclipse se produisant à chaque fois que la Lune se trouve dans l'ombre de la Terre elle se produit lorsque

s’allume la nuit, la lutte de la lumière de l’homme sur les forces obscure de la nuit. C’est un feu situé dans l’espace de manière précise. Il est le lien vertical entre la terre et le ciel. Par ces racines les plus profondes il est lié au nadir, aux entrailles de la terre et par ces plus hautes branches il est lié au zénith, au ciel, à l’être suprême. Pour les druides, l’arbre était l’Etre Suprême. Le feu est immense, alimenté de bois sacrés, par tout le peuple, au sommet du plus haut des sommets de

symboles qui stimulent lesprit, qui suscitent une smantique, des rapports imaginatifs entre faits, objets ou signes. Une colonne brise dont la partie haute se trouve au sol en est llment central, dans le paysage, des arbres entourent cette colonne, le ciel symbole de la conscience est faiblement nuageux, lensemble fait penser quun terrible sisme a eu lieu en cet endroit et que par la suite le calme et le silence sont revenus, le poids du silence tant augment par le murmure du faible vent dans le feuillage

être qui réconcilie l’homme avec l’univers par sa dimension cosmique : Elle est source de vie, d’harmonie ( Logos). Certains dessins de Man Ray le suggérent, comme étant l’allégorie de liberté (page 71) où l’on voit une femme nue s’élevant dans le ciel, suspendue à la hampe d’un drapeau. La disproportion avec le paysage à ses pieds montre qu’elle prend la taille de l’univers pour valoriser le symbole qu’elle incarne  Un symbole universelle, indispensable, unique et inspirant. Le corps nu de la

I) La preciosité de l'eau A) une ressource vitale a) une ressource abondante et renouvelable "L'eau est miroir de notre avenir" Gaston bachelard La Terre est une planète contenant beaucoup d'eau, c'est pour cela que bien souvent nous l'appelons "planète bleue". En effet, 75% de la surface terrestre est recouverte par les eaux. Mais l'eau douce représente seulement 3% de cette eau, et seul 0,6 sont utilisable puisque les 2,4% sont sous forme solide (glacier) et gazeux (vapeur). Les glaciers

qu’est ce qu’une phase ? Dans sa rotation autour de la terre, la lune nous présente différents aspects appelés « Phase». Il est connu que l’apparence de la lune varie régulièrement . Ses différents aspects se répètent sans fin depuis la nuit des temps. La succession régulière de l’apparence de la lune se nomme le cycle lunaire. Le cycle lunaire s’étend sur environ 29 jours, il correspond a une rotation complète de la lune autour de la Terre. Le changement d’apparence de la lune au cours d’un mois

Un son religieux se répand dans les airs: Le voyageur s’arrête, et la cloche rustique Aux derniers bruits du jour mêle de saints concerts. Mais à ces doux tableaux mon âme indifférente N’éprouve devant eux ni charme ni transports; Je contemple la terre ainsi qu’une ombre errante: Le soleil des vivants n’échauffe plus les morts. De colline en colline en vain portant ma vue, Du sud à l’aquilon, de l’aurore au couchant, Je parcours tous les points de l’immense étendue, Et je dis: “ Nulle part le bonheur

Métonymie du pont du bateau correspondant au sol terrestre : « planche » -> « navire » -> « sol » Univers du marin : brûle-gueule ; esquisse du monde terrestre Hommes montrés ici triviaux et frustres, enfermés, cloisonnés : antithèse = ciel, océan // sol. Le ciel Oiseau désigné par une série de périphrases : « indolent compagnon de voyage » ; « vaste oiseau des mers » ; « prince des nuées » : leur longueur devient symbolique de leur envergure : majesté Symbiose entre l’albatros et son milieu : épanouissement