Terre de bruyère

elle voulait remonter sur le talus. » 2. Une mobilisation forte des sens qui saturent. Idée : tous les sens sont mobilisés dans cet extrait. Argument(s) : la vue : « Elle apercevait Saint-Denis » ; l’ouïe : « des tirs » ; l’odorat : « des pommes de terre frites, des moules et des crevettes » ; le toucher : « ses jambes dans les blés pour sentir sur ses bas leur fraîcheur et leur chatouillement. » 2. Une ville en ébullition. Idée : verbes de mouvements et description de mouvements : « une foule bariolée

« De la cour », Les Caractères de La Bruyère : Publié : 1688 La Bruyère moraliste du 17ème siècle «  se cache » derrière les portraits fait par le grec Théophraste. Il dit qu’il en est le traducteur et ajoute qques textes fragmentaires. L’œuvre Les Caractères se compose de 16 parties (« De la ville » ; « De la cour » ; « Des Grands »…). C’est une œuvre très fragmenté mais avec un fil conducteur qui est l’observation des hommes de son entourage. Il est attentif et critique puisqu’il va essayer

Question sur un corpus de la guerre Texte A : La Bruyère, Du souverain ou de la République, 1688 Texte B : Article Paix de L'Encyclopédie, 1750-1772 Texte C : Voltaire, Guerre, Dictionnaire philosophique, 1764 Texte D : Giraudoux, La guerre de Troie n'aura pas lieu, 1935 Quelle vision de la guerre nous présentent ces textes? La guerre est uun sujet récurrent dans la littérature. En témoigne le corpus qui nous est présenté et qui comprend quatre textes datés du XVIIème siècle. Le premier; extrait

importance démesurée dans le jeu social : témoin le mouvement des Précieuses , dont s'est moqué Molière . Parallèlement , l'écriture , via les fables ou les caractères illustre un impératif qui lie l'art au savoir : « docere ,placere ,movere ». La Bruyère est en accord avec son temps lorsqu'il définit à l'expression parlée et écrite une vocation définie , qui est l'éducation : cette vocation prend la valeur d'un devoir (''on doit …''). Dans cette citation , ''parler'' et ''écrire'' semblent synonymes

professeur émérite le jour de sa retraite ! Mr Martin , bien connu de cohortes successives d’élevés du lycée Albert triboulet , à Romans, a disparu dans la soirée du vendredi 19 avril. A l'issue de son dernier cours de sciences de la vie et de la terre , cet enseignant qui faisait aussi office d'inspecteur de SVT dans le département , n'a pas regagné son domicile . Et deux corps ont été retrouvé dans la même semaine de la disparition de Mr Martin , un qui est en décomposition et l'autre la tête

Portrait et argumentation/ Etudier la façon dont le portrait peut servir l’argumentation Contextualisation « La Bruyère grand moraliste du 17ème siècle décrit dans son œuvre les mœurs, les comportements des hommes pour dénoncer leurs vices, leurs défauts. En effet, au 17ème siècle de nombreux auteurs se sont penchés sur l’étude de la morale (étude du bien et du mal) et des mœurs (description des comportements humain). Ces auteurs préfigurent les philosophes du 18ème et leur esprit critique

La Bruyère, Les Caractères, 122 Cliton (le gourmet obsessionnel = un goinfre vaniteux ) ANALYSE LINEAIRE INTRODUCTION: (Amorce et présentation de l'oeuvre) Le livre XI propose, au cœur des Caractères de La Bruyère, une réflexion dédiée à la nature humaine. Il offre une galerie de portraits de personnages imaginaires qui incarnent des vices communément partagés. (Présentation de l'extrait) Le Fragment 121 a introduit Gnathon, gourmand égocentrique, un vice que l'on retrouve également

« Gnathon », Les Caractères de La Bruyère I) Les défauts de Gnathon 1.Un personnage égoïste : Prouver qu’il s’agit bien d’une personne égoïste : -« Gnathon ne vit que pour soi. ». -« non content de remplir à une table la 1ère place il occupe à lui seul celle de 2 autres ; il oublie que le repas est pour lui et pour toute la compagnie… » -« il fait son propre de chaque service » « tout ce qu’il trouve sous sa main lui est propre » Analyse : Il prend non seulement les plats mais

d'abord étudier le recours fréquent aux comparaisons et aux métaphores, dans les textes de La Bruyère, de Victor Hugo, Le texte de La Bruyère, moraliste du Siècle d'Or, est bâti essentiellement sur la métaphore filée de l'animal. L'assimilation des êtres humains à des animaux ménage un effet de surprise produit sur le lecteur. C'est seulement au milieu de la longue phrase que le lecteur découvre que La Bruyère décrit des humains : « ils montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes.

bataille, à Fleurus. L’événement frappe les esprits et, La Bruyère, qui avait été le précepteur du « jeune Soyecour », le frère cadet, en est affligé. Sous le coup du chagrin provoqué par ce deuil, le moraliste insère une remarque supplémentaire dans la sixième édition des Caractères . La 9e remarque du livre X, « Du Souverain ou de la République » amorce une série de réflexions sur le thème de la guerre. La Bruyère y déplore les maux de la guerre avec un fatalisme ironique