Tertiarisation Et Productivité

la mondialisation contribue aussi à faire diminuer ces disparités. La mondialisation pousse à l'innovation, ce qui entraîne la création de nouveaux moyens de production qui, la plupart du temps, augmentent la productivité. Les pays développés profitent alors de gains de productivité important, ils se spécifient et profitent donc d'investissements étrangers, ce qui crée des emplois, même si cela ne compense pas tout ce qui est perdu et ne concerne pas forcément les mêmes catégories socio – professionnelles

notion quantitative. On est passé d'une économie agricole « post-industrielle » : la croissance s'est accompagnée d'une industrialisation puis d'une tertiarisation de la production et des emplois. Le secteur agricole : 1870 représentait 50% des emplois => Aujourd'hui 3% . On est passé d'une C° de survie à une C° de masse: la hausse de la productivité agricole a provoqué une baisse des prix réels des produits alimentaires ce qui a augmenté le PA des ménages. Ils se sont portés vers l'achat de biens

population plus ouverte au changement (moins fataliste) et plus productive ce qui influe positivement sur le niveau du PIB/habitant ; - une meilleure couverture sociale exerce des facteurs positifs sur la croissance car elle permet de favoriser la productivité et de soutenir la demande. La croissance et le développement induisent des changements dans l’organisation sociale (sociétés plus mobiles, plus démocratiques, plus protectrices …) qui favorisent à leur tour la croissance et le développement.

l’augmentation de la productivité. Pour les classiques (Ricardo, Smith) : la division du travail augmente la productivité, l’économie atteint un état stationnaire à long terme. -Travail : Activité rémunérée de l’homme. - Population active : Ensemble des personnes de plus de 15 ans exerçant ou cherchant à travailler (pas bénévoles). Trois déterminants de la production : - Biens ou services en jeu. - Coût relatif du travail et du capital. - Productivité de ce travail ou ce

de marché ⇒ ralentissement de la croissance économique ⇒↓des licenciements I I Elle modifie aussi la nature des emplois A spécialisation dans l’avantage comparatif ⇒ reconversion des travailleurs du vin dans le drap en Angleterre + favorise la tertiarisation (services protégés de la concurrence internationale) B Elle a aussi contribué, dans une certaine mesure, à l’augmentation de la précarité et des inégalités (dumping social ⇒ flexibilité nécessaire +dualisme 2 11. Après avoir présenté les

s'avèrent souvent coûteux ou aventureux ; aussi échouent-ils quand ils ne reposent pas sur des projets industriels rationnels et réalistes. Les stratégies gagnantes sont donc plus que jamais liées à des efforts d'innovation orientés vers les gains de productivité et le renouvellement de l'offre de produits. Enfin, la finalité même des entreprises se trouve également mise en question. Celles-ci ont pour premier objectif la création de biens et de services au bénéfice des clients, afin de proposer à leurs

nécessaires à la réalisation du volume de production désiré. Des révoltes ouvrières ont ainsi eu lieu contre l’introduction de machines dans le processus productif ; une révolte très connu celle des canuts lyonnais au 19ème siècle. L’augmentation de la productivité telle que l’engendre le progrès technique réduit l’emploi disponible. Dans le même temps, de nouvelles machines sont aussi directement créatrices d’emplois. Ainsi, il faut des travailleurs pour construire ces machines, mais aussi pour les entretenir

facteurs de production (capital et travail) - La croissance intensive résulte de l’amélioration qualitative des facteurs de production (par ex : formation de la main d’œuvre, équipement plus performant), et elle est la conséquence des gains de productivité induit par le progrès technique. è Croissance nominale et croissance réelle - La croissance nominale ou en valeur est la croissance évaluée à partir du PIB en euros courants ou en euros de la période en cours. Dans cette évaluation nominale

échanger Selon eux la valeur d’un bien provient de la quantité de travail nécessaire à sa fabrication. La richesse dépend donc de la quantité de travail disponible dans l’économie. Pour produire plus il faut produire mieux, diviser le travail (gain de productivité.) B) Une analyse macroéconomique en termes de classes (Macro = holisme ; Micro = individualisme particularisme) Ils s’intéressent sur la façon d’augmenter les richesses et comment les répartir entre les classes sociales. Les capitalistes :

amorcer un véritable décollage économique. La croissance est donc une condition préalable au développement : elle se traduit effectivement par différentes conséquences économiques (élévation des niveaux de qualification, industrialisation puis tertiarisation de l’économie par exemple) mais aussi démographiques et sociales (élévation des niveaux de formation, amélioration de l’espérance de vie à la naissance…). B – La notion de développement proposée par Amartya Sen Le programme des nations unies