Tertiarisation Et Secteur Secondaire

système de pré-retraite. 2e phénomène : L’évolution de l’activité féminine. Habituellement la population féminine est implantée dans plusieurs secteurs : - l’agriculture - le textile/l’habillement - les services mais au fur et à mesure, on remarque une baisse de l’activité féminine dans le secteur de l’agriculture, du textile et de l’habillement et, cela n’est pas compensé par l’augmentation de leur activité dans le tertiaire. Finalement, on observe

développement du secteur secondaire A l’image de l‘Europe, au terme de cinq années de guerre, la France doit se reconstruire, avec pour modèle l’économie libérale, dans un monde occidental où les industries créent une véritable dynamique. Ce système industriel repose sur le taylorisme, pour la hausse de la productivité, et sur le fordisme (standardisation des biens de production), modèles états-uniens qui se diffusent à partir de 1945. En conséquence, la main-d’œuvre liée au secteur industriel va continuellement

sont subordonnées à des éléments immatérielles (connaissances informatiques). Le secteur primaire domine avant 1850 ensuite de 1870 à 1965 le secteur secondaire domine (on a une société industrielle) à partir de 1965 le secteur tertiaire domine et on rentre dans une société postindustrielle. Depuis les années 70 on distingue le secteur tertiaire supérieur [émis par Temlin], selon lui le secteur quaternaire ou secteur tertiaire supérieur, est caractérisé par l’action de concevoir, de crée, d’interprété

ses projets en réussissant à convaincre ces parties prenantes. III. L’entreprise, coordination de compétences C’est la nouvelle entreprise. Colin Clarck a proposé une classification des secteurs d’activité des entreprises (primaire 3%, secondaire 25%, tertiaire 72%). Sous cet effet de tertiarisation des emplois, les entreprises se sont tournées vers la satisfaction des besoins des clients. C’est la production de beins matériels et immateriels. Le client n’achete plus un produit mais un package

(économie domestique). Tous ce qui fait le lien social n’est donc pas pris en compte (facteur de bien être). * Le PIB ne prend pas en compte l’économie souterraine (travail au noir) et le bénévolat. * Pas de prise en compte des effets pervers, secondaires liés à l’activité économique. Comparaisons de PIB : * Dans le temps : problème de l’effet prix (inflation), il faut donc déflater le PIB = PIB en volume ou PIB en € constants. * Dans l’espace : problème de valeur de la monnaie => nécessité

connu des succès après la deuxième guerre mondiale. Le document 2, qui permet de mesurer l’évolution de la répartition de l’emploi par secteur (en%) extrait de déchiffrer la société française de L.Maurin en 2009, nous prouve la progression de la tertiarisation des emplois. Sur 100 emplois, 10 se situaient dans le primaire en 1949 et seulement 2 en 2007. Dans le secondaire, la part de l’emploi diminue, après une hausse jusqu’en 1970. La part des services marchands est presque multiplié par deux entre 1949

postes sous qualifiés, à des travaux répétitifs, qui viennent très souvent nier leur féminité tout en utilisant leurs qualités. Ce sont aussi les premières à être licenciées. Les salaires féminins sont inférieurs à ceux des hommes de 20 à 30%, tous secteurs confondus, et cette différence et cette injustice sont clairement reconnues et entérinées dans les conventions collectives. Une des choses que l’on oubli souvent, c’est que durant toute ces années, les femmes avaient besoin de l’autorisation de

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parle mais rien n’a été entrepris jusqu’à présent pour tenter de le délimiter. Cette situation dont on parle porte le nom de secteur informel et il évolue en marge de la législation et du regard des autorités de l’Etat. Un phénomène qui reste en marge des prérogatives de l’Etat, qui échappe à la fiscalité, à la législation mérite un regard avisé. Sous prétexte que c’est un secteur informel, on tend à le négliger. Pourtant il est primordial de l’étudier puisqu’on n’a pas idée exacte de ce que cela pourrait

limite pas au seul investissement productif des entreprises industrielles. c’est-à-dire aux investissements réalisés par les entreprises privées et publiques du secteur secondaire D’une part, ce secteur ne réalise plus que 30% de l’ensemble des investissements des entreprises soit à peine 16,5% de l’investissement total (0,30X0,55). Le secteur tertiaire est aujourd’hui le lieu privilégié de l’investissement (plus de la moitié) D’autre part, l’Etat et les collectivités locales (région, département