Tertiarisation Et Secteur Secondaire

♣ Taux de croissance annuelle moyen : Somme de taux de croissance Nbr d'année ♫ 1968 : grève générale ♣ Décroissance économique : lorsque le taux de croissance est négatif. Synonyme de récession. ♫ Pdt les 30 Glorieuses : P° = secteur Secondaire ; P° de masse et C° de masse GSP le + important : Ouvriers Aujourd'hui : P° = Service marchands GSP le + important : Employers b) Mesure : Le PIB est l'indicateur pour mesurer la croissance économique d'un pays. PIB = Somme

peut s'expliquer par une productivité plus forte à l'Est qu'à l'Ouest; elle-même liée aux secteurs économiques dominants dans ces régions. L'Île de France, quant à elle, se démarque des autres régions de par son poids dans la production, qui n'a d'égal sur le territoire national. Cela tient grâce à son poids démographique et la modernisation constante de son système productif, dominé par la tertiarisation. Cette dissymétrie est-ouest se remarque pour les départements produisant un PIB supérieur

69% dans le secteur tertiaire ( services) , 28% dans le secteur secondaire (industrie,construction) et 3% dans le secteur primaire (agriculture). L'on retrouve donc la même séparation des secteurs que dans les pays d'occident , caractéristique du développement. cependant le Qatar veut se défaire peu à peu des hydrocarbures pour ne pas en être indépendant : en effet , trop se reposer sur les énergies fossiles est, à terme, catastrophique. Le Qatar développe ainsi ses différents secteurs : The Pearl

en PPA 2 Croissance du PIB 7,8 % (2012) PIB par habitant en PPA 9 300 $ (2012 est.), (classé 123e)1 PIB par secteur agriculture : 38,1 % industrie : 27,8 % services : 34,1 % Inflation (IPC) 5 % (2010) Pop. sous le seuil de pauvreté 13,4 % (2011)1 Indice de développement humain (IDH) 0,68 (2010)2 Population active 819,5 million (2010 est.) Population active par secteur agriculture : 39,5 % industrie : 27,2 % services : 33,2 % Taux de chômage 4 % (officiellement, dans les villes)

la banalisation de certaines ressources, la centralisation des activités de transformation et de services, la métropolisation de l'organisation territoriale, la hausse constante de la productivité et de la compétitivité qui affecte grandement le secteur des ressources naturelles, la généralisation des valeurs de l'urbanité, etc. Les résultats du recensement de 2001 nous rappellent que le phénomène de la décroissance démographique, commun à l'ensemble des pays industrialisés, se manifeste avec plus

l'activité de production des unités productrices résidentes. Il peut se définir de trois manières : - le PIB est égal à la somme des valeurs ajoutées brutes des différents secteurs institutionnels ou des différentes branches d'activité, augmentée des impôts moins les subventions sur les produits (lesquels ne sont pas affectés aux secteurs et aux branches d'activité) ; - le PIB est égal à la somme des emplois finals intérieurs de biens et de services (consommation finale effective, formation brute de capital

qui est 38e. En classement par PIB en PPA, la France est la 10e puissance économique. L'économie française est principalement une économie de services : en 2005, le secteur tertiaire occupait 71,8 % de la population active, tandis que le secteur primaire (agriculture, pêche…) n'en représentait plus que 3,8 %, et le secteur secondaire (essentiellement l’industrie) 24,3 %. L'économie française est une économie de plus en plus ouverte, occupant une place importante dans les échanges commerciaux internationaux

structure du marché, la taille du marché, les goûts des consommateurs. → L’ouverture d’une économie à la concurrence internationale entraîne des risques : concurrence pour les pays où les coûts salariaux sont plus faibles, concurrence entre les secteurs. → Pour décourager les importations, celles-ci sont taxées de manière forfaitaire ou proportionnelle à leur valeur, à leur passage à la frontière. ◦ ADAM SMITH : Les pays doivent se spécialiser dans les productions pour lesquels ils sont les

marché du travail. Les femmes exercent plus souvent une activité à temps partiel (57,8% des femmes ont un taux d’occupation inférieur à 90% contre 13,5% des hommes en 2011) et dans le secteur tertiaire (53,1% des actifs dans le tertiaire sont des femmes). Le développement du travail à temps partiel et la tertiarisation de l’économie ont été accompagnés d’une forte progression de l’activité féminine. En 10 ans (2001–2011), le nombre d’hommes actifs s’est accru de près de 11% et celui des actives

sciences sociales selon laquelle il n'est de travail productif que celui effectué dans la sphère professionnelle, et de production que celle des biens économiques. Ainsi, la fonction première de reproduction biologique impliquerait une fonction secondaire d'entretien du produit de cette production par la mère. Or, ces tâches domestiques sont reléguées dans le «hors travail» et ne sont pas socialement reconnues. Elles ne sont donc pas comptabilisées dans le produit national brut (PNB), ce qui n’est