Testicule

Introduction : Le testicule est divisé en 250 à 300 lobules pyramidaux. Chaque lobule renferme 1 à 4 tubes séminifères qui baignent dans un tissu conjonctif appelé tissu interstitiel et qui contient des cellules interstitielles. Un tube séminifère mesure de 30 à 150 cm de long et de 150 à 300 µm de diamètre. Dans un testicule on trouve, en moyenne, 1000 tubes séminifères. . L’observation microscopique d’une coupe d’un tube séminifère au fort grossissement permet se distinguer trois types de cellules

en interne, les gonades sont différenciées, soit des testicules soit des ovaires. c’est l’étape du sexe gonadique. L’activité a montré que l’orientation vers l’appareil masculin ou vers l’appareil féminin repose sur la présence ou non du gène SrY, ce qui n’exclue pas l’implication d’autres gènes dans le passage du sexe génétique au sexe gonadique. le gène SRY, déterminant du sexe mâle, nécessaire à la différenciation du testicule, a été isolé sur le chromosome Y humain en 1990 bilan

doc 2 et 4 La différenciation des gonades a lieu : soit testicules ou ovaires. Puis a lieu le développement des organes génitaux mâles ou femelles. Il faut obligatoirement le chromosome Y pour que la masculinisation est lieu. P131 doc 5 tableau de certains problèmes que rencontre le bébé. Comme les testicules féminisant, insensible à l’hormone testostérone, le bébé possède des testicules et un vagin raccourci, sans aucun canaux. Les testicules possèdent l’hormone testostérone et AMH (hormone antimüllérienne)

d'ADN de souris témoins et transgénique par électrophorèse Des souris transgéniques ont été obtenues par insertion du gène Sry dans le génome d'une cellule oeuf de génotype XX. Dans plusieurs cas, ces embryons transgéniques ont développé des testicules. D'après "ADN recombinant" James D. Watson   Document 2 : Comparaison d'extraits de séquence peptidiques de la protéine TDF codée par le gène Sry * Chez un témoin non atteint : séquence A * Chez un individu atteint de dysgénésie

l’ovulation. Le but est d’obtenir une dizaine de follicules. Des médicaments appelés gonadotrophines (ou gonadotropines sont des hormones glycoprotéiques complexe qui agissent sur les fonctions des gonades, les gonades sont les ovaires et les testicules) parce qu’ils stimulent les gonades (ovaires) sont administrés en général après la mise au repos des ovaires par agonistes (c’est une molécule qui a les mêmes propriétés qu'une autre molécule et qui active certains récepteurs) de la GnRH (hormone

l’ovulation. Le but est d’obtenir une dizaine de follicules. Des médicaments appelés gonadotrophines (ou gonadotropines sont des hormones glycoprotéiques complexe qui agissent sur les fonctions des gonades, les gonades sont les ovaires et les testicules) parce qu’ils stimulent les gonades (ovaires) sont administrés en général après la mise au repos des ovaires par agonistes (c’est une molécule qui a les mêmes propriétés qu'une autre molécule et qui active certains récepteurs) de la GnRH (hormone

corporelle s'accélère pour atteindre un pic notable vers 14 ans ; * la voix commence à changer, elle devient plus grave : c'est la mue. 2. Le développement des caractères sexuels primaires • L'appareil génital se développe : * le pénis ou verge et les testicules s'accroissent rapidement (vers 14 ans) ; * des érections dues à des afflux de sang dans le pénis, qui se redresse, peuvent se produire de façon involontaire (pendant le sommeil) et précéder une émission de sperme ou éjaculation. Le sperme est

masse osseuse et musculaire. Gamètes : Les spermatozoïdes sont formés dns les testicules. Plusieurs millions de spermatozoïdes sont fabriqués chaque jour de la puberté à la mort. Les ovules sont produits dans les ovaires. Les femmes produisent 1 ovule/mois de la puberté jusqu'à la ménopause. Les ovaires et les testicules produisent également des hormones de façon pulsée au cours de la journée pour les testicules (taux d'hormone +/- constant), de façon cyclique (cycle= +/- 4semaines) dans les

peuvent disparaître progressivement au cours du temps. 3. Synthèse : Certaines structures ne s’expliquent pas par l’action de la sélection naturelle, comme par exemple la longueur du canal déférent qui s’explique par la position originelle des testicules, ou encore l’existence de dents de sagesse qui n’apportent plus d’avantage en terme de sélection naturelle. Enfin, certaines structures qui ne sont plus utiles comme les tétons masculins subsistent aujourd’hui à l’état atrophié.

des gonades en testicules → masculinisation de l’organisme. Sinon, évolution vers un phénotype féminin. Gonades : organe indifférencié qui deviendra testicule ou ovaire. Schéma : appareil génital indifférencié Du sexe génétique au sexe gonatique : - Dès la fécondation, le sexe est déterminé : XX →Femme XY → Homme. Il suffit d’un Y pour que la détermination soit Homme. - Chromosome Y → porte le gène SRY → synthétise de la protéine TDF → différenciation des gonades en testicules - Si absence