Théâtre de l'Ancre

délinquante » n’ait pas encore été inventée. Un temps, il fut au grand magasin du ‘’Bon Marché’’ un employé peu modèle. Mais il lut beaucoup, glanant des idées ici et là. Et, grâce à des « billets de faveur », son père les emmenait, son frère et lui, au théâtre, et il allait ne jamais oublier ce monde agrandi, lyrique et simplifié qu'offre la scène. Il les emmenait surtout au cinéma, et, quand il n'avait pas de quoi payer leurs places, au ciné Mille Colonnes de la rue de la Gaité, il arrivait à la caisse

va se réitérer. De plus, le rythme ternaire de la phrase ajoute une profondeur dramatique à la scène. Le temps semble de toutes façons s'être même immobilisé : « Il y avait deux heures que la journée n'avançait plus, deux heures qu'elle avait jeté l'ancre dans un océan de métal bouillant ». Meursault enfin lui-même rapproche cette scène d'une autre journée qui a eu lieu au début du roman : « C'était le même soleil que le jour où j'avais enterré maman », comme si le temps n'avait pas avancé. Le hasard

parents. Le président Yvette Vilvert a alors marqué son scepticisme : "Vous aviez tellement d'occasions de dire que vous étiez innocent !" "Ce que j'ai vécu, personne ne peut le comprendre, personne ne peut l'imaginer. Je ne suis pas là pour faire du théâtre ou pour causer de la douleur, il y en a eu assez comme ça", a répondu l'accusé. Avant Patrick Dils, deux personnes avaient déjà avoué le crime à la police en décembre 1986 et février 1987, sans être inquiétées.»

se réitérer. De plus, le rythme ternaire de la phrase ajoute une profondeur dramatique à la scène. Le temps semble de toutes façons s'être même immobilisé : « Il y avait deux heures que la journée n'avançait plus, deux heures qu'elle avait jeté l'ancre dans un océan de métal bouillant ». Meursault enfin lui-même rapproche cette scène d'une autre journée qui a eu lieu au début du roman : « C'était le même soleil que le jour où j'avais enterré maman », comme si le temps n'avait pas avancé. Le

va se réitérer. De plus, le rythme ternaire de la phrase ajoute une profondeur dramatique à la scène. Le temps semble de toutes façons s'être même immobilisé : « Il y avait deux heures que la journée n'avançait plus, deux heures qu'elle avait jeté l'ancre dans un océan de métal bouillant ». Meursault enfin lui-même rapproche cette scène d'une autre journée qui a eu lieu au début du roman : « C'était le même soleil que le jour où j'avais enterré maman », comme si le temps n'avait pas avancé. Le hasard

se réitérer. De plus, le rythme ternaire de la phrase ajoute une profondeur dramatique à la scène. Le temps semble de toutes façons s'être même immobilisé : « Il y avait deux heures que la journée n'avançait plus, deux heures qu'elle avait jeté l'ancre dans un océan de métal bouillant ». Meursault enfin lui-même rapproche cette scène d'une autre journée qui a eu lieu au début du roman : « C'était le même soleil que le jour où j'avais enterré maman », comme si le temps n'avait pas avancé. Le

l’innocence d’une mise à nue de son âme. Imaginez une femme qui aurait des mains se muant au gré des lectures, et qui ne s’agiterait sans autre conscience que la conscience des lignes qu’elle écrirait. Imaginez-vous un double mélancolique enchaîné à l’ancre des feuilles d’automne. Imaginez une sœur que vous aurez souhaité avoir, une fille que vous aurez souhaitez engendrer, une femme que vous auriez souhaité aimer. Imaginez un double étranger de vous-même. Imaginez vous que je fusse cette étrangère,

consommation pour des raisons de différenciation sociale. Selon Ladwein, la position très tranchée de Bourdieu nécessite cependant d’être nuancée : certaines pratiques culturelles, comme par exemple la fréquentation des musées, salles de spectacle ou de théâtre sont socialement déterminées par le statut. Mais la dernière enquête nationale française portant sur ce sujet annonce des résultats plus diversifiés, révélant une plus grande démocratisation des pratiques culturelles « légitimes ». L’auteur insiste

porte du malheur » L’excipit : de « Alors, je ne sais pas pourquoi… » à la fin. Lecture cursive : Emmanuel Carrère, l’Adversaire (2000) : des similitudes stylistiques pour deux personnages d’ « étrangers » opposés l’un à l’autre. SÉQUENCE 4 : THEATRE ET REVOLTE Objet d’étude : le texte théâtral et sa représentation du XVIIe siècle à nos jours Support : Etude de Dom Juan, de Molière Problématique : Dom Juan comme représentation du mythe de l’homme révolté. Lectures analytiques : Acte I, scène

(intellectuelle), d’ouverture. Ces exemples débordent la pratique du français (lettres) et se retrouvent dans les autres disciplines littéraires ou sciences humaines. La philosophie de l’enseignement du français me semble ainsi paradoxalement posée : l’ancrer dans une méthodologie rigoureuse, à l’instar des sciences. Aborder la littérature Les bonnes résolutions se prennent dès septembre ! L’année de seconde laisse le temps pour chaque élève qui le désire de se forger une culture littéraire