Theatre Folie

le "je" enfermé par malfaisantes: solitude + détresse * Temps verbaux: présent domine. le "je" n'échappe pas à l'emprise de la réalité passé composé pour le dernier vers: consatat final tragique plongé dans l'ivresse, l'irrationnel et la folie * Musicalité: Chant envôutant s'ajoutant à l'angoisse s'émanant du poème. Sonorités disphoniques [i] CONCLUSION: Symbolique et poétique de la souffrance amoureuse vécue. Nuit --> moment du rêve, de l'irrationnel Gérard de Nerval ( ^^) :

l'action et son inefficacité. Enfin une expression tragique de l'amour contre lequel toute tentative d'échapper au sentiment est vouée à l'echec. Replique où se lit le principal de l'amour selon Racine. Un regard déterminant sur un coup de foudre, folie et dépossession de soi-même; ces aspects qu'on retrouve dans Britanicus sont portés ici à un degré de violence extrême en raison de la nature même de cet amour qui, par sa monstruosité, inscrit Phèdre dans une succesion maudite. Cette violence dans

Elle était la douceur de mon cœur, la folie de ma vie. Elle était la raison de mes pas, le répit que j’avais tellement longtemps attendu… J’étais là assis sur ce grand lit, et tel un inconnu, un passant parmi tant d‘autres, les yeux avides de désir, je la dévorait. Je caressais du regard, chaque parcelle de son corps, un peu mal à l’aise par cette place d’anonyme, que je semblais occuper dans cette chambre. Elle avait tiré tous les rideaux, de fins morceaux de tissus blancs, qui ne laissaient entrevoir

physiquement, il y a peu d’informations sauf qu’il est grand. Son portrait moral est beaucoup plus important : il est rêveur, paresseux, passe ses journées à regarder la Seine couler. Il devient angoissé par le phénomène qui le hante. Peu à peu, il sent la folie qui s’installe en lui. Il a peur du Horla car il le ressent comme un être plus puissant que lui. Il se demande parfois s’il n’est pas atteint d’une quelconque maladie. Il a de la fièvre. Le narrateur est le héros et il raconte son histoire dans un

8/10 Œuvre : Le Horla Auteur : Maupassant. Résumé : Le personnage raconte sa folie et la terreur qu'il subissait. Le Horla, un être surhumain, le terrasse chaque nuit et lui boit sa vie. Cette folie le conduira à de nombreuses actions toutes plus insensées les unes que les autres. Il en viendra même à mettre le feu à sa maison et laissera brûler vif ses domestiques. Avis : Bonne petite histoire. Toute cette folie autour du personnage nous fait stresser et on en devient presque aussi dingue que

conserve des souvenirs, l'esprit garde des illusions.Tant que le coeur conserve des souvenirs, l'esprit garde des illusions.L'amour est un tyran qui n'épargne personne. La jeunesse est une ivresse continuelle; c'est la fièvre de la santé; c'est la folie de la raison. La vérité c'est que des fois tu me manques tellement que j'ai l'impression de crever tant ça fait mal. " Chaque jour je t'aime davantage, aujourd'hui plus qu'hier et bien moins que demain. - l'absence ne fait mal que de ceux que l'on

El, de Luis Buñuel. Dans El, on assiste à l’évolution de la folie d’un mari paranoïaque et jaloux. Gloria, son épouse, reste avec lui malgré ce qui lui fait subir et l’on arrive à s’identifier à elle en se demandant pourquoi ne réagit-elle pas en le quittant, tout au long de l’histoire. Pour arriver a ce résultat, Buñuel nous fait vivre l’histoire du point de vue de Gloria: après avoir raconter la rencontre des deux protagonistes, c’est Gloria qui raconte ses malheurs a son ex-fiancé, Raoul,

considérés comme normaux et les autres comme fous. La folie devient, à voir et écouter les protagonistes, toute relative, toute conventionnelle, dans cet hôpital où sont encore utilisées des méthodes barbares, où un groupe de gens « normaux », réunis sous l’appellation La Fraternité, a choisi de résider avec les « fous », par confort, pour ne pas avoir à affronter les tracas quotidiens, où, comme attendu, le médecin chef, le Dr Igor, vit sa propre folie mégalomane : Qui sont les fous ? Qu’est-ce qu’un

l'amour passion aveugle la raison, la tourmente. Qui s'y laisse s'y prendre n'est plus libre, et commet des actes qui ne peut que le nuire. En effet, l'amour passionnel est un amour illusoire, l'homme se laisse envouter par cette illusion, cette folie, cette passion (ethymologie : pathos, souffrance), qui ne lui laissera que désarroi et souffrance. Par exemple, les conquètes de Dom Juan, dans le roman éponyme de Molière, où celles-ci ont été illusioné par le charme de Dom Juan, ainsi elle sont prete

Que de n'être plus qu'un cri, Deux yeux larges deux yeux rouges Nom de la haine des hommes Deux yeux graves deux yeux grands Nom de la honte des hommes Comme la nuit la folie Le nom de notre vengeance Deux yeux de petits enfants: Qu'à travers toutes nos terres Ils ne me quitteront pas. On écoute en frissonnant