Theatre Folie

est principalement connu pour ses romans d'anticipation (terme qui désignait les romans de science-fiction à l’époque). Certains thèmes reviennent fréquemment dans ses romans comme la chute de la civilisation causée par les excès de la science et la folie de la guerre, ou le caractère éternel et indestructible de l'amour. À l'époque (1942) où il publie ses deux premiers romans fantastiques, Barjavel est considéré comme précurseur dans le désert qu'est alors la science-fiction française. « Je suis

T errible tragédie à l’auberge de Schwarenbach Dans les Hautes-Alpes, on a fait la triste découverte d’un pauvre homme rongé par la folie et de la disparition de son compagnon. Cet hiver, dans l’auberge de Schwarenbach, on a retrouvé Sam, un chien mort et le jeune Ulrich Kunsi dans un état second et Gaspard Hari, son compagnon dans l’auberge n’a pas été retrouvé, il est donc porté disparu. L’auberge de Schwarenbach sert de refuge aux voyageurs qui suivent le passage de la Gemmi, étant donné

en quelque sorte « l’élément déclencheur de l’intrigue » son rôle est alors central, le récit prend dès son apparition une tournure tragique, on s’interroge alors s'interroge sur les facultés de l'homme (la résistance, la raison) et ses limites (la folie). - Le narrateur lui-même, qui est le commanditaire de toutes les parties d’échecs qui ont eu lieu sur le navire. Cependant il n’est pas très doué au jeu. • Présentation des personnages : Le docteur B, est un autrichien exilé, c’un homme très

impossibilité d'echapper à son destin , tout ce qu'entreprends phédre est inutile " je crus les detourner " ,"inévitables".de ce fait , la destinée est jugée cruelle ce qui contraint phédre a des reactions excessives , elle vit sa passion dans la folie "trouble " , " ame perdue" , " ma raison egarée " "ardeur' l'egarement n'est pas sans rappeler le théme du labyrinthe auquel thesée est associé . elle se laisse mourir ( registre tragique) ' j'ai pris la vie en haine" ,"les approches de ma mort "

et la raison ou au contraire les relier ? Le rêve et la folie peuvent-ils être la solution pour vivre un amour vrai ? Selon la thèse de Sartre, c’est par le biais du rêve et de la folie, que l’on peut vivre un amour libre, un amour où la raison serait inexistante, où la fidélité serait présente que par amour, où l’amour serait présent à chaque instant. Le rêve et le folie serait le moyen d’accéder au bonheur. Mais si ce rêve, cette folie devenaient dangereux, faudrait-il tenter de la maitriser

« ironique » comme si son idée était complètement absurde, puis inquiet il « regarde autour de lui » dans la peur de ce faire prendre pendant ce moment de folie face a son double. C’est a ce moment que l’homme prend un voix « sourde » qui indique la prise de conscience des actes dont il est coupable. Et enfin « furieux » contre lui-même il revient a son état de folie. _ Les répétition sont extrêmement présentes dans ce passage ce qui accentue la faiblesse du personnage. La « logique » de ces propos semble

Maupassant (version 1887, p. 54 à 86), les différentes manifestations du Horla conduisent le personnage à la folie. PREMIER PARAGRAPHE : Idée principale 1 : Le personnage sent la présence du Horla partout autour de lui et ça le conduit à la folie. Idée secondaire 1.1 : Le personnage fait des cauchemars à répétition causé par le Horla, il tente alors de fuir pour ne pas sombrer dans la folie. Citation 1.1 : «La nuit a été horrible. Je vais m’absenter pendant quelques semaines. Un petit voyage

aspects de la condition humaine ». Ainsi, on évoquera tout d’abord pourquoi Hermione puis Andromaque sont des figures mythiques de part leur rôle d’héroïnes tragiques et les grandes passions qui les animent ; l’une prise d’une passion proche de la folie, l’autre d’une passion plus modérée. On montrera également leur caractère complexe et nuancé qui s’exprime pour Hermione par la jalousie et sa rivalité vis-à-vis d’Andromaque et pour cette dernière dans son pauvre statut d’esclave mais aussi son habileté

être ? ». Le personnage va jusqu'à s’en prendre à lui-même : « Il se prend lui-même le bras », ce qui va générer des situations comiques et le montrer proche de la folie : « mon esprit est troublé ». La situation devient comique par la gestuelle d’Harpagon soulignés par Molière : « il se prend lui-même le bras », ce qui montre la folie qui le gagne. L’écrivain personnifie l’argent du personnage : « mon cher ami » ce qui rend le personnage de plus en plus ironique. Harpagon appel à l’aide pour

d’avoir encore toute sa tête. Se pose des questions sur ce qu’il est devenu et pourquoi il agit ainsi. Il doit être assez perturbant de voir qu’on perd la carte sans pouvoir faire quelque chose pour rétablir la situation. Il s’interroge sur sa propre folie, mais le fait qu’il soit capable de poser la question est-ce une preuve du contraire? Il est très logique dans ses raisonnements et essaie de convaincre son médecin qu’il a raison, que tout ce qu’il voit est réel, mais celui-ci le croit-il? Bref, tant